Entre l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) et le parti du Front de libération nationale (FLN), rien ne va plus! Entre les deux parties, la guerre des tranchées fait en effet, rage et rien n'indique qu'elle va connaître un apaisement, à l'avenir. Et c'està l'initiative de l'ONM, quecette crise est en train deprendre une grande ampleur. Entre l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) et le parti du Front de libération nationale (FLN), rien ne va plus! Entre les deux parties, la guerre des tranchées fait en effet, rage et rien n'indique qu'elle va connaître un apaisement, à l'avenir. Et c'està l'initiative de l'ONM, quecette crise est en train deprendre une grande ampleur. L'Organisation des moudjahidine n'a eu de cesse, ces derniers temps, d'appeler ouvertement à la dissolution du vieux parti et sa "mise au musée". Son secrétaire général par intérim, Mohand Ouamer Ben El Hadj, est encoreune fois revenu à la charge, avant-hiersoir. Dans un nouveau message sur Youtube, à la veille de la célébration du doubleanniversaire du 20 août, il demande auministère de l'Intérieur, légalement habilitéà prendre des décisions dans ce sens,d'appliquer la loi sur les partis politiques datant de 2012, en retirant l'agrément au FLN. Le ministère de l'Intérieur est ainsiinterpellé par l'ONM, qui a evoqué la loisur les partis politiques pour appuyerdirectement sa demande. Comme quoi, le parti du FLN est hors la loi, à en croire l'ONM, et les pouvoirs publics doivent agir pour rectifier cette anomalie.Mohand Ouamer Ben El Hadj n'a pas été tendre non plus, avec le reste de la classe politique actuelle, déplorant l'absence d'un "grand parti politique porteur d'un projet structurant", puis reproche aux partis actuels, d'être animés par "des objectifs personnels et partisans". Enfin, le SG par intérim de l'ONMrevient à la charge sur la réactivation du projet de loi sur la criminalisation du colonialisme, et rappelle avoir saisi dans ce sens, le président de l'APN, Slimane Chenine. Le parti du FLN n'est pas resté les bras croisés, et a vite réagi à cette nouvelle attaque. Dans un communiqué rendu public hier, l'ex-parti unique a vivement dénoncé les propos du premier responsable de l'ONM.Le FLN considère cette attitude condamnable, comme une violation des principes de l'organisation contre un parti qui appartient avant tout, à ses militants. Le FLN estime que ce "grave dérapage" émane d'une personne qui oeuvre pour un "agenda inavoué", qui a des liens avecd'autres appels dans ce sens, ayant des ramifications à l'étranger. Enfin, le communiqué indique que le FLN est prêt à faire face à toutes les campagnes le visant L'Organisation des moudjahidine n'a eu de cesse, ces derniers temps, d'appeler ouvertement à la dissolution du vieux parti et sa "mise au musée". Son secrétaire général par intérim, Mohand Ouamer Ben El Hadj, est encoreune fois revenu à la charge, avant-hiersoir. Dans un nouveau message sur Youtube, à la veille de la célébration du doubleanniversaire du 20 août, il demande auministère de l'Intérieur, légalement habilitéà prendre des décisions dans ce sens,d'appliquer la loi sur les partis politiques datant de 2012, en retirant l'agrément au FLN. Le ministère de l'Intérieur est ainsiinterpellé par l'ONM, qui a evoqué la loisur les partis politiques pour appuyerdirectement sa demande. Comme quoi, le parti du FLN est hors la loi, à en croire l'ONM, et les pouvoirs publics doivent agir pour rectifier cette anomalie.Mohand Ouamer Ben El Hadj n'a pas été tendre non plus, avec le reste de la classe politique actuelle, déplorant l'absence d'un "grand parti politique porteur d'un projet structurant", puis reproche aux partis actuels, d'être animés par "des objectifs personnels et partisans". Enfin, le SG par intérim de l'ONMrevient à la charge sur la réactivation du projet de loi sur la criminalisation du colonialisme, et rappelle avoir saisi dans ce sens, le président de l'APN, Slimane Chenine. Le parti du FLN n'est pas resté les bras croisés, et a vite réagi à cette nouvelle attaque. Dans un communiqué rendu public hier, l'ex-parti unique a vivement dénoncé les propos du premier responsable de l'ONM.Le FLN considère cette attitude condamnable, comme une violation des principes de l'organisation contre un parti qui appartient avant tout, à ses militants. Le FLN estime que ce "grave dérapage" émane d'une personne qui oeuvre pour un "agenda inavoué", qui a des liens avecd'autres appels dans ce sens, ayant des ramifications à l'étranger. Enfin, le communiqué indique que le FLN est prêt à faire face à toutes les campagnes le visant