Les professeurs d'enseignement primaire ont observé, lundi devant l'annexe du ministère de l'Education nationale, un sitin pour réitérer leur attachement à leurs revendications professionnelles, appelantla tutelle à la prise en charge immédiate de leurs préoccupations. Les professeurs d'enseignement primaire ont observé, lundi devant l'annexe du ministère de l'Education nationale, un sitin pour réitérer leur attachement à leurs revendications professionnelles, appelantla tutelle à la prise en charge immédiate de leurs préoccupations. Organisé pour la huitième semaine successive par la coordination des PEP, le sit-in a vu la présence de nombreux enseignants issus de Djelfa, Laghouat, Blida, Tebessa, Tizi-Ouzou, Bejaia, Tipasa, Bouira, Médéa, Alger et Boumerdès, ainsi que des parents d'élèves accompagnés de leurs petits. Encerclés par un fort dispositif sécuritaire, les contestataires ont brandi des slogans à travers lesquels ils ont exhorté la tutelle à satisfaire immédiatement leurs préoccupations, déplorant "l'échec" de la réunion de dialogue, tenue le week-end passé, avec le ministère. Les principales revendications se résument en "le reclassement des PEP dans la même catégorie que leurs pairs des paliers moyen et secondaire" et "la révision des programmes et méthodes d'enseignement, soit par la réinstauration de la spécialisation dans l'enseignement primaire, pour atteindre la qualité prônée par les normes internationales, soit par la révision des curricula". Les enseignants contestataires ont également plaidé pour l'application du décret présidentiel 266/14 du 28 septembre 2014, fixant la grille indiciaire, avec effet rétroactif, ainsi que le droit du PEP à la formation au grade de directeur. Auparavant, le ministère de l'éducation nationale avait affirmé, que les revendications socioprofessionnelles des enseignants étaient "légales", et qu'il "faudrait faire preuve de bonne volonté, pour les traiter dans le cadre d'un dialogue regroupant les représentants des enseignants et l'administration centrale". Organisé pour la huitième semaine successive par la coordination des PEP, le sit-in a vu la présence de nombreux enseignants issus de Djelfa, Laghouat, Blida, Tebessa, Tizi-Ouzou, Bejaia, Tipasa, Bouira, Médéa, Alger et Boumerdès, ainsi que des parents d'élèves accompagnés de leurs petits. Encerclés par un fort dispositif sécuritaire, les contestataires ont brandi des slogans à travers lesquels ils ont exhorté la tutelle à satisfaire immédiatement leurs préoccupations, déplorant "l'échec" de la réunion de dialogue, tenue le week-end passé, avec le ministère. Les principales revendications se résument en "le reclassement des PEP dans la même catégorie que leurs pairs des paliers moyen et secondaire" et "la révision des programmes et méthodes d'enseignement, soit par la réinstauration de la spécialisation dans l'enseignement primaire, pour atteindre la qualité prônée par les normes internationales, soit par la révision des curricula". Les enseignants contestataires ont également plaidé pour l'application du décret présidentiel 266/14 du 28 septembre 2014, fixant la grille indiciaire, avec effet rétroactif, ainsi que le droit du PEP à la formation au grade de directeur. Auparavant, le ministère de l'éducation nationale avait affirmé, que les revendications socioprofessionnelles des enseignants étaient "légales", et qu'il "faudrait faire preuve de bonne volonté, pour les traiter dans le cadre d'un dialogue regroupant les représentants des enseignants et l'administration centrale".