Abdelmadjid Tebboune, s'est engagé avant-hier, à revoir les programmes scolaires et à régler le problème de la surcharge du cartable de l'élève. Abdelmadjid Tebboune, s'est engagé avant-hier, à revoir les programmes scolaires et à régler le problème de la surcharge du cartable de l'élève. Dans son premier discours à la Nation, à l'issue de sa prestation du serment constitutionnel, le président de la République a évoqué l'Education nationale, s'engageant à la révision et à l'allégement des programmes scolaires, particulièrement pour le cycle primaire, et au règlement du problème de la surcharge du cartable scolaire. Estimant que "l'éducation est devenue une préoccupation pesante, pour lafamille et l'Etat à la fois", M. Tebboune a promis davantage de renforcement aux cantines et au transport scolaires, à travers tout le territoire national, notamment dans les régions enclavées, les zones rurales et les régions du Sud, et d'intérêt et de soutien à l'enseignant, matériellement et socialement. Concernant le secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le président de la République a mis en avant l'importance de lui accorder l'intérêt indispensable, afin de lui permettre de jouer "un rôle pionnier dans l'édification de la nouvelle République algérienne", à travers le développement des programmes pour hisser le niveau des diplômés et jeterdes passerelles entre l'Université et le monde du travail, afin de faire de cettedernière "la locomotive de l'édification d'une économie forte". Le président Tebboune s'est engagé, par ailleurs, à valoriser la bourse universitaire, notamment pour les étudiants en sciences exactes, et à promouvoir la profession d'enseignant et de chercheur, sur les plans matériel et social. Il a souligné, dans ce sens, l'impératif d'associer les enseignants et les chercheurs universitaires dans le développemen de l'Enseignement supérieur, dans tous ses volets, mettant l'accent sur "le problème de l'unification de la langue d'enseignement, depuis le primaire jusqu'à l'Université". Le président de la République a soutenu en outre, qu'il oeuvrera à l'autonomie de l'Université, à la création de pôles d'excellence, et l'éradication de la bureaucratie qui "tue la créativité et l'innovation", a-t-il ajouté. Dans son premier discours à la Nation, à l'issue de sa prestation du serment constitutionnel, le président de la République a évoqué l'Education nationale, s'engageant à la révision et à l'allégement des programmes scolaires, particulièrement pour le cycle primaire, et au règlement du problème de la surcharge du cartable scolaire. Estimant que "l'éducation est devenue une préoccupation pesante, pour lafamille et l'Etat à la fois", M. Tebboune a promis davantage de renforcement aux cantines et au transport scolaires, à travers tout le territoire national, notamment dans les régions enclavées, les zones rurales et les régions du Sud, et d'intérêt et de soutien à l'enseignant, matériellement et socialement. Concernant le secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le président de la République a mis en avant l'importance de lui accorder l'intérêt indispensable, afin de lui permettre de jouer "un rôle pionnier dans l'édification de la nouvelle République algérienne", à travers le développement des programmes pour hisser le niveau des diplômés et jeterdes passerelles entre l'Université et le monde du travail, afin de faire de cettedernière "la locomotive de l'édification d'une économie forte". Le président Tebboune s'est engagé, par ailleurs, à valoriser la bourse universitaire, notamment pour les étudiants en sciences exactes, et à promouvoir la profession d'enseignant et de chercheur, sur les plans matériel et social. Il a souligné, dans ce sens, l'impératif d'associer les enseignants et les chercheurs universitaires dans le développemen de l'Enseignement supérieur, dans tous ses volets, mettant l'accent sur "le problème de l'unification de la langue d'enseignement, depuis le primaire jusqu'à l'Université". Le président de la République a soutenu en outre, qu'il oeuvrera à l'autonomie de l'Université, à la création de pôles d'excellence, et l'éradication de la bureaucratie qui "tue la créativité et l'innovation", a-t-il ajouté.