Le candidat indépendant Abdelmadjid Tebboune, élu jeudi président de la République avec 58,15 % des suffrages exprimés, est un homme d'Etat, ancien Premier ministre et plusieurs fois ministres et walis. Le candidat indépendant Abdelmadjid Tebboune, élu jeudi président de la République avec 58,15 % des suffrages exprimés, est un homme d'Etat, ancien Premier ministre et plusieurs fois ministres et walis. MTebboune, qui a brigué la magistrature suprême en tant que candidat indépendant, est né le 17novembre 1945 à Mechria, dans la wilayade Naâma.Diplômé de l'Ecole nationaled'administration (ENA), spécialité économie et finances (1965-1969), il a occupé les postes de ministre délégué auprès duministre de l'Intérieur et des Collectivitélocales, chargé des Collectivités locales(1991-1992), ministre de la Culture(1999), ministre des Collectivités locales(2000-2001) et ministre de l'Habitat et del'Urbanisme (2001-2002). En 2012, M. Tebboune retrouve le ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme, élargien 2013 à la Ville.Avant sa nomination au poste de Premierministre en mai 2017, il a assuré l'intérim du ministère du Commerce suite à l'absence prolongée pour maladie dudéfunt Bakhti Belaib. M. Tebboune a occupé, auparavant, les postes de secrétaire général des wilayas de Djelfa, Adrar, Batna et M'sila et wali d'Adrar, Tiaret et Tizi-Ouzou.Il s'était engagé, lors de la campagne électorale, à "tout entreprendre" pour "réaliser les attentes et les aspirations légitimes portées par le Hirak du 22 février", présentant "54 engagements" pour "l'instauration d'une nouvelle République". Dans son projet présidentiel,il a promis d'engager une nouvelle politique de développement, préconisant un "nouveau modèle économique basé sur la diversification de la croissance et l'économie de la connaissance". Il a promis également d'"ériger l'accès au logementen priorité absolue", et d'oeuvrer pour "la préservation du système de sécurité sociale et de retraite", ainsi que pour "garantir à tous les citoyens un accès facile à des soins de santé performants". En matière d'emploi, il s'est engagé à réduire le taux de chômage, notammentchez les jeunes et les femmes. M. Tebboune compte également "réviser" les objectifs et les "missions classiques" de la diplomatie algérienne, en prônantune "diplomatie économique offensive" et une "diplomatie culturelle et cultuelle", tout en impliquant "pleinement" la diaspora dans le renouveau national.Dans une déclaration à la presse nationale et étrangère, à l'issue de l'accomplissement de son devoir électoral, le président élu a réaffirmé qu cette échéance électorale constituait "une opportunité pour l'instauration d'une nouvelle République, dont les jeunes seront les piliers", promettant de "débarrasser cette nouvelle République des corrompus et de a corruption" MTebboune, qui a brigué la magistrature suprême en tant que candidat indépendant, est né le 17novembre 1945 à Mechria, dans la wilayade Naâma.Diplômé de l'Ecole nationaled'administration (ENA), spécialité économie et finances (1965-1969), il a occupé les postes de ministre délégué auprès duministre de l'Intérieur et des Collectivitélocales, chargé des Collectivités locales(1991-1992), ministre de la Culture(1999), ministre des Collectivités locales(2000-2001) et ministre de l'Habitat et del'Urbanisme (2001-2002). En 2012, M. Tebboune retrouve le ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme, élargien 2013 à la Ville.Avant sa nomination au poste de Premierministre en mai 2017, il a assuré l'intérim du ministère du Commerce suite à l'absence prolongée pour maladie dudéfunt Bakhti Belaib. M. Tebboune a occupé, auparavant, les postes de secrétaire général des wilayas de Djelfa, Adrar, Batna et M'sila et wali d'Adrar, Tiaret et Tizi-Ouzou.Il s'était engagé, lors de la campagne électorale, à "tout entreprendre" pour "réaliser les attentes et les aspirations légitimes portées par le Hirak du 22 février", présentant "54 engagements" pour "l'instauration d'une nouvelle République". Dans son projet présidentiel,il a promis d'engager une nouvelle politique de développement, préconisant un "nouveau modèle économique basé sur la diversification de la croissance et l'économie de la connaissance". Il a promis également d'"ériger l'accès au logementen priorité absolue", et d'oeuvrer pour "la préservation du système de sécurité sociale et de retraite", ainsi que pour "garantir à tous les citoyens un accès facile à des soins de santé performants". En matière d'emploi, il s'est engagé à réduire le taux de chômage, notammentchez les jeunes et les femmes. M. Tebboune compte également "réviser" les objectifs et les "missions classiques" de la diplomatie algérienne, en prônantune "diplomatie économique offensive" et une "diplomatie culturelle et cultuelle", tout en impliquant "pleinement" la diaspora dans le renouveau national.Dans une déclaration à la presse nationale et étrangère, à l'issue de l'accomplissement de son devoir électoral, le président élu a réaffirmé qu cette échéance électorale constituait "une opportunité pour l'instauration d'une nouvelle République, dont les jeunes seront les piliers", promettant de "débarrasser cette nouvelle République des corrompus et de a corruption"