l'initiative du Comité national de soutien pour la libération de la détenue politiqueLouisa Hanoune, un sit-in s'est tenu, hier enfin de matinée, à la Grande-Poste d'Alger. l'initiative du Comité national de soutien pour la libération de la détenue politiqueLouisa Hanoune, un sit-in s'est tenu, hier enfin de matinée, à la Grande-Poste d'Alger. Ramdane Taâzibt, Djelloul Djoudi, NadiaChouiter, membres du Comité, Me SalahDebbouz, militant des droits de l'Homme, etdes citoyens opposés à l'incarcération de lasecrétaire générale du Parti des travailleurs(PT) ont pris part à l'action. En face de la cinquantainede protestataires, le dispositif sécuritairea été renforcé. Demandant "la libérationimmédiate de Hanoune", les manifestantsont exigé des autorités de revenir surcette arrestation qualifiée d'"arbitraire". Tous sont en attente du 20 mai, date de l'examen de l'appel introduit par la défense.Taâzibt a fait part de la collecte de plus de4.000 signatures depuis le lancement de lapétition de soutien à la libération de MmeHanoune incarcérée à la prison civile deBlida sur ordre du tribunal militaire. Selonlui, "les consultations de Hanoune et ses entretiens avec des responsables, entrent dans le cadre d'activités normales que peutavoir un chef de parti. Notre secrétaire généralen'a jamais caché ses rencontres avec desresponsables quel que soit leur rang", a-t-illancé. "Hanoune est connue partout, et depuis des années, pour ses prises de positionet son combat intransigeant pour la démocratie,les libertés, les droits des femmes", diraun militant du PT. "Elle a toujours été du côté du peuple et des opprimés", renchérit unautre. Chez les citoyens de passage, les avisétaient mitigés. "Que l'on soit d'accord oupas avec ses positions politiques, rien ne peutjustifier sa mise en détention. Nous demandonssa libération immédiate", dira un quinquagénaire.Pour une autre personne, "toute personne coupable doit payer". Au boutd'une demi-heure, les manifestants se sontdispersés dans le calme après l'insistance deséléments de la Sûreté nationale. Ramdane Taâzibt, Djelloul Djoudi, NadiaChouiter, membres du Comité, Me SalahDebbouz, militant des droits de l'Homme, etdes citoyens opposés à l'incarcération de lasecrétaire générale du Parti des travailleurs(PT) ont pris part à l'action. En face de la cinquantainede protestataires, le dispositif sécuritairea été renforcé. Demandant "la libérationimmédiate de Hanoune", les manifestantsont exigé des autorités de revenir surcette arrestation qualifiée d'"arbitraire". Tous sont en attente du 20 mai, date de l'examen de l'appel introduit par la défense.Taâzibt a fait part de la collecte de plus de4.000 signatures depuis le lancement de lapétition de soutien à la libération de MmeHanoune incarcérée à la prison civile deBlida sur ordre du tribunal militaire. Selonlui, "les consultations de Hanoune et ses entretiens avec des responsables, entrent dans le cadre d'activités normales que peutavoir un chef de parti. Notre secrétaire généralen'a jamais caché ses rencontres avec desresponsables quel que soit leur rang", a-t-illancé. "Hanoune est connue partout, et depuis des années, pour ses prises de positionet son combat intransigeant pour la démocratie,les libertés, les droits des femmes", diraun militant du PT. "Elle a toujours été du côté du peuple et des opprimés", renchérit unautre. Chez les citoyens de passage, les avisétaient mitigés. "Que l'on soit d'accord oupas avec ses positions politiques, rien ne peutjustifier sa mise en détention. Nous demandonssa libération immédiate", dira un quinquagénaire.Pour une autre personne, "toute personne coupable doit payer". Au boutd'une demi-heure, les manifestants se sontdispersés dans le calme après l'insistance deséléments de la Sûreté nationale.