Le ministre de l'Enseignementsupérieur et de la Recherche scientifique vient d'adresser une instruction, à tous les recteurs des universités et des centres universitaires, afind'utiliser les langues arabe anglaise, sur les en-têtes de Le ministre de l'Enseignementsupérieur et de la Recherche scientifique vient d'adresser une instruction, à tous les recteurs des universités et des centres universitaires, afind'utiliser les langues arabe anglaise, sur les en-têtes de tous les documents administratifsqui étaient inscrits enlangue française.Autrement, le français ne seradésormais plus visible ni lisibleen haut des documents officiels relevant du secteur de l'Enseignement supérieur, comme le souligne l'instruction ministérielle. Dans son instruction, le ministre, Tayeb Bouzid, justifie cette mesure par le souci "d'encourager et consolider l'usage de l'anglais et donner de la visibilité à nos activités universitaires et de recherche scientifiques". Pour rappel, le ministre de l'Enseignement supérieur a lancé récemment, un sondage d'opinion auprès de la communauté universitaire, pour savoirs'ils étaient favorables ou pasà l'usage de l'anglais au sein de l'université. Il en est ressorti, que 94% des sondés ont répondu positivement, contre seulement 5,5 % qui étaient contre. Il faut préciser, qu' un peu plus de 94.000, entre étudiants et enseignements, ont participé à ce sondage sur un totale d'un million 700.000 étudiants inscrits durant l'année 2018-2019. Mais, ce modeste résultat semble avoir suffi pour enclencher le processus du remplacement du français par l'anglais, alors même que le pays ne dispose ni de ressources humaines pour encadrer l'opération et, encore moins, de matériels pédagogique. tous les documents administratifsqui étaient inscrits enlangue française.Autrement, le français ne seradésormais plus visible ni lisibleen haut des documents officiels relevant du secteur de l'Enseignement supérieur, comme le souligne l'instruction ministérielle. Dans son instruction, le ministre, Tayeb Bouzid, justifie cette mesure par le souci "d'encourager et consolider l'usage de l'anglais et donner de la visibilité à nos activités universitaires et de recherche scientifiques". Pour rappel, le ministre de l'Enseignement supérieur a lancé récemment, un sondage d'opinion auprès de la communauté universitaire, pour savoirs'ils étaient favorables ou pasà l'usage de l'anglais au sein de l'université. Il en est ressorti, que 94% des sondés ont répondu positivement, contre seulement 5,5 % qui étaient contre. Il faut préciser, qu' un peu plus de 94.000, entre étudiants et enseignements, ont participé à ce sondage sur un totale d'un million 700.000 étudiants inscrits durant l'année 2018-2019. Mais, ce modeste résultat semble avoir suffi pour enclencher le processus du remplacement du français par l'anglais, alors même que le pays ne dispose ni de ressources humaines pour encadrer l'opération et, encore moins, de matériels pédagogique.