Le candidat à la présidentielle du 12 décembre, Abdelkader Bengrina, s'est engagé, samedi à Constantine, à promouvoir les actions et fonctions du secteur des Affaires religieuses et des Wakfs, à unifier le référent religieux de la nation algérienne, à réhabiliter l'imam et à créer un conseil supérieur de l'"iftaa". Le candidat à la présidentielle du 12 décembre, Abdelkader Bengrina, s'est engagé, samedi à Constantine, à promouvoir les actions et fonctions du secteur des Affaires religieuses et des Wakfs, à unifier le référent religieux de la nation algérienne, à réhabiliter l'imam et à créer un conseil supérieur de l'"iftaa". Lors d'un meeting populaire à la maison de la culture Malek- Haddad de Constantine, Bengrina a déclaré "je m'engage, à partir de la ville de l'érudit Benbadis, à promouvoir les actions et fonctions du secteur des Affaires religieuses, à unifier le référent religieux et à créer un conseil supérieur de l'Iftaa, à assurer une réhabilitation matérielle et morale à l'imam et au guide religieux et à créer une institution indépendante de la zakat et de la gestion des wakfs qui contribue au développement et qui soit une source d'entraide sociale". Dans ce sens, le candidat à la magistrature suprême a affirmé, au 14e jour de la campagne électorale, qu'il veillera à "développer l'enseignement supérieur, à renforcer le rôle de l'université dans la formation de l'individu et l'ouverture au monde de l'emploi, étant la clé de voûte du développement". Bengrina a déclaré que, s'il venait à être élu président de la République, il "veillera a créer des pôles industriels et scientifiques pour faire de Constantine le pôle de l'Est", ajoutant que son programme électoral a pour objectif de "réaliser des pôles du savoir, étant le socle de la croissance économique, et investir dans le capital humain dans les secteurs de l'éducation, de l'enseignement, de la formation et de la santé". L'Algérie "dispose de toutes les capacités, de centres d'accueil, d'intelligence et d'excellence, à même d'assurer sa transition vers l'économie du savoir et de la connaissance pour accroître la croissance", a-t-il soutenu, imputant le déficit actuel dans la croissance à l'économie de rentre, à l'autocratie et au totalitarisme qui ont eu pour conséquence la migration des cerveaux. C'est pourquoi, nous devons mettre la main dans la main pour faire sortir l'Algérie de sa crise multidimensionnelle". Bengrina a également salué tous les Algériens qui sont sortis pour exprimer leur refus de l'ingérence étrangère dans les affaires internes de l'Algérie, indiquant qu'"en dépit de nos divergences d'opinions et de positions, je salue, toutefois, ceux qui se sont dressés en un seul Homme contre l'ingérence étrangère", affirmant qu'il s'agit là "d'une réaction naturelle des Algériens, à chaque fois qu'ils ressentent un danger qui guette notre chère patrie". Lors d'un meeting populaire à la maison de la culture Malek- Haddad de Constantine, Bengrina a déclaré "je m'engage, à partir de la ville de l'érudit Benbadis, à promouvoir les actions et fonctions du secteur des Affaires religieuses, à unifier le référent religieux et à créer un conseil supérieur de l'Iftaa, à assurer une réhabilitation matérielle et morale à l'imam et au guide religieux et à créer une institution indépendante de la zakat et de la gestion des wakfs qui contribue au développement et qui soit une source d'entraide sociale". Dans ce sens, le candidat à la magistrature suprême a affirmé, au 14e jour de la campagne électorale, qu'il veillera à "développer l'enseignement supérieur, à renforcer le rôle de l'université dans la formation de l'individu et l'ouverture au monde de l'emploi, étant la clé de voûte du développement". Bengrina a déclaré que, s'il venait à être élu président de la République, il "veillera a créer des pôles industriels et scientifiques pour faire de Constantine le pôle de l'Est", ajoutant que son programme électoral a pour objectif de "réaliser des pôles du savoir, étant le socle de la croissance économique, et investir dans le capital humain dans les secteurs de l'éducation, de l'enseignement, de la formation et de la santé". L'Algérie "dispose de toutes les capacités, de centres d'accueil, d'intelligence et d'excellence, à même d'assurer sa transition vers l'économie du savoir et de la connaissance pour accroître la croissance", a-t-il soutenu, imputant le déficit actuel dans la croissance à l'économie de rentre, à l'autocratie et au totalitarisme qui ont eu pour conséquence la migration des cerveaux. C'est pourquoi, nous devons mettre la main dans la main pour faire sortir l'Algérie de sa crise multidimensionnelle". Bengrina a également salué tous les Algériens qui sont sortis pour exprimer leur refus de l'ingérence étrangère dans les affaires internes de l'Algérie, indiquant qu'"en dépit de nos divergences d'opinions et de positions, je salue, toutefois, ceux qui se sont dressés en un seul Homme contre l'ingérence étrangère", affirmant qu'il s'agit là "d'une réaction naturelle des Algériens, à chaque fois qu'ils ressentent un danger qui guette notre chère patrie".