Le Syndicat des magistrats (SNM) annonce une grève à partir d'aujourd'hui dimanche. Le syndicat lance cette grève illimitée pour protester contre le dernier vaste mouvement validé, jeudi dernier, par le Conseil supérieur de la magistrature. Le Syndicat des magistrats (SNM) annonce une grève à partir d'aujourd'hui dimanche. Le syndicat lance cette grève illimitée pour protester contre le dernier vaste mouvement validé, jeudi dernier, par le Conseil supérieur de la magistrature. Les magistrats ne font pas dans le détail : ils veulent le gel de ce vaste mouvement ayant touché presque 3.000 magistrats. Le SNM estime dans le communiqué rendu public hier à l'issue d'une réunion en urgence de son conseil national, que ce mouvement a été opéré "en un temps record ne dépassant pas une heure", selon un communiqué. Dans ce contexte, les magistrats ont accusé le ministère de la Justice de "transgresser les prérogatives du Conseil supérieur de la magistrature pour composer seul la liste du mouvement annuel des magistrats dans des chambres verrouillées". Le syndicat qualifie, dans ce contexte, le jour du mouvement de "noir" pour la Justice enAlgérie. Le but étant, d'après eux, de casser les structures du "Syndicat national des magistrats en mutant plus des deux tiers de son Conseil national et son bureau exécutif qui jouissent d'une légitimité électorale totale". "La promotion médiatique au mouvement, voulant faire croire qu'il entre dans le cadre de la lutte contre la corruption, contient de nombreuses contre-vérités car le problème est profond. Tout le monde sait en effet que le problème réside dans la dépendance de la justice, que ce soit par les textes ou les faits", charge le syndicat. Incisif vis-à-vis du ministère de la Justice, le Syndicat des magistrats a exigé, dans un premier lieu, la fin de l'hégémonie actuelle ou l'autorité exécutive domine celle judiciaire. En deuxième lieu, il demande le gel du vaste mouvement validé par le Conseil supérieur de la magistrature. Troisièmement, le syndicat des magistrats veut que le ministère tranche au sujet des revendications socioprofessionnelles émises par le syndicat en dates du 26 juin et 21 septembre 2019. Enfin, le syndicat des magistrats appelle le ministre de la Justice à cesser son comportement "arrogant" envers l s magistrats et leurs représentants. Les magistrats ne font pas dans le détail : ils veulent le gel de ce vaste mouvement ayant touché presque 3.000 magistrats. Le SNM estime dans le communiqué rendu public hier à l'issue d'une réunion en urgence de son conseil national, que ce mouvement a été opéré "en un temps record ne dépassant pas une heure", selon un communiqué. Dans ce contexte, les magistrats ont accusé le ministère de la Justice de "transgresser les prérogatives du Conseil supérieur de la magistrature pour composer seul la liste du mouvement annuel des magistrats dans des chambres verrouillées". Le syndicat qualifie, dans ce contexte, le jour du mouvement de "noir" pour la Justice enAlgérie. Le but étant, d'après eux, de casser les structures du "Syndicat national des magistrats en mutant plus des deux tiers de son Conseil national et son bureau exécutif qui jouissent d'une légitimité électorale totale". "La promotion médiatique au mouvement, voulant faire croire qu'il entre dans le cadre de la lutte contre la corruption, contient de nombreuses contre-vérités car le problème est profond. Tout le monde sait en effet que le problème réside dans la dépendance de la justice, que ce soit par les textes ou les faits", charge le syndicat. Incisif vis-à-vis du ministère de la Justice, le Syndicat des magistrats a exigé, dans un premier lieu, la fin de l'hégémonie actuelle ou l'autorité exécutive domine celle judiciaire. En deuxième lieu, il demande le gel du vaste mouvement validé par le Conseil supérieur de la magistrature. Troisièmement, le syndicat des magistrats veut que le ministère tranche au sujet des revendications socioprofessionnelles émises par le syndicat en dates du 26 juin et 21 septembre 2019. Enfin, le syndicat des magistrats appelle le ministre de la Justice à cesser son comportement "arrogant" envers l s magistrats et leurs représentants.