La sélection algérienne de football affronte aujourd'huison homologue du Kenya, avec la ferme intention de réussir sa première sortie enCoupe d'Afrique des nations(Can 2019), qu'abrite l'Egyptedu 21 juin au 19 juillet prochain. La sélection algérienne de football affronte aujourd'huison homologue du Kenya, avec la ferme intention de réussir sa première sortie enCoupe d'Afrique des nations(Can 2019), qu'abrite l'Egyptedu 21 juin au 19 juillet prochain. devra faire bonne figure et empocher surtout les trois points de la victoire.Les Verts doivent l'emporter par unscore plus ou moins important, ce quileur donnera confiance en prévisionde la suite du parcours qui s'annonced'ores et déjà difficile.La sélection algérienne, qui a participéà 17 phases finales de Couped'Afrique des nations a été éliminée 7fois au premier tour. Les Verts ontremporté une seule fois le trophée.C'était en 1990, lors de l'édition organiséepar l'Algérie. L'équipe nationalea atteint à 4 reprises les quarts definale.Lors de la dernière édition organiséepar le Gabon en 2017, les Verts, dirigés à cette époque par le technicienbelge George Leekens, ont été éliminés au premier tour. La sélection algérienneversion Belmadi est déterminée à passer le cap de ce premier tour etmiser carrément sur le titre. "Quand on démarre une compétition,c'est pour la gagner. Tous les sélectionneurspensent la même chose. Ilsne viennent pas ici pour faire de lafiguration", a-t-il avoué. Et d'ajouter : "Je sais que l'équipe algérienne al'habitude de sortir au premier tour. Désormais, nous sommes tenus de regarder vers l'avant. La déception fait partie du passé. A présent, toutenotre concentration sera fixée sur cette nouvelle aventure avec un nouvelétat d'esprit.Il est, donc, important pour nous de faire un bon résultat face au Kenyaafin de bien débuter la compétition,déjà par rapport à l'aspect mathématique et aussi pour la confiance. On doit se mettre rapidement dans le bainde la compétition et lancer la machinedans le bon sens", a rappelé, hier,Djamel Belmadi, lors de son point de presse au Caire, à la veille de ce rendez-vous. Parlant des conditions climatiques auCaire, l'entraîneur refuse de se cacherderrière ce paramètre. "Au Caire, latempérature est moins élevée qu'à Doha. Les joueurs se sentent mieux.Et puis, je dirai encore une fois que leclimat ne concerne pas uniquementnotre équipe", a-t-il dit. Belmadi refuse également le statut de favori et explique son idée par la présence de plusieurs équipes plus armées que la sélection algérienne,notamment celles qui ont pris part à la dernière Coupe du monde, à savoir le Sénégal, la Tunisie, le Maroc, l'Egypte et le Nigeria. Côté effectif, le sélectionneur national s'est réjoui de récupérer Ismaël Bennacer qui s'est entièrement remis de la blessure contractée dimanche dernier. Le joueur a repris les entraînements avec le reste du groupe vendrediau Caire. Le milieu de terraind'Empoli pourra faire son entrée lorsdu match d'aujourd'hui face auKenya.Toujours dans le même registre,Djamel Belmadi a déjà son onze rentrantdans sa tête. Il s'agit de M'bolhidans les bois, Atal, Mandi, Benlamri et Farès dans la défense, Abeid, Bennacer, Feghouli au milieu, alors que l'attaque sera composée de Bounedjah, Belaïli et Mahrez. Certes, le Kenya est loin de constituer un foudre de guerre pour les coéquipiers d'Andy Delort, mais une certaineméfiance doit être de mise. LesHarambee stars kényans vont devoirse battre pour déjouer les pronostics,ou du moins essayer de décrocher latroisième place qui pourrait leur permettre de passer le premier tour.Le Kenya, qui retrouve le tournoicontinental 15 ans après sa dernièreparticipation en Tunisie (Can 2004), ne veut pas se présenter dans la peaude la victime expiatoire.Les joueurs du sélectionneur françaisSébastien Migné espèrent réussir leurcome-back sur le plan africain et cela passera inévitablement par un exploit ce soir face à l'Algérie. Cette équipe, qui sera privée du défenseur deMartizburg United, Brian Mandela,forfait pour blessure, est composée de15 joueurs évoluant à l'étranger,menés par le milieu défensif deTottenham, Victor Wanyama devra faire bonne figure et empocher surtout les trois points de la victoire.Les Verts doivent l'emporter par unscore plus ou moins important, ce quileur donnera confiance en prévisionde la suite du parcours qui s'annonced'ores et déjà difficile.La sélection algérienne, qui a participéà 17 phases finales de Couped'Afrique des nations a été éliminée 7fois au premier tour. Les Verts ontremporté une seule fois le trophée.C'était en 1990, lors de l'édition organiséepar l'Algérie. L'équipe nationalea atteint à 4 reprises les quarts definale.Lors de la dernière édition organiséepar le Gabon en 2017, les Verts, dirigés à cette époque par le technicienbelge George Leekens, ont été éliminés au premier tour. La sélection algérienneversion Belmadi est déterminée à passer le cap de ce premier tour etmiser carrément sur le titre. "Quand on démarre une compétition,c'est pour la gagner. Tous les sélectionneurspensent la même chose. Ilsne viennent pas ici pour faire de lafiguration", a-t-il avoué. Et d'ajouter : "Je sais que l'équipe algérienne al'habitude de sortir au premier tour. Désormais, nous sommes tenus de regarder vers l'avant. La déception fait partie du passé. A présent, toutenotre concentration sera fixée sur cette nouvelle aventure avec un nouvelétat d'esprit.Il est, donc, important pour nous de faire un bon résultat face au Kenyaafin de bien débuter la compétition,déjà par rapport à l'aspect mathématique et aussi pour la confiance. On doit se mettre rapidement dans le bainde la compétition et lancer la machinedans le bon sens", a rappelé, hier,Djamel Belmadi, lors de son point de presse au Caire, à la veille de ce rendez-vous. Parlant des conditions climatiques auCaire, l'entraîneur refuse de se cacherderrière ce paramètre. "Au Caire, latempérature est moins élevée qu'à Doha. Les joueurs se sentent mieux.Et puis, je dirai encore une fois que leclimat ne concerne pas uniquementnotre équipe", a-t-il dit. Belmadi refuse également le statut de favori et explique son idée par la présence de plusieurs équipes plus armées que la sélection algérienne,notamment celles qui ont pris part à la dernière Coupe du monde, à savoir le Sénégal, la Tunisie, le Maroc, l'Egypte et le Nigeria. Côté effectif, le sélectionneur national s'est réjoui de récupérer Ismaël Bennacer qui s'est entièrement remis de la blessure contractée dimanche dernier. Le joueur a repris les entraînements avec le reste du groupe vendrediau Caire. Le milieu de terraind'Empoli pourra faire son entrée lorsdu match d'aujourd'hui face auKenya.Toujours dans le même registre,Djamel Belmadi a déjà son onze rentrantdans sa tête. Il s'agit de M'bolhidans les bois, Atal, Mandi, Benlamri et Farès dans la défense, Abeid, Bennacer, Feghouli au milieu, alors que l'attaque sera composée de Bounedjah, Belaïli et Mahrez. Certes, le Kenya est loin de constituer un foudre de guerre pour les coéquipiers d'Andy Delort, mais une certaineméfiance doit être de mise. LesHarambee stars kényans vont devoirse battre pour déjouer les pronostics,ou du moins essayer de décrocher latroisième place qui pourrait leur permettre de passer le premier tour.Le Kenya, qui retrouve le tournoicontinental 15 ans après sa dernièreparticipation en Tunisie (Can 2004), ne veut pas se présenter dans la peaude la victime expiatoire.Les joueurs du sélectionneur françaisSébastien Migné espèrent réussir leurcome-back sur le plan africain et cela passera inévitablement par un exploit ce soir face à l'Algérie. Cette équipe, qui sera privée du défenseur deMartizburg United, Brian Mandela,forfait pour blessure, est composée de15 joueurs évoluant à l'étranger,menés par le milieu défensif deTottenham, Victor Wanyama