Le mouvement des entraîneurs dans le championnat de Ligue 1 a battu son propre record, au terme de la phase aller du championnat, en atteignant lamoitie des clubs de l'élite. Le mouvement des entraîneurs dans le championnat de Ligue 1 a battu son propre record, au terme de la phase aller du championnat, en atteignant lamoitie des clubs de l'élite. Le phénomène de la valse des entraîneurs est devenu une mode par excellence chez les clubs de l'élite, puisque même avec de bons résultats, certains coachs ont été remerciés. Après une dizaine d'année de professionnalisme, les va-et-vient continuent à animer l'actualité du football national. Par moins de 8 clubs, soit la moitié du championnat de Ligue 1, vont démarrer la phase retour de championnat avec de nouveaux staffs techniques. Ce qui constitue un chiffre important et un record que le football algérien n'a jamais connu par le passé, notamment à l'ère du professionnalisme. La dernière victime de la phase aller c'est le technicien français de la JSK, Hubert Velud. Ce dernier était sur un siège éjectable, la défaite face à l'USMAa constitué la goutte qui a fait déborder le vase. Malgré sa réputation, le technicien français n'a pas réussi à imposer son propre style de jeu. Et puisque les résultats sont l'arme fatale de tous les entraîneurs, Hubert Velud n'a pas eu cette opportunité à la JSK. Les destinées techniques ont été confiées au directeur sportif Jean- Yves Chay. Ce dernier est attendu à accompagner le reste du staff technique à sa tête l'entraîneur adjoint Mourad Karouf. La direction du club veut prendre tout son temps pour faire un bon choix et éviter une autre erreur de casting. Le CRB, champion d'hiver, s'est séparé, contre toute attente, de son entraîneur en chef, Abdelkader Amrani. Finalement, les résultats ne sont pas forcément la raison principale du divorce entre l'entraîneur et son employeur. Amrani, qui a opté pour le club marocain de Difaâ Hassani El-Jadidi, a été remplacé par le technicien français Franck Dumas qui a quitté le CABBA après 7 mois seulement. Le MCA, qui a terminé la phase aller à la 2e place, a limogé son entraîneur français Bernard Casoni. Malgré les résultats probants réalisés en championnat et en Coupe arabe, la direction ne voulait plus de lui. L'argument présenté par l'ancienne direction serait d'ordre financier. L'équipe algéroise est dirigée actuellement par l'entraîneur adjoint Mohamed Mekhazni, en attendant l'arrivée de Taoussi ou Badou Zakki. Le CSC a été le premier à ouvrir le bal cette saison en limogeant son entraîneur, le Français Denis Lavagne. Après un bras de fer avec la direction, le technicien français a fini par accepter la résiliation de son contrat. Le club n'a toujours pas trouvé un remplaçant pour Lavagne. De son côté, l'ASAïnM'lila qui a surpris tout le monde par son niveau technique, n'a pas pu retenir son entraineur Azzedine Aït Djoudi. Ce dernier n'a pas pu supporter les difficultés financières dans lesquelles se trouvaient les joueurs. Le désormais ex-entraîneur de l'AS Aïn M'lila a été récupéré par le NA Hussein Dey qui a limogé, de son côté, son entraineur Lakhdar Adjali. Le phénomène de la valse des entraîneurs est devenu une mode par excellence chez les clubs de l'élite, puisque même avec de bons résultats, certains coachs ont été remerciés. Après une dizaine d'année de professionnalisme, les va-et-vient continuent à animer l'actualité du football national. Par moins de 8 clubs, soit la moitié du championnat de Ligue 1, vont démarrer la phase retour de championnat avec de nouveaux staffs techniques. Ce qui constitue un chiffre important et un record que le football algérien n'a jamais connu par le passé, notamment à l'ère du professionnalisme. La dernière victime de la phase aller c'est le technicien français de la JSK, Hubert Velud. Ce dernier était sur un siège éjectable, la défaite face à l'USMAa constitué la goutte qui a fait déborder le vase. Malgré sa réputation, le technicien français n'a pas réussi à imposer son propre style de jeu. Et puisque les résultats sont l'arme fatale de tous les entraîneurs, Hubert Velud n'a pas eu cette opportunité à la JSK. Les destinées techniques ont été confiées au directeur sportif Jean- Yves Chay. Ce dernier est attendu à accompagner le reste du staff technique à sa tête l'entraîneur adjoint Mourad Karouf. La direction du club veut prendre tout son temps pour faire un bon choix et éviter une autre erreur de casting. Le CRB, champion d'hiver, s'est séparé, contre toute attente, de son entraîneur en chef, Abdelkader Amrani. Finalement, les résultats ne sont pas forcément la raison principale du divorce entre l'entraîneur et son employeur. Amrani, qui a opté pour le club marocain de Difaâ Hassani El-Jadidi, a été remplacé par le technicien français Franck Dumas qui a quitté le CABBA après 7 mois seulement. Le MCA, qui a terminé la phase aller à la 2e place, a limogé son entraîneur français Bernard Casoni. Malgré les résultats probants réalisés en championnat et en Coupe arabe, la direction ne voulait plus de lui. L'argument présenté par l'ancienne direction serait d'ordre financier. L'équipe algéroise est dirigée actuellement par l'entraîneur adjoint Mohamed Mekhazni, en attendant l'arrivée de Taoussi ou Badou Zakki. Le CSC a été le premier à ouvrir le bal cette saison en limogeant son entraîneur, le Français Denis Lavagne. Après un bras de fer avec la direction, le technicien français a fini par accepter la résiliation de son contrat. Le club n'a toujours pas trouvé un remplaçant pour Lavagne. De son côté, l'ASAïnM'lila qui a surpris tout le monde par son niveau technique, n'a pas pu retenir son entraineur Azzedine Aït Djoudi. Ce dernier n'a pas pu supporter les difficultés financières dans lesquelles se trouvaient les joueurs. Le désormais ex-entraîneur de l'AS Aïn M'lila a été récupéré par le NA Hussein Dey qui a limogé, de son côté, son entraineur Lakhdar Adjali.