Abdelmadjid Tebboune a qualifié le mouvement populaire, qui a fêté hier, de "Hirak béni par excellence" qui a sauvé le pays et ses institutions Abdelmadjid Tebboune a qualifié le mouvement populaire, qui a fêté hier, de "Hirak béni par excellence" qui a sauvé le pays et ses institutions Dans une entrevue à la chaîne russe RT Arabic, diffusé avantr-hier vendredi, le chef de l'Etat a estimé que le Hirak "a coupé l'herbe sous le pied des parties qui voulaient faire de l'Algérie une seconde Syrie, une seconde Libye et un deuxième Irak, et ce pour des intentions malveillantes et viles". Pour Tebboune, "c'est le peuple qui a sauvé le pays. Le Hirak a évité l'effondrement programmé de l'Etat algérien". Selon Tebboune, il y a eu des dérives de la part de l'ancien Président avec son pouvoir exclusif et sa tentative de faire perdurer une situation politique qu'il qualifie de dramatique. "C'est le Hirak qui y a mis un terme. Le peuple algérien a retrouvé sa fierté grâce au Hirak", a souligné le Président. "Avant le soulèvement populaire, j'étais en dehors du pouvoir et on avait les larmes aux yeux quand on voyait l'image de l'Algériesouillée à l'étranger. On ramenait un portrait et on se prosternait devant lui. Le Hirak a stoppé ce drame. Il a mis un terme au 5e mandat et mis en échec la tentative de prolongement du 4e mandat. Il a ramené l'Algérie sur son chemin démocratique et populaire", a poursuivi le Président. À travers son Hirak, les Algériens ont donné l'image d'un peuple pacifique, cultivé et politisé. Loin de cette image d'un peuple aventurier comme tentait de le faire croire même certains (pays) frères", a-t-il ajouté. Tebboune a en outre salué le rôle joué par l'Armée nationale populaire qui, selon lui, accompagné le mouvement populaire sans qu'"aucune goutte de sang n'a été versée durant cette année". Tebboune a résumé les réalisations du Hirak : "Il a arrêté la mascarade du 5e mandat, a refusé de la prolongation du 4e mandat. Il a aussi fait tomber les responsables du régime du président déchu, et le jugement de tous ceux qui ont détruit l'économie nationale à des fins personnelles et qui aujourd'hui sont en prison". Pour Abdelmadjid Tebboune, ce qui reste des revendications populaires concerne "le changement de mode de gouvernance de ce cher pays en donnant plus d'espace aux libertés et la préservation des libertés publiques et privées, l'équilibre entre les institutions qui évite le pouvoir exclusif". Tebboune ne trouve aucun inconvénient dans la poursuite des marches populaires des Algériens. "C'est leur droit et la démocratie le dicte. Ça ne pose aucun problème. Nous craignons juste les dérives et les infiltrations. Mais je pense que le peuple est conscient et lorsqu'il soupçonne une tentative d'infiltration il s'en démarque", a-t-il soutenu. Tebboune inscrit les marches populaires et la poursuite de la mobilisation citoyenne dans le registre de la démocratie et de la liberté d'expression. Dans une entrevue à la chaîne russe RT Arabic, diffusé avantr-hier vendredi, le chef de l'Etat a estimé que le Hirak "a coupé l'herbe sous le pied des parties qui voulaient faire de l'Algérie une seconde Syrie, une seconde Libye et un deuxième Irak, et ce pour des intentions malveillantes et viles". Pour Tebboune, "c'est le peuple qui a sauvé le pays. Le Hirak a évité l'effondrement programmé de l'Etat algérien". Selon Tebboune, il y a eu des dérives de la part de l'ancien Président avec son pouvoir exclusif et sa tentative de faire perdurer une situation politique qu'il qualifie de dramatique. "C'est le Hirak qui y a mis un terme. Le peuple algérien a retrouvé sa fierté grâce au Hirak", a souligné le Président. "Avant le soulèvement populaire, j'étais en dehors du pouvoir et on avait les larmes aux yeux quand on voyait l'image de l'Algériesouillée à l'étranger. On ramenait un portrait et on se prosternait devant lui. Le Hirak a stoppé ce drame. Il a mis un terme au 5e mandat et mis en échec la tentative de prolongement du 4e mandat. Il a ramené l'Algérie sur son chemin démocratique et populaire", a poursuivi le Président. À travers son Hirak, les Algériens ont donné l'image d'un peuple pacifique, cultivé et politisé. Loin de cette image d'un peuple aventurier comme tentait de le faire croire même certains (pays) frères", a-t-il ajouté. Tebboune a en outre salué le rôle joué par l'Armée nationale populaire qui, selon lui, accompagné le mouvement populaire sans qu'"aucune goutte de sang n'a été versée durant cette année". Tebboune a résumé les réalisations du Hirak : "Il a arrêté la mascarade du 5e mandat, a refusé de la prolongation du 4e mandat. Il a aussi fait tomber les responsables du régime du président déchu, et le jugement de tous ceux qui ont détruit l'économie nationale à des fins personnelles et qui aujourd'hui sont en prison". Pour Abdelmadjid Tebboune, ce qui reste des revendications populaires concerne "le changement de mode de gouvernance de ce cher pays en donnant plus d'espace aux libertés et la préservation des libertés publiques et privées, l'équilibre entre les institutions qui évite le pouvoir exclusif". Tebboune ne trouve aucun inconvénient dans la poursuite des marches populaires des Algériens. "C'est leur droit et la démocratie le dicte. Ça ne pose aucun problème. Nous craignons juste les dérives et les infiltrations. Mais je pense que le peuple est conscient et lorsqu'il soupçonne une tentative d'infiltration il s'en démarque", a-t-il soutenu. Tebboune inscrit les marches populaires et la poursuite de la mobilisation citoyenne dans le registre de la démocratie et de la liberté d'expression.