Les vendredis se suivent et se ressemblent. Hier, c'était le 29e acte du mouvement populaire, où des Algériens, sont sortis battre le pavé, dans l'ensemble du pays, pour revendiquer le changement radical. Les vendredis se suivent et se ressemblent. Hier, c'était le 29e acte du mouvement populaire, où des Algériens, sont sortis battre le pavé, dans l'ensemble du pays, pour revendiquer le changement radical. A Alger, comme dans d'autres villes du pays, des dizaines de milliers de citoyens sont de nouveau descendus dans les rues, pour dire haut et fort leur inébranlable foi, en le changement radical et l'instauration d'un Etat de droit avec son corolaire et une justice indépendante de toute tutelle. Somme toute, le 29e acte du Hirak n'a pas dérogé à la règle, en ce sens que les manifestants ont, comme ils le font depuis la toute première marche, leur ferme engagement d'aller de l'avant pour la concrétisation de l'avènement d'une nouvelle République, voulue et souhaitée, par ailleurs, par l'écrasante majorité du peuple algerien. Et il n' ya qu'à voir les pancartes brandies hier par les manifestants, pour s'en convaincre.Toutes plaident, en effet, pour une Algérie démocratique, pour une Algérie des libertés et pour une Algérie de justice où tous les citoyens sont égaux. Une Algérie débarrassée des scories de l'ancien système et ses innombrables avatars. Les manifestants d'hier ont une fois encore rejeté l'option de l'élection présidentielle. "Makanach intikhabates maa el issabates" (pas d'élections avec les bandes), alors que le pouvoir semble plus décidé que jamais, à organiser le scrutin présidentiel, avant la fin de l'année. En vérité, et ce n'est pas le principede l'élection qui est rejetée, les manifestants considèrent qu'un tel scrutin mérite un environnement propice et des conditions politiques meilleures, pour sa tenue. Autant dire, qu'il s'agit de davantage de garantie, pour que le vote consacre effectivement la volonté populaire. Les manifestants ont aussi maintenu leur revendication relative au départ des symboles de l'ère Bouteflika et, notamment, dans ce cas précis, de Abdelkader Bensalah et Nouredine Bedoui. La commission de dialogue et de médiation n'a pas, non plus, été épargnée par les manifestants. Son coordonnateur, Karim Younes, a particulièrement focalisé sur sa personne tous les reproches et critiques. Les manifestants ont, enfin, exigé la libération des détenus en tête desquels on tro ve le moudjahid Lakhdar Bouragaa. A Alger, comme dans d'autres villes du pays, des dizaines de milliers de citoyens sont de nouveau descendus dans les rues, pour dire haut et fort leur inébranlable foi, en le changement radical et l'instauration d'un Etat de droit avec son corolaire et une justice indépendante de toute tutelle. Somme toute, le 29e acte du Hirak n'a pas dérogé à la règle, en ce sens que les manifestants ont, comme ils le font depuis la toute première marche, leur ferme engagement d'aller de l'avant pour la concrétisation de l'avènement d'une nouvelle République, voulue et souhaitée, par ailleurs, par l'écrasante majorité du peuple algerien. Et il n' ya qu'à voir les pancartes brandies hier par les manifestants, pour s'en convaincre.Toutes plaident, en effet, pour une Algérie démocratique, pour une Algérie des libertés et pour une Algérie de justice où tous les citoyens sont égaux. Une Algérie débarrassée des scories de l'ancien système et ses innombrables avatars. Les manifestants d'hier ont une fois encore rejeté l'option de l'élection présidentielle. "Makanach intikhabates maa el issabates" (pas d'élections avec les bandes), alors que le pouvoir semble plus décidé que jamais, à organiser le scrutin présidentiel, avant la fin de l'année. En vérité, et ce n'est pas le principede l'élection qui est rejetée, les manifestants considèrent qu'un tel scrutin mérite un environnement propice et des conditions politiques meilleures, pour sa tenue. Autant dire, qu'il s'agit de davantage de garantie, pour que le vote consacre effectivement la volonté populaire. Les manifestants ont aussi maintenu leur revendication relative au départ des symboles de l'ère Bouteflika et, notamment, dans ce cas précis, de Abdelkader Bensalah et Nouredine Bedoui. La commission de dialogue et de médiation n'a pas, non plus, été épargnée par les manifestants. Son coordonnateur, Karim Younes, a particulièrement focalisé sur sa personne tous les reproches et critiques. Les manifestants ont, enfin, exigé la libération des détenus en tête desquels on tro ve le moudjahid Lakhdar Bouragaa.