Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mohamed Miraoui a instruit, samedi à Alger, les directeurs de la santé publique (DSP) de wilayas de saisir la justice contre les auteurs de violences sur le personnel des établissements de la santé. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mohamed Miraoui a instruit, samedi à Alger, les directeurs de la santé publique (DSP) de wilayas de saisir la justice contre les auteurs de violences sur le personnel des établissements de la santé. S'exprimant lors d'une réunion avec les DSP des wilayas du pays à l'occasion de la rentrée sociale, le ministre a insisté sur "l'impératif de déposer plainte et de se constituer partie civile contre tout auteur de violences sur le personnel de la santé en laissant la justice suivre son cours", affirmant qu'"aucun individu, quels que soient ses motifs, n'a le droit de se livrer à ces actes nuisibles et qui entravent le secteur, en général". Pour alléger la pression sur les services des urgences, "les plus exposés à la violence", le ministre a annoncé un plan visant le renforcement de ces services en corps médical et paramédical, la formation des agents de sécurité, l'installation de dispositifs de surveillance et l'augmentation du nombre des polycliniques pour la prise en charge des consultations spécialisées. Parmi les décisions prises par le gouvernement pour améliorer la prise en charge de la population, notamment dans les régions du Sud, le ministre a évoqué "la réception des nouveaux projets et l'accélération des projets accusant un retard de réalisation pour des raisons subjectives, la mise en service des structures réceptionnées mais non opérationnelles, outre la mise en service des équipements médicaux n'ayant pas encore été utilisés". Le ministre a également donné des instructions fermes à l'effet de "rationaliser la gestion, consolider le dialogue social avec les partenaires et les travailleurs du ecteur, prévenir les conflits sociaux, verser les rémunérations des travailleurs, dans les délais". Pour assurer une disponibilité durable de produits pharmaceutiques, le premier responsable du secteur a mis en avant la mission de la cellule installée récemment, en vue de permettre à toutes les wilayas, notamment le Grand Sud, d'accéder aux médicaments, relevant à ce propos "l'autorisation des professionnels à ouvrir des annexes de pharmacie et la réception urgente des centres spécialisés, notamment ceux implantés aux frontières, et leur équipement pour les mettre en service". M. Miraoui a appelé, à cette occasion, à l'application effective du jumelage entre wilayas du Sud et des Hauts-Plateaux et grands établissements hospitaliers du Nord, tout en assurant le suivi et l'évaluation. Concernant le secteur privé, le ministre a insisté sur la nécessité de prendre des mesures à l'encontre de tout établissement de santé, dont l'activité n'est pas conforme au cahier de charges, ainsi que sur l'impérative création d'établissements d'urgences spécialisés en cardiologue et neurologie, outre l'impératif d'assurer le suivi quotidien de la femmeenceinte. S'agissant des projets d'établissements hospitaliers universitaires programmés mais non encore lancés, le ministre a annoncé "la levée de gel" sur les deux hôpitaux de Béchar et d'Ouargla, affirmant que ces deux établissements contribueront au rapprochement de la Santé du citoyen dans le Sud S'exprimant lors d'une réunion avec les DSP des wilayas du pays à l'occasion de la rentrée sociale, le ministre a insisté sur "l'impératif de déposer plainte et de se constituer partie civile contre tout auteur de violences sur le personnel de la santé en laissant la justice suivre son cours", affirmant qu'"aucun individu, quels que soient ses motifs, n'a le droit de se livrer à ces actes nuisibles et qui entravent le secteur, en général". Pour alléger la pression sur les services des urgences, "les plus exposés à la violence", le ministre a annoncé un plan visant le renforcement de ces services en corps médical et paramédical, la formation des agents de sécurité, l'installation de dispositifs de surveillance et l'augmentation du nombre des polycliniques pour la prise en charge des consultations spécialisées. Parmi les décisions prises par le gouvernement pour améliorer la prise en charge de la population, notamment dans les régions du Sud, le ministre a évoqué "la réception des nouveaux projets et l'accélération des projets accusant un retard de réalisation pour des raisons subjectives, la mise en service des structures réceptionnées mais non opérationnelles, outre la mise en service des équipements médicaux n'ayant pas encore été utilisés". Le ministre a également donné des instructions fermes à l'effet de "rationaliser la gestion, consolider le dialogue social avec les partenaires et les travailleurs du ecteur, prévenir les conflits sociaux, verser les rémunérations des travailleurs, dans les délais". Pour assurer une disponibilité durable de produits pharmaceutiques, le premier responsable du secteur a mis en avant la mission de la cellule installée récemment, en vue de permettre à toutes les wilayas, notamment le Grand Sud, d'accéder aux médicaments, relevant à ce propos "l'autorisation des professionnels à ouvrir des annexes de pharmacie et la réception urgente des centres spécialisés, notamment ceux implantés aux frontières, et leur équipement pour les mettre en service". M. Miraoui a appelé, à cette occasion, à l'application effective du jumelage entre wilayas du Sud et des Hauts-Plateaux et grands établissements hospitaliers du Nord, tout en assurant le suivi et l'évaluation. Concernant le secteur privé, le ministre a insisté sur la nécessité de prendre des mesures à l'encontre de tout établissement de santé, dont l'activité n'est pas conforme au cahier de charges, ainsi que sur l'impérative création d'établissements d'urgences spécialisés en cardiologue et neurologie, outre l'impératif d'assurer le suivi quotidien de la femmeenceinte. S'agissant des projets d'établissements hospitaliers universitaires programmés mais non encore lancés, le ministre a annoncé "la levée de gel" sur les deux hôpitaux de Béchar et d'Ouargla, affirmant que ces deux établissements contribueront au rapprochement de la Santé du citoyen dans le Sud