Une fois de plus, les députés, issus des partis du FLN et du RND qui composent, à eux seuls, la majorité à la chambre basse du Parlement