Après quelques mois d'accalmie, le phénomènede harraga reprend de plus belle. Au lendemain des fêtes de la nouvelle année2020, les tentatives pour quitter le pays clandestinement, ont augmenté. Après quelques mois d'accalmie, le phénomènede harraga reprend de plus belle. Au lendemain des fêtes de la nouvelle année2020, les tentatives pour quitter le pays clandestinement, ont augmenté. Plusieurs tentatives d'émigration clandestine ont été mises en échec, depuis le 1er janvier, au large des côtes, par les unitésdes Garde-côtes, qui ont arrêté plus de 300 personnes. En effet, les tentativesd'émigration clandestine se sont multipliéesdepuis le début de l'année 2020 aniveau des villes côtières algériennes.Selon le commandement national desGarde-côtes (forces navales), relevant du ministère de la Défense nationale (MDN), le décompte officiel fait état d'un total de 314 candidats à l'émigration clandestine. 22 personnes arrêtées à Aïn Temouchent Deux tentatives d'émigration clandestine ont été déjouées, durant ces dernières 24 heures, par les éléments du groupement territorial des Garde-côtes de Béni-Saf (Aïn Témouchent). Selon les indications fournies par le même corps de sécurité, la première opération a permis d'intercepter 5 individus près de l'ile Habibas, située au nord de la plage de Bouzadjar Les mis en cause avaient pris, vendredi, le départ à partir de la côte de Cap Blanc (Oran), en direction des rives espagnoles. Lors de la deuxième opération,17 candidats à l'émigration clandestine, dont deux femmes et un mineur ont été interceptés près de l'ile Habibas, après avoir embarqué de la plage de Cap Blanc (Oran). Les 22 personnes arrêtées sont originaires des wilayas d'Aïn Temouchent, Oran et Sidi Bel-Abbès. Elles ont été remises aux services de la Gendarmerie nationale pour enquête avant leur présentation devant la justice Plusieurs tentatives d'émigration clandestine ont été mises en échec, depuis le 1er janvier, au large des côtes, par les unitésdes Garde-côtes, qui ont arrêté plus de 300 personnes. En effet, les tentativesd'émigration clandestine se sont multipliéesdepuis le début de l'année 2020 aniveau des villes côtières algériennes.Selon le commandement national desGarde-côtes (forces navales), relevant du ministère de la Défense nationale (MDN), le décompte officiel fait état d'un total de 314 candidats à l'émigration clandestine. 22 personnes arrêtées à Aïn Temouchent Deux tentatives d'émigration clandestine ont été déjouées, durant ces dernières 24 heures, par les éléments du groupement territorial des Garde-côtes de Béni-Saf (Aïn Témouchent). Selon les indications fournies par le même corps de sécurité, la première opération a permis d'intercepter 5 individus près de l'ile Habibas, située au nord de la plage de Bouzadjar Les mis en cause avaient pris, vendredi, le départ à partir de la côte de Cap Blanc (Oran), en direction des rives espagnoles. Lors de la deuxième opération,17 candidats à l'émigration clandestine, dont deux femmes et un mineur ont été interceptés près de l'ile Habibas, après avoir embarqué de la plage de Cap Blanc (Oran). Les 22 personnes arrêtées sont originaires des wilayas d'Aïn Temouchent, Oran et Sidi Bel-Abbès. Elles ont été remises aux services de la Gendarmerie nationale pour enquête avant leur présentation devant la justice