La situation du programme des logements LPA reste floue. Entre la déclaration du wali d'Alger qui indique que l'opération est en cours et celles des maires qui nient totalement d'avoir réceptionné les dossiers, il y a une contradiction. La situation du programme des logements LPA reste floue. Entre la déclaration du wali d'Alger qui indique que l'opération est en cours et celles des maires qui nient totalement d'avoir réceptionné les dossiers, il y a une contradiction. Les logements de la formule LPA (logement public aidé) étaient censés régler le problème pour les couches moyennes à terme. La formule étant attractive pour les salariés moyens que ces derniers temps, un rush de citoyens a été observé au niveau des mairies pour s'enquérir du dossier administratif et des modes de paiement. Or, les responsables des APC de la capitale n'ont pas confirmé que ces dossiers soient traités à leur niveau, niant que des instructions aient été données dans ce sens. Mais la déclaration récente du wali Abdelkhalek Sayouda à la presse est contradictoire. Ce dernier affirme que "l'opération du traitement des dossiers LPA sera entamée dés le début octobre". C'est une véritable cacophonie entre les responsables des institutions publiques qui se jettent la balle entre eux. Il est à noter que cette formule de logement a été lancée en 2017 mais a été retirée faute de disponibilité du foncier à cette époque. Aujourd'hui et après avoir dégagé des assiettes de terrains pour la construction, les mêmes responsables ont relancé la campagne promotionnelle pour ce type de logements, invitant les citoyens à se rapprocher des mairies. On avait assuré que les premiers logements devaient être prêts dés l'année 2020. Mais rien n'est sûr. Les citoyens sont placés devant un dilemme au point où ils ne savent pas à quel saint se vouer. Doivent-ils se résigner à attendre une issue ? Fautil rappeler que les logements LPA sont promus pour les personnes qui ont un salaire qui oscille entre 24.000 et 108.000 DA. Les couples mariés peuvent cumuler leurs salaires pour cette possibilité. Ils ne peuvent payer que 20 % de leur apport personnel et le reste sera payé en différentes tranches. Le dossier administratif est allégé au profit des postulants à la condition seulement de ne pas avoir un bien immobilier déjà acquis. L'autre avantage de cette formule fait le prix du logement ne saurait dépasser les 3 millions de DA avec le soutien de l'Etat sur le tarif du mètre carré. C'est une véritable bouffée d'oxygène pour ceux qui espéraient acquérir un logement de ce type contrairement aux autres formules tels que l'AADL et le LSP qui n'ont seulement leurs délais sont longs mais qui coûtent chers. Les logements de la formule LPA (logement public aidé) étaient censés régler le problème pour les couches moyennes à terme. La formule étant attractive pour les salariés moyens que ces derniers temps, un rush de citoyens a été observé au niveau des mairies pour s'enquérir du dossier administratif et des modes de paiement. Or, les responsables des APC de la capitale n'ont pas confirmé que ces dossiers soient traités à leur niveau, niant que des instructions aient été données dans ce sens. Mais la déclaration récente du wali Abdelkhalek Sayouda à la presse est contradictoire. Ce dernier affirme que "l'opération du traitement des dossiers LPA sera entamée dés le début octobre". C'est une véritable cacophonie entre les responsables des institutions publiques qui se jettent la balle entre eux. Il est à noter que cette formule de logement a été lancée en 2017 mais a été retirée faute de disponibilité du foncier à cette époque. Aujourd'hui et après avoir dégagé des assiettes de terrains pour la construction, les mêmes responsables ont relancé la campagne promotionnelle pour ce type de logements, invitant les citoyens à se rapprocher des mairies. On avait assuré que les premiers logements devaient être prêts dés l'année 2020. Mais rien n'est sûr. Les citoyens sont placés devant un dilemme au point où ils ne savent pas à quel saint se vouer. Doivent-ils se résigner à attendre une issue ? Fautil rappeler que les logements LPA sont promus pour les personnes qui ont un salaire qui oscille entre 24.000 et 108.000 DA. Les couples mariés peuvent cumuler leurs salaires pour cette possibilité. Ils ne peuvent payer que 20 % de leur apport personnel et le reste sera payé en différentes tranches. Le dossier administratif est allégé au profit des postulants à la condition seulement de ne pas avoir un bien immobilier déjà acquis. L'autre avantage de cette formule fait le prix du logement ne saurait dépasser les 3 millions de DA avec le soutien de l'Etat sur le tarif du mètre carré. C'est une véritable bouffée d'oxygène pour ceux qui espéraient acquérir un logement de ce type contrairement aux autres formules tels que l'AADL et le LSP qui n'ont seulement leurs délais sont longs mais qui coûtent chers.