Le candidat à la présidentielle du 12 décembre prochain, Abdelaziz Belaïd, s'est interrogé, hier, sur la signification du slogan phare du hirak "Yatnahaw gaâ". Le candidat à la présidentielle du 12 décembre prochain, Abdelaziz Belaïd, s'est interrogé, hier, sur la signification du slogan phare du hirak "Yatnahaw gaâ". En effet, lors d'un meeting organisé hier à Boumerdès, le candidat du Front El Moustakbal a souligné "que lors des manifestations on scande - Yatnahaw gaâ, mais qui sont-ils ?" s'estil interrogé. "Moi je suis pour le départ de la pauvreté, la hogra, le vol et la corruption", a-t-il martelé ajoutant "qu'on veut des personnes propres pour servir le pays". Et au même titre que d'autres candidats, actualité oblige, il a évoqué la question de la femme en affirmant qu'il est "totalement pour l'égalité entre les deux sexes". Il a promis d'attribuer une pension à la femme au foyer en lui prodiguant une formation afin qu'elle investisse le marché du travail à partir de sa maison. Abordant la question de l'élection présidentielle il a indiqué qu'elle "n'est pas ordinaire en ce sens qu'elle va contribuer à l'unité du peuple et du pays pour sortir de la crise". Il s'est en outre engagé à ouvrir "un vaste dialogue avec tous les acteurs de la scène nationale en vue de trouver des solutions aux problèmes du pays". Abdelaziz Belaïd a promis une révision des salaires en "fonction du pouvoir d'achat, avec la suppression de l'IRG pour tous les revenus équivalent au SNMG". Il promet aussi de réformer "la fiscalité locale dans le sens d'un renforcement des ressources financières des communes, de l'activation du principe de solidarité intercommunale ainsi que la numérisation et la modernisation de l'administrationfiscale". Belaïd s'engage à rationaliser les transferts sociaux en instaurant "un soutien direct au profit des nécessiteux, en vue d'une libération progressive du marché". En effet, lors d'un meeting organisé hier à Boumerdès, le candidat du Front El Moustakbal a souligné "que lors des manifestations on scande - Yatnahaw gaâ, mais qui sont-ils ?" s'estil interrogé. "Moi je suis pour le départ de la pauvreté, la hogra, le vol et la corruption", a-t-il martelé ajoutant "qu'on veut des personnes propres pour servir le pays". Et au même titre que d'autres candidats, actualité oblige, il a évoqué la question de la femme en affirmant qu'il est "totalement pour l'égalité entre les deux sexes". Il a promis d'attribuer une pension à la femme au foyer en lui prodiguant une formation afin qu'elle investisse le marché du travail à partir de sa maison. Abordant la question de l'élection présidentielle il a indiqué qu'elle "n'est pas ordinaire en ce sens qu'elle va contribuer à l'unité du peuple et du pays pour sortir de la crise". Il s'est en outre engagé à ouvrir "un vaste dialogue avec tous les acteurs de la scène nationale en vue de trouver des solutions aux problèmes du pays". Abdelaziz Belaïd a promis une révision des salaires en "fonction du pouvoir d'achat, avec la suppression de l'IRG pour tous les revenus équivalent au SNMG". Il promet aussi de réformer "la fiscalité locale dans le sens d'un renforcement des ressources financières des communes, de l'activation du principe de solidarité intercommunale ainsi que la numérisation et la modernisation de l'administrationfiscale". Belaïd s'engage à rationaliser les transferts sociaux en instaurant "un soutien direct au profit des nécessiteux, en vue d'une libération progressive du marché".