L'Instance nationale de dialogue et de médiation (INDM) a indiqué mercredi que le rapport envoyé récemment aux partis politiques ayant participé aux rounds de dialogue était un document "préliminaire", les textes juridiques y figurant faisant encore l'objet de débat et d'enrichissement. L'Instance nationale de dialogue et de médiation (INDM) a indiqué mercredi que le rapport envoyé récemment aux partis politiques ayant participé aux rounds de dialogue était un document "préliminaire", les textes juridiques y figurant faisant encore l'objet de débat et d'enrichissement. Compte tenu de la "polémique" suscitée, dans les médias, par le rapport préliminaire qu'elle a soumis aux partis politiques rencontrés dans le cadre des rounds de dialogue et de concertation, l'Instance nationale de dialogue et de médiation (INDM) tient à signaler que le document en question est un "rapport préliminaire" et que les textes juridiques y figurant "ne sont pas finaux" et qu'ils font encore l'objet de débat et d'enrichissement par les différents acteurs politiques. L'INDM a, par ailleurs, affirmé qu'elle "inclura toutes les propositions lui parvenant dans le rapport final qu'elle élaborera ultérieurement". Pour rappel ce rapport a été fortement critiqué par certains partis, à l'exemple du parti d'El Bina, car trouvant son contenu nettement en deca des espérances populaires. Les suggestions de l'INDM portaient notamment sur des propositions de dispositions juridiques à introduire dans le projet de loi portant sur le code électoral ainsi que sur le projet de loi relatif à l'instance de contrôle et de surveillance des élections. Compte tenu de la "polémique" suscitée, dans les médias, par le rapport préliminaire qu'elle a soumis aux partis politiques rencontrés dans le cadre des rounds de dialogue et de concertation, l'Instance nationale de dialogue et de médiation (INDM) tient à signaler que le document en question est un "rapport préliminaire" et que les textes juridiques y figurant "ne sont pas finaux" et qu'ils font encore l'objet de débat et d'enrichissement par les différents acteurs politiques. L'INDM a, par ailleurs, affirmé qu'elle "inclura toutes les propositions lui parvenant dans le rapport final qu'elle élaborera ultérieurement". Pour rappel ce rapport a été fortement critiqué par certains partis, à l'exemple du parti d'El Bina, car trouvant son contenu nettement en deca des espérances populaires. Les suggestions de l'INDM portaient notamment sur des propositions de dispositions juridiques à introduire dans le projet de loi portant sur le code électoral ainsi que sur le projet de loi relatif à l'instance de contrôle et de surveillance des élections.