Les étudiants sont toujours mobilisés. Ils ne sedécouragent point pour marquer leur présence à lamarche hebdomadaire du mardi, en soutien à la mobilisation pacifique duvendredi. Les étudiants sont toujours mobilisés. Ils ne sedécouragent point pour marquer leur présence à lamarche hebdomadaire du mardi, en soutien à la mobilisation pacifique duvendredi. Pour le 13e mardi consécutif, ils sont sortis en masse à Alger et dansd'autres villes du pays, pour réclamerune rupture totale avec le système actuel etses symboles rejetés en bloc.L'immense foule a investi les alentours dusiège du Premier ministère (Palais du Docteur Saâdane), d'où ils étaient sitôtrepoussés, par un imposant dispositifsécuritaire vers la place Audin et la rue Didouche Mourad.La police a utilisé laforce et les gaz lacrymogènes, des secouristes bénévoles ont soigné les étudiantstouchés. Les étudiants, qui rejettent le discours du général de corps d'Armée, AhmedGaïd Salah, prononcé la veille depuisOuargla, ont affiché, encore une fois, leurposition de principe, à savoir, le refus des élections du 4 juillet et ont réitéré l'exigence d'une transition démocratiquepour le passage à une Algérie nouvelle. Notons que le centre de la capitale a étéquadrillé dès les premières heures de la matinée de mardi. Les forces anti-émeutes ont occupé et bloqué tous les endroits oùles étudiants avaient l'habitude de se rassembler et de marcher. Les policiers ont occupé l'esplanade de la Grande Poste, ilsont bloqué les rues menant vers l'APN etle tribunal de Sidi Mhamed, et égalementl'Avenue Pasteur menant vers le tunneldes Facultés à la Place Audin. Les étudiantsont marché aussi à Oran, de la place1er Novembre vers le siège de la wilaya,pour exprimer leur ras-le-bol et scanderhaut et fort, un "départ inconditionnel" des symboles du pouvoir en place. Idem àBOuira, où les étudiants ont manifesté etcertains ont scandé des slogans hostiles àGaid Salah. "Makanch Intikhabat yaAissabat (Il n'y aura pas d'élections, bandede mafia)", ont scandé les étudiants. Descentaines d'étudiants ont manifesté aussi àMostaganem "pour un Etat civil, nonpour un régime militaire", "Non aux électionsde la fraude". A Tlemcen, des milliersd'étudiants ont organisé une marche."Nous sommes mobilisés et nous le resterons, jusqu'au démantèlement du système",ont-ils notamment sandés Pour le 13e mardi consécutif, ils sont sortis en masse à Alger et dansd'autres villes du pays, pour réclamerune rupture totale avec le système actuel etses symboles rejetés en bloc.L'immense foule a investi les alentours dusiège du Premier ministère (Palais du Docteur Saâdane), d'où ils étaient sitôtrepoussés, par un imposant dispositifsécuritaire vers la place Audin et la rue Didouche Mourad.La police a utilisé laforce et les gaz lacrymogènes, des secouristes bénévoles ont soigné les étudiantstouchés. Les étudiants, qui rejettent le discours du général de corps d'Armée, AhmedGaïd Salah, prononcé la veille depuisOuargla, ont affiché, encore une fois, leurposition de principe, à savoir, le refus des élections du 4 juillet et ont réitéré l'exigence d'une transition démocratiquepour le passage à une Algérie nouvelle. Notons que le centre de la capitale a étéquadrillé dès les premières heures de la matinée de mardi. Les forces anti-émeutes ont occupé et bloqué tous les endroits oùles étudiants avaient l'habitude de se rassembler et de marcher. Les policiers ont occupé l'esplanade de la Grande Poste, ilsont bloqué les rues menant vers l'APN etle tribunal de Sidi Mhamed, et égalementl'Avenue Pasteur menant vers le tunneldes Facultés à la Place Audin. Les étudiantsont marché aussi à Oran, de la place1er Novembre vers le siège de la wilaya,pour exprimer leur ras-le-bol et scanderhaut et fort, un "départ inconditionnel" des symboles du pouvoir en place. Idem àBOuira, où les étudiants ont manifesté etcertains ont scandé des slogans hostiles àGaid Salah. "Makanch Intikhabat yaAissabat (Il n'y aura pas d'élections, bandede mafia)", ont scandé les étudiants. Descentaines d'étudiants ont manifesté aussi àMostaganem "pour un Etat civil, nonpour un régime militaire", "Non aux électionsde la fraude". A Tlemcen, des milliersd'étudiants ont organisé une marche."Nous sommes mobilisés et nous le resterons, jusqu'au démantèlement du système",ont-ils notamment sandés