Le RCD dit, encore une fois, non à l'élection présidentielle prévuele 4 juillet prochain."L'entêtement à vouloir organiserune présidentielle, le 4 juillet2019, Le RCD dit, encore une fois, non à l'élection présidentielle prévuele 4 juillet prochain."L'entêtement à vouloir organiserune présidentielle, le 4 juillet2019, pilotée de bout en boutpar un personnel politique passémaître de la fraude électorale nerelève pas d'un simple passageen force pour désigner un nouveauprésident ou d'un déniordinaire de la réalité, mais participe d'une stratégie de repriseen main par une partie du systèmede la décision par unagenda caché", écrit le RCD dansun communiqué publié hier àl'issue de la réunion de son secrétariat national tenu vendredi."L'instrumentalisation de la justice,la reprise en main déjà encours des médias publics et assimilésdénotent de cette volontéde ne rien lâcher ou de lâcher lemoins possible devant le mouvementcitoyen", observe-t-il. Le RCD rappelle que toutes lespropositions formulées sontrejetées y compris celles émanantde parties disposées à dialogueravec les "nouveaux décideurs"."Faudra-t-il alors désespérer ets'engouffrer dans une voie qui consiste à doter le mouvement d'une forme de direction ?", se demande ce parti. "Depuis ledébut, des appels directs ou indirects pour doter le mouvement d'une direction émanentd'acteurs travaillant au compte du système politique en place. Les mises en garde de la plupart des acteurs politiques acquis au changement du système et à l'option démocratique ont,jusque-là, épargné le mouvement d'une telle dérive", soutient-il. "Ni la nature du mouvement, ni l'état des institutions neplaident pour une telle démarche qui ouvre la voie aux pressions et manipulations,voire à une dualité de pouvoiraussi improductive que dangereuse",estime-t-il. "L'heure n'estni à la peur, ni aux petits calculsencore moins aux découragements ou aux renoncements"écrit encore le parti. Evoquant les multiples dossiersinstruits actuellement auprès de la justice, le RCD se montresceptique et suggère qu'ils procèdentà des règlements de comptes. "De glissement en glissementet sous prétexte de protégerle mouvement, les nouveauxdonneurs d'ordre ont, entraîné l'appareiljudiciaire dans une opération de chasse aux sorcières dont euxseuls connaissent les tenants et les aboutissants". pilotée de bout en boutpar un personnel politique passémaître de la fraude électorale nerelève pas d'un simple passageen force pour désigner un nouveauprésident ou d'un déniordinaire de la réalité, mais participe d'une stratégie de repriseen main par une partie du systèmede la décision par unagenda caché", écrit le RCD dansun communiqué publié hier àl'issue de la réunion de son secrétariat national tenu vendredi."L'instrumentalisation de la justice,la reprise en main déjà encours des médias publics et assimilésdénotent de cette volontéde ne rien lâcher ou de lâcher lemoins possible devant le mouvementcitoyen", observe-t-il. Le RCD rappelle que toutes lespropositions formulées sontrejetées y compris celles émanantde parties disposées à dialogueravec les "nouveaux décideurs"."Faudra-t-il alors désespérer ets'engouffrer dans une voie qui consiste à doter le mouvement d'une forme de direction ?", se demande ce parti. "Depuis ledébut, des appels directs ou indirects pour doter le mouvement d'une direction émanentd'acteurs travaillant au compte du système politique en place. Les mises en garde de la plupart des acteurs politiques acquis au changement du système et à l'option démocratique ont,jusque-là, épargné le mouvement d'une telle dérive", soutient-il. "Ni la nature du mouvement, ni l'état des institutions neplaident pour une telle démarche qui ouvre la voie aux pressions et manipulations,voire à une dualité de pouvoiraussi improductive que dangereuse",estime-t-il. "L'heure n'estni à la peur, ni aux petits calculsencore moins aux découragements ou aux renoncements"écrit encore le parti. Evoquant les multiples dossiersinstruits actuellement auprès de la justice, le RCD se montresceptique et suggère qu'ils procèdentà des règlements de comptes. "De glissement en glissementet sous prétexte de protégerle mouvement, les nouveauxdonneurs d'ordre ont, entraîné l'appareiljudiciaire dans une opération de chasse aux sorcières dont euxseuls connaissent les tenants et les aboutissants".