Le Plan d'action du gouvernement a été adopté avant-hier à la majorité par les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN), lors d'une séance plénière présidée par le président de Slimane Chenine, en présence du Premierministre, Abdelaziz Djerad et des membres du gouvernement. Le Plan d'action du gouvernement a été adopté avant-hier à la majorité par les membres de l'Assemblée populaire nationale (APN), lors d'une séance plénière présidée par le président de Slimane Chenine, en présence du Premierministre, Abdelaziz Djerad et des membres du gouvernement. L'adoption du Plan d'action du gouvernement intervient conformément aux dispositions de l'article 94 de la Constitution. Les députés ont procédé au vote du Plan d'action, après l'intervention de M. Djerad pour répondre à leurs interrogations formulées ces trois derniers jours lors du débat autour du document. "Recouvrer la confiance du citoyen" Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a réaffirméla détermination du gouvernement à recouvrer la confiance du citoyen, à travers "la revalorisation des valeurs humaines perdues, la consécration de la culture de l'abnégation dans le travail, la reddition de comptes et la promotion des libertés". "Le gouvernement est déterminé à recouvrer la confiance du citoyen, à travers la revalorisation des valeurs humaines perdues, la consécration de la culture de l'abnégation dans le travail, la reddition des comptes, la promotion des libertés et la mise en place des mesures rigoureuses à l'encontre des coupablesde défaillance et de manipulation de la loi et du denier public", a déclaré M.Djerad, en réponse aux préoccupations des députés de l'Assemblée populaire nationale (APN) concernant le rétablissement de la confiance du peuple en son Etat et ses institutions. "Cette confiance ne saurait être gagnée que par la bonne foi dans la concrétisation de la bonne gouvernance, d'une véritable réformebpolitique, sociale et économique, et du traitement des facteurs de l'ébranlement de cette confiance", a-t-il soutenu. A ce propos, le Premier ministre a affirmé que le gouvernement était "conscient", que les passerelles de la confiance avec les citoyens "passent impérativement par un réel engagement à faire montre de franchise et de vérité, loin de toute fourberie et fausses promesses", précisant que "construire l'Algérie nouvelle, relever les défis et régler les crises que connait le pays, ne sauraient intervenir du jour au lendemain, et que cette entreprise nécessite du temps pour mettre en place les études et les approches de traitement". Après avoir relevé "l'ampleur de la responsabilité commune pour la préservation de la stabilité du pays, qui implique l'union de toutes les forces pour passer de la confrontation à la coopération constructive", M.Djerad a mis en avant "la profonde conviction du gouvernement", que "les aspirations du peuple imposent à toutes les volontés sincères parmi les enfants de la patrie, d'unifier leurs efforts pour permettre au pays de relever les défis de cette périodesensible de son histoire". Réunion Walis-Gouvernement Abdelaziz Djerad a affirmé également, que la réunion Walis-Gouvernement, décidée par le président de la République pour les prochains jours, définira les priorités, traduira les mesures et fixera "avec précision", les délais d'exécution du Plan d'action du gouvernement, y compris la mise en oeuvre du plan d'urgence, pour pallier les inégalités en matière de développement local, notamment dans les régions du Sud, les zones montagneuses et rurales et les banlieues. "Conscient de la spécificité, de la priorité et de la sensibilité du dossier du développement, le gouvernement est disposé à oeuvrer à la prise en charge de ces préoccupations, dans le but de garantir un développement équitable au profit de toutes les régions du pays, sans exclusion ou marginalisation", a assuré M. Djerad, à l'adresse des députés concernant les préoccupations exprimées lors des débats du Plan d'action. Ce volet, qui a été l'axe fondamental des interventions des députés, "constitue une priorité majeure pour le gouvernement qui, non seulement partage le même diagnostic, mais également l'impératif de réunir toutes conditions d'une vie décente aux citoyens, où qu'ils se trouvent et quelque soit leur wilaya". "La vérité amère est qu'il existe des zones d'ombre et d'exclusion, y compris dans la capitale du pays", a-t-il déploré, ajoutant que "l'Algérie ne peut pas fonctionner à deux vitesses et notre peuple mérite une meilleure prise en charge où qu'il se trouve". Soulignant l'engagement du gouvernement à poursuivre les programme d'infrastructures et d'équipements, prévu dans les différentes régions du pays, "dans le cadre d'une nouvelle approche participative", le Premier ministre a fait état d'un travail en cours pour la révision de la nomenclature nationale des projets de développement, notamment ceux gelés, reportés ou pas entamés encore. Il a évoqué, en outre, la redéfinition de l'ordre de priorité de réalisation de ces projets dans chaque wilaya, en fonction des besoins réels, capacités disponibles, le dividende socio-économique suivant les spécificités de chaque région. S'agissant du "nombre excessif" de départements ministériels relevé par certains députés, M. Djerad a rappelé que "le gouvernement en place est composé de 28 départements ministériels seulement, ce qui est le même nombre de ministères dans les gouvernements précédents", sachant que l'élargissement de l'Exécutif à nombre de ministres délégués et secrétaires d'Etat qui relèvent administrativement et financièrement de leurs tutelles, "n'entraine pas une charge financière conséquente". Cet élargissement, a-t-il précisé, vise à assurer une prise en charge "optimale" des préoccupations des citoyens et "l'appui" à nombre de secteurs prometteurs, à "ériger" en priorités nationales compte tenu de leur "apport" dans la dynamisation du développement économique. En réponse aux préoccupations relatives à la réforme de l'appareil administratif, le Premier ministre a mis en avant la