Pour le mouvement populaire, la manifestation d'hier était la dernière du long mois d'août où durant cinq vendredis de suite, les Algériens ont défié la canicule pour maintenir la mobilisation autour de leurs revendications pour un changement radical du système politique. Pour le mouvement populaire, la manifestation d'hier était la dernière du long mois d'août où durant cinq vendredis de suite, les Algériens ont défié la canicule pour maintenir la mobilisation autour de leurs revendications pour un changement radical du système politique. L'acte 28 du Hirak a été en quelque sorte, une forme de délivrance pour celles et ceux qui croient dur come fer, que le mouvement populaire, entamé le 22 février dernier et qui a par voie de conséquence déjà entamé son septième mois, va connaître une nouvelle dynamique au mois de septembre. Hier donc, des milliers d'Algériens ont, de nouveau, battu le pavé à Alger et dans de nombreuses autres villes du pays. Avec la même ténacité, ils ont, de nouveau, mis en avant leur inébranlable volonté d'aller de l'avant, pour une Algérie démocratique, pour une Algérie meilleure. Les slogans scandés par les foules attestent, en effet, de ce désir de rompre, définitivement et irrémédiablement, avec l'ancien système pour bâtir une nouvelle République qui consacrerait l'ensemble des aspirations populaires à un changement démocratique. Pour "un Etat de droit" et "une justice indépendante", sont en quelque sorte devenus, au fil des vendredis et depuis le 22 février, des leitmotivs que scandent les foules inlassablement. Des foules qui, une fois de plus, ont aussi plaidé pour "un Etat civil et non militaire" et "pour une transition démocratique". Des manifestants ont aussi demandé la libération de tous les détenus, en premier lieu le moudjahid Lakhdar Bouragaa. De même qu'ils ont dit non au dialogue que mène depuis quelques jours déjà, l'Instance de dialoguer et de médiation, que coordonne karim Younes. "Djazair hora dimocratiya" et "Makanach ntikhabat maa el issabat", ont été aussi les slogans les plus répétés par les foules sur l'ensemble du territoire national. En somme, comme ce fut le cas auparavant, les manifestants rejettent la tenue d'élections présidentielles dans ces conditions politiques actuelles. Les manifestants ont aussi dit non à certaines figures du régime de l'ancien président Bouteflika, à l'exemple de Bensalah et Bedoui, qui sont des indésirables. Notons qu'hier à Alger, un imposant dispositif sécuritaire a été déployé et les forces de l'ordre ont procédé, notamment dans la matinée peu avant la piètre de vendredi, à quelques interpellations de manifestants. L'acte 28 du Hirak a été en quelque sorte, une forme de délivrance pour celles et ceux qui croient dur come fer, que le mouvement populaire, entamé le 22 février dernier et qui a par voie de conséquence déjà entamé son septième mois, va connaître une nouvelle dynamique au mois de septembre. Hier donc, des milliers d'Algériens ont, de nouveau, battu le pavé à Alger et dans de nombreuses autres villes du pays. Avec la même ténacité, ils ont, de nouveau, mis en avant leur inébranlable volonté d'aller de l'avant, pour une Algérie démocratique, pour une Algérie meilleure. Les slogans scandés par les foules attestent, en effet, de ce désir de rompre, définitivement et irrémédiablement, avec l'ancien système pour bâtir une nouvelle République qui consacrerait l'ensemble des aspirations populaires à un changement démocratique. Pour "un Etat de droit" et "une justice indépendante", sont en quelque sorte devenus, au fil des vendredis et depuis le 22 février, des leitmotivs que scandent les foules inlassablement. Des foules qui, une fois de plus, ont aussi plaidé pour "un Etat civil et non militaire" et "pour une transition démocratique". Des manifestants ont aussi demandé la libération de tous les détenus, en premier lieu le moudjahid Lakhdar Bouragaa. De même qu'ils ont dit non au dialogue que mène depuis quelques jours déjà, l'Instance de dialoguer et de médiation, que coordonne karim Younes. "Djazair hora dimocratiya" et "Makanach ntikhabat maa el issabat", ont été aussi les slogans les plus répétés par les foules sur l'ensemble du territoire national. En somme, comme ce fut le cas auparavant, les manifestants rejettent la tenue d'élections présidentielles dans ces conditions politiques actuelles. Les manifestants ont aussi dit non à certaines figures du régime de l'ancien président Bouteflika, à l'exemple de Bensalah et Bedoui, qui sont des indésirables. Notons qu'hier à Alger, un imposant dispositif sécuritaire a été déployé et les forces de l'ordre ont procédé, notamment dans la matinée peu avant la piètre de vendredi, à quelques interpellations de manifestants.