Le juge enquêteur près la Cour suprême a ordonné, hier dimanche, le placement de l'ancien ministre et ex-sénateur, Djamel Ould Abbès en détention provisoire à la prison d'el Harrach, a-t-on appris auprès de la Cour suprême. Le juge enquêteur près la Cour suprême a ordonné, hier dimanche, le placement de l'ancien ministre et ex-sénateur, Djamel Ould Abbès en détention provisoire à la prison d'el Harrach, a-t-on appris auprès de la Cour suprême. Ould Abbès a comparu, dans la matinée d'hier, devant le juge enquêteur près la Cour suprême pour dilapidation de deniers publics, conclusion d'un marché en violation des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, et faux en écritures publiques, lorsqu'il était ministre de la Solidarité nationale et de la Famille. Le parquet général près la Cour suprême avait engagé les procédures de poursuite judiciaire à l'encontre de Djamel Ould Abbès, après son renoncement volontaireà son immunité parlementaire, selon lesformes et dispositions prévues dans le Code de procédure pénale, pour des faits punis par la loi. Il s'agit des chefs d'inculpation de "dilapidation de deniers publics, conclusion d'un marché en violation des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, abus de fonction et faux en écritures publiques". Le dossier de cette affaire avait été transféré au juge enquêteur désigné à cet effet, pour prendre les mesures adéquates. L'ancien ministre de la Solidarité nationale et ex-sénateur, Said Barkat qui a, également, renoncé à son immunité parlementaire, est poursuivi dans des affaires similaires. Ould Abbès a comparu, dans la matinée d'hier, devant le juge enquêteur près la Cour suprême pour dilapidation de deniers publics, conclusion d'un marché en violation des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, et faux en écritures publiques, lorsqu'il était ministre de la Solidarité nationale et de la Famille. Le parquet général près la Cour suprême avait engagé les procédures de poursuite judiciaire à l'encontre de Djamel Ould Abbès, après son renoncement volontaireà son immunité parlementaire, selon lesformes et dispositions prévues dans le Code de procédure pénale, pour des faits punis par la loi. Il s'agit des chefs d'inculpation de "dilapidation de deniers publics, conclusion d'un marché en violation des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, abus de fonction et faux en écritures publiques". Le dossier de cette affaire avait été transféré au juge enquêteur désigné à cet effet, pour prendre les mesures adéquates. L'ancien ministre de la Solidarité nationale et ex-sénateur, Said Barkat qui a, également, renoncé à son immunité parlementaire, est poursuivi dans des affaires similaires.