Apparemment le travail de la commission nationale de dialogue et de médiation (INDM) est sur le point d'être achevé. Apparemment le travail de la commission nationale de dialogue et de médiation (INDM) est sur le point d'être achevé. En effet l'Instance semble avoir finalisé son rapport qui sera transmis incessamment au chef de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah. C'est en tout cas ce qu'a déclaré hier samedi le coordonnateur de cette Instance, Karim Younes suite à la réunion d'une des commissions de l'INDM. Il s'agit de la commission nationale juridique qui s'est réunie hier pour étudier les propositions recueillies suite aux consultations menées avec les partis politiques, associations et personnalité nationales dans le cadre du dialogue. A cet effet le coordinateur général de l'Instance a fait savoir que le rapport final de la commission est "prêt à être soumis au chef de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah". Karim Younès a, par ailleurs, dévoilé une partie des conclusions contenues dans le rapport final, notamment celles relatives au code électoral. Il ne sera désormais plus obligatoire de récolter 600 signatures individuelles auprès d'élus. Il faut savoir que dans les dispositions du code électoral actuel tout candidat à l'élection présidentielle est tenu de collecter 60.000 signatures de citoyens ou, à défaut, 600 signatures d'élus, des assemblées locales (APC et APW) ou nationales (APN et Conseil de a nation). L'autre proposition d'amendement, comme révélé hier par Karim Younes, porte sur le niveau d'instruction de tout candidat à la magistrature suprême. Ainsi le candidat à la présidentielle devra être titulaire d'un diplôme universitaire. Une proposition qui risque de ne pas être retenue car d'aucuns estiment, d'ores et déjà, qu'elle est inconstitutionnelle. Selon des indiscrétions le rapport final, qui comportera donc des proposition sur l'instance indépendante devant chapeauter l'élection présidentielle ainsi que sur le code électoral, proposera aussi, au titre des mesures d'apaisement, le départ du gouvernement que dirige Nouredine Bedoui. En effet l'Instance semble avoir finalisé son rapport qui sera transmis incessamment au chef de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah. C'est en tout cas ce qu'a déclaré hier samedi le coordonnateur de cette Instance, Karim Younes suite à la réunion d'une des commissions de l'INDM. Il s'agit de la commission nationale juridique qui s'est réunie hier pour étudier les propositions recueillies suite aux consultations menées avec les partis politiques, associations et personnalité nationales dans le cadre du dialogue. A cet effet le coordinateur général de l'Instance a fait savoir que le rapport final de la commission est "prêt à être soumis au chef de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah". Karim Younès a, par ailleurs, dévoilé une partie des conclusions contenues dans le rapport final, notamment celles relatives au code électoral. Il ne sera désormais plus obligatoire de récolter 600 signatures individuelles auprès d'élus. Il faut savoir que dans les dispositions du code électoral actuel tout candidat à l'élection présidentielle est tenu de collecter 60.000 signatures de citoyens ou, à défaut, 600 signatures d'élus, des assemblées locales (APC et APW) ou nationales (APN et Conseil de a nation). L'autre proposition d'amendement, comme révélé hier par Karim Younes, porte sur le niveau d'instruction de tout candidat à la magistrature suprême. Ainsi le candidat à la présidentielle devra être titulaire d'un diplôme universitaire. Une proposition qui risque de ne pas être retenue car d'aucuns estiment, d'ores et déjà, qu'elle est inconstitutionnelle. Selon des indiscrétions le rapport final, qui comportera donc des proposition sur l'instance indépendante devant chapeauter l'élection présidentielle ainsi que sur le code électoral, proposera aussi, au titre des mesures d'apaisement, le départ du gouvernement que dirige Nouredine Bedoui.