Le coordonnateur de l'instance de dialogue et de médiation, Karim Younes, est revenu hier mardi, sur les principales questions qui préoccupent l'opinion publique, concernant le dialogue national inclusif que chapeaute le Panel. Il a ainsi soutenu, qu'aucune partie n'est intervenue dans la désignation de la composante de l'instance de dialogue, comme cela est rapporté par certains, estimant que ce ne sont que des "allégations". Le coordonnateur de l'instance de dialogue et de médiation, Karim Younes, est revenu hier mardi, sur les principales questions qui préoccupent l'opinion publique, concernant le dialogue national inclusif que chapeaute le Panel. Il a ainsi soutenu, qu'aucune partie n'est intervenue dans la désignation de la composante de l'instance de dialogue, comme cela est rapporté par certains, estimant que ce ne sont que des "allégations". Dans un entretien accordé hier à Radio M, Karim Younes a persisté s'agissant de la libération des détenus, l'arrêt des harcèlements contre les manifestants et la levée du blocage des manifestants qui veulent rallier la capitale le vendredi, pour manifester. Il a de même plaidé de nouiveau, pour l'ouverture du champ médiatique, en estimant que "ces conditions vont faciliter l'entame du dialogue. Nous attendon du chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, qu'il tienne ses engagements pour la concrétisation de ces doléances, ainsi que la question du départ du gouvernement qui est fortement exigé par le hirak", a-t-il encore précisé. Sur la question du dialogue, il a martelé que ni la présidence de la République, ni l'institution militaire, ni aucune autre partie, ne vont intervenir. Abordant la rencontre d'aujourd'hui avec ders acteurs du Hirak, il a indiqué que les participants vont axer leurs préoccupations sur les plateformes des réunions des 15 et du 26 juin, et celle du 6 juillet. Sur les personnes qui ont rejoint l'instance, il dira que tous sont engagés pour contribuer à la satisfaction des revendications du Hirak. Par ailleurs, la chaine 3 de la Radio algérienne a indiqué, que le président du comité politique de cette instance, Amar Belhimer, promet un "dialogue totalement inclusif", précédé par des mesures d'apaisement, "afin de rétablir la confiance". Ce dialogue, déclare celui-ci, suppose que vous invitez des parties "sans préalable aucun", dès lors, ajoute-t-il, qu'on est d'accord pour que le pays "préserve son intégrité, sa stabilité et sa souveraineté". Pour lui, à partir du moment où l'on peut "converger sur les voies, les moyens et les délais relatifs à ce dialogue, l'important est de partager un objectif commun à caractère patriotique". M. Belhimer rappelle que l'Instance se veut, d'autre part, une structure visant à créer un consensus, pour aller vers des élections "le plus vite possible", pour combler le vide institutionnel. Questionné par la chaine 3, il annonce, par ailleurs, l'organisation d'une seconde rencontre de l'instance, dimanche prochain, avec cette fois, les membres des partis politique et ceux de la société civile, dont l'objectif, explique-t-il, vise à démarrer un dialogue ouvrant la voie à un consensus autour de l'organisation d'un scrutin présidentiel, sur la base de "garanti es de transparence". Les conditions de ces garanties, poursuit M. Belhimer, seront discutées puis adoptées, lors d'une conférence nationale de concertation et de dialogue, qui s'attachera à entériner les textes relatifs à l'instance d'organisation et de surveillance de ce scrutin, et de restauration du cadre d'actions institutionnelles et constitutionnelles dans le pays. Dans un entretien accordé hier à Radio M, Karim Younes a persisté s'agissant de la libération des détenus, l'arrêt des harcèlements contre les manifestants et la levée du blocage des manifestants qui veulent rallier la capitale le vendredi, pour manifester. Il a de même plaidé de nouiveau, pour l'ouverture du champ médiatique, en estimant que "ces conditions vont faciliter l'entame du dialogue. Nous attendon du chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, qu'il tienne ses engagements pour la concrétisation de ces doléances, ainsi que la question du départ du gouvernement qui est fortement exigé par le hirak", a-t-il encore précisé. Sur la question du dialogue, il a martelé que ni la présidence de la République, ni l'institution militaire, ni aucune autre partie, ne vont intervenir. Abordant la rencontre d'aujourd'hui avec ders acteurs du Hirak, il a indiqué que les participants vont axer leurs préoccupations sur les plateformes des réunions des 15 et du 26 juin, et celle du 6 juillet. Sur les personnes qui ont rejoint l'instance, il dira que tous sont engagés pour contribuer à la satisfaction des revendications du Hirak. Par ailleurs, la chaine 3 de la Radio algérienne a indiqué, que le président du comité politique de cette instance, Amar Belhimer, promet un "dialogue totalement inclusif", précédé par des mesures d'apaisement, "afin de rétablir la confiance". Ce dialogue, déclare celui-ci, suppose que vous invitez des parties "sans préalable aucun", dès lors, ajoute-t-il, qu'on est d'accord pour que le pays "préserve son intégrité, sa stabilité et sa souveraineté". Pour lui, à partir du moment où l'on peut "converger sur les voies, les moyens et les délais relatifs à ce dialogue, l'important est de partager un objectif commun à caractère patriotique". M. Belhimer rappelle que l'Instance se veut, d'autre part, une structure visant à créer un consensus, pour aller vers des élections "le plus vite possible", pour combler le vide institutionnel. Questionné par la chaine 3, il annonce, par ailleurs, l'organisation d'une seconde rencontre de l'instance, dimanche prochain, avec cette fois, les membres des partis politique et ceux de la société civile, dont l'objectif, explique-t-il, vise à démarrer un dialogue ouvrant la voie à un consensus autour de l'organisation d'un scrutin présidentiel, sur la base de "garanti es de transparence". Les conditions de ces garanties, poursuit M. Belhimer, seront discutées puis adoptées, lors d'une conférence nationale de concertation et de dialogue, qui s'attachera à entériner les textes relatifs à l'instance d'organisation et de surveillance de ce scrutin, et de restauration du cadre d'actions institutionnelles et constitutionnelles dans le pays.