volonté du gouvernement d'assainir l'administration des détaillées dans le Plan d'action, affirmant que le renforcement de la gestion décentralisée était une préoccupation partagée par l'Exécutif, qui s'emploiera à l'amélioration de la performance dans tous les domaines, a-t-il dit. L'adoption du Plan d'action du gouvernement intervient conformément aux dispositions de l'article 94 de la Constitution. Les députés ont procédé au vote du Plan d'action, après l'intervention de M. Djerad pour répondre à leurs interrogations formulées ces trois derniers jours lors du débat autour du document. "Recouvrer la confiance du citoyen" Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad, a réaffirméla détermination du gouvernement à recouvrer la confiance du citoyen, à travers "la revalorisation des valeurs humaines perdues, la consécration de la culture de l'abnégation dans le travail, la reddition de comptes et la promotion des libertés". "Le gouvernement est déterminé à recouvrer la confiance du citoyen, à travers la revalorisation des valeurs humaines perdues, la consécration de la culture de l'abnégation dans le travail, la reddition des comptes, la promotion des libertés et la mise en place des mesures rigoureuses à l'encontre des coupablesde défaillance et de manipulation de la loi et du denier public", a déclaré M.Djerad, en réponse aux préoccupations des députés de l'Assemblée populaire nationale (APN) concernant le rétablissement de la confiance du peuple en son Etat et ses institutions. "Cette confiance ne saurait être gagnée que par la bonne foi dans la concrétisation de la bonne gouvernance, d'une véritable réformebpolitique, sociale et économique, et du traitement des facteurs de l'ébranlement de cette confiance", a-t-il soutenu. A ce propos, le Premier ministre a affirmé que le gouvernement était "conscient", que les passerelles de la confiance avec les citoyens "passent impérativement par un réel engagement à faire montre de franchise et de vérité, loin de toute fourberie et fausses promesses", précisant que "construire l'Algérie nouvelle, relever les défis et régler les crises que connait le pays, ne sauraient intervenir du jour au lendemain, et que cette entreprise nécessite du temps pour mettre en place les études et les approches de traitement". Après avoir relevé "l'ampleur de la responsabilité commune pour la préservation de la stabilité du pays, qui implique l'union de toutes les forces pour passer de la confrontation à la coopération constructive", M.Djerad a mis en avant "la profonde conviction du gouvernement", que "les aspirations du peuple imposent à toutes les volontés sincères parmi les enfants de la patrie, d'unifier leurs efforts pour permettre au pays de relever les défis de cette périodesensible de son histoire". Réunion Walis-Gouvernement Abdelaziz Djerad a affirmé également, que la réunion Walis-Gouvernement, décidée par le président de la République pour les prochains jours, définira les priorités, traduira les mesures et fixera "avec précision", les délais d'exécution du Plan d'action du gouvernement, y compris la mise en oeuvre du plan d'urgence, pour pallier les inégalités en matière de développement local, notamment dans les régions du Sud, les zones montagneuses et rurales et les banlieues. "Conscient de la spécificité, de la priorité et de la sensibilité du dossier du développement, le gouvernement est disposé à oeuvrer à la prise en charge de ces préoccupations, dans le but de garantir un développement équitable au profit de toutes les régions du pays, sans exclusion ou marginalisation", a assuré M. Djerad, à l'adresse des députés concernant les préoccupations exprimées lors des débats du Plan d'action. Ce volet, qui a été l'axe fondamental des interventions des députés, "constitue une priorité majeure pour le gouvernement qui, non seulement partage le même diagnostic, mais également l'impératif de réunir toutes conditions d'une vie décente aux citoyens, où qu'ils se trouvent et quelque soit leur wilaya". "La vérité amère est qu'il existe des zones d'ombre et d'exclusion, y compris dans la capitale du pays", a-t-il déploré, ajoutant que "l'Algérie ne peut pas fonctionner à deux vitesses et notre peuple mérite une meilleure prise en charge où qu'il se trouve". Soulignant l'engagement du gouvernement à poursuivre les programme d'infrastructures et d'équipements, prévu dans les différentes régions du pays, "dans le cadre d'une nouvelle approche participative", le Premier ministre a fait état d'un travail en cours pour la révision de la nomenclature nationale des projets de développement, notamment ceux gelés, reportés ou pas entamés encore. Il a évoqué, en outre, la redéfinition de l'ordre de priorité de réalisation de ces projets dans chaque wilaya, en fonction des besoins réels, capacités disponibles, le dividende socio-économique suivant les spécificités de chaque région. S'agissant du "nombre excessif" de départements ministériels relevé par certains députés, M. Djerad a rappelé que "le gouvernement en place est composé de 28 départements ministériels seulement, ce qui est le même nombre de ministères dans les gouvernements précédents", sachant que l'élargissement de l'Exécutif à nombre de ministres délégués et secrétaires d'Etat qui relèvent administrativement et financièrement de leurs tutelles, "n'entraine pas une charge financière conséquente". Cet élargissement, a-t-il précisé, vise à assurer une prise en charge "optimale" des préoccupations des citoyens et "l'appui" à nombre de secteurs prometteurs, à "ériger" en priorités nationales compte tenu de leur "apport" dans la dynamisation du développement économique. En réponse aux préoccupations relatives à la réforme de l'appareil administratif, le Premier ministre a mis en avant la volonté du gouvernement d'assainir l'administration des détaillées dans le Plan d'action, affirmant que le renforcement de la gestion décentralisée était une préoccupation partagée par l'Exécutif, qui s'emploiera à l'amélioration de la performance dans tous les domaines, a-t-il dit.