Le mouvement populaire ne donne aucun signe d'essoufflement. Entamé le 22 février dernier, il se poursuit,vaille que vaille . Le mouvement populaire ne donne aucun signe d'essoufflement. Entamé le 22 février dernier, il se poursuit,vaille que vaille . Hier en effet, des Algériens sont sortis manifester dans les rues des nombreuses villes du pays, pour réclamer, comme ils le font depuis le premier vendredi de la contestation populaire, le changement radical du système et le départ des symboles du régime de l'ancien président, Abdelaziz Bouteflika, qui a démissionné le 2 avril dernier, suite à ce soulèvement populaire. Le Hirak était hier a sa trentième (30e) manifestation. Et comme les précédentes manifestations, les Algériens qui ont battu le pavé hier, ont de nouveau exprimé leursrevendications, à travers les slogans et les pancartes. Ils ont ainsi réitéré leur attachement indéfectible à un Etat de droit, à une justice indépendante, à la consécration d'un Etat qui garantit toutes les libertés collectives et individuelles ….. Bref, et comme ils le font chaque vendredi, à l'avènement d'une nouvelle République qu'ils n'ont eu de cesse de clamer de tous leurs voeux ,depuis maintenant presque sept mois. Les manifestants d'hier ont une fois encore, rejeté l'option de l'élection présidentielle. "Makanach intikhabates maa el issabates" (pas d'élections avec les bandes), alors que le pouvoir semble plus décidé que jamais, à organiser le scrutin présidentiel, avant la fin de l'année. A Alger comme dans les autres villes du pays, des dizaines de milliers d'Algériens ont en effet scandé des slogans, réclamant le départ du chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, et du Premier ministre, Nouredine Bedoui, car, à leurs yeux, ils incarnent l'ancien régime de Bouteflika. Les manifestants ont aussi exprimé leur solidarité avec Karim Tabou, en réclamant sa libération. Tabou, qui est une des figures de proue du Hirak, a été arrêté et incarcéré à la prison de Koléa. Ils ont aussi demandé la libération de tous les autres détenus dont, notamment, le moudjahid Lakhdar Bouraga. Hier à Alger, comme annoncé par plusieurs sources, plusieurs personnes ont été arrêtés par les forces de l'ordre. Hier en effet, des Algériens sont sortis manifester dans les rues des nombreuses villes du pays, pour réclamer, comme ils le font depuis le premier vendredi de la contestation populaire, le changement radical du système et le départ des symboles du régime de l'ancien président, Abdelaziz Bouteflika, qui a démissionné le 2 avril dernier, suite à ce soulèvement populaire. Le Hirak était hier a sa trentième (30e) manifestation. Et comme les précédentes manifestations, les Algériens qui ont battu le pavé hier, ont de nouveau exprimé leursrevendications, à travers les slogans et les pancartes. Ils ont ainsi réitéré leur attachement indéfectible à un Etat de droit, à une justice indépendante, à la consécration d'un Etat qui garantit toutes les libertés collectives et individuelles ….. Bref, et comme ils le font chaque vendredi, à l'avènement d'une nouvelle République qu'ils n'ont eu de cesse de clamer de tous leurs voeux ,depuis maintenant presque sept mois. Les manifestants d'hier ont une fois encore, rejeté l'option de l'élection présidentielle. "Makanach intikhabates maa el issabates" (pas d'élections avec les bandes), alors que le pouvoir semble plus décidé que jamais, à organiser le scrutin présidentiel, avant la fin de l'année. A Alger comme dans les autres villes du pays, des dizaines de milliers d'Algériens ont en effet scandé des slogans, réclamant le départ du chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, et du Premier ministre, Nouredine Bedoui, car, à leurs yeux, ils incarnent l'ancien régime de Bouteflika. Les manifestants ont aussi exprimé leur solidarité avec Karim Tabou, en réclamant sa libération. Tabou, qui est une des figures de proue du Hirak, a été arrêté et incarcéré à la prison de Koléa. Ils ont aussi demandé la libération de tous les autres détenus dont, notamment, le moudjahid Lakhdar Bouraga. Hier à Alger, comme annoncé par plusieurs sources, plusieurs personnes ont été arrêtés par les forces de l'ordre.