Le taux de recouvrement des impôts avancé par les autorités est gonflé", affirme, hier, Boubekeur Sellami, président de l'Association nationale des conseiller fiscaux algériens. S'exprimant dans l'émission Le taux de recouvrement des impôts avancé par les autorités est gonflé", affirme, hier, Boubekeur Sellami, président de l'Association nationale des conseiller fiscaux algériens. S'exprimant dans l'émission L'Invité de la rédaction de la chaine III de la Radio nationale, M. Sellami estime que ce taux ne dépasse pas les 9%. En plus, relève-t-il, des nombreuses catégories échappant à l'impôt et dont les redevances représentent le double du budget de l'Etat, l'informel constitue, selon lui, un échappatoire au payements de celuici. Procédant d'une façon dialectique, l'expert explique que l'informel qui constitue une force, aujourd'hui, résiste à toute démarche d'intégration parce que, souligne-t-il, il est encouragé par "l'inégalité fiscale". Pour l'intervenant, "L'inégalité devant l'impôt est la cause essentielle de l'immigration vers l'informel, lequel constitue 50% du tissu économique". L'Invité de la rédaction de la chaine III de la Radio nationale, M. Sellami estime que ce taux ne dépasse pas les 9%. En plus, relève-t-il, des nombreuses catégories échappant à l'impôt et dont les redevances représentent le double du budget de l'Etat, l'informel constitue, selon lui, un échappatoire au payements de celuici. Procédant d'une façon dialectique, l'expert explique que l'informel qui constitue une force, aujourd'hui, résiste à toute démarche d'intégration parce que, souligne-t-il, il est encouragé par "l'inégalité fiscale". Pour l'intervenant, "L'inégalité devant l'impôt est la cause essentielle de l'immigration vers l'informel, lequel constitue 50% du tissu économique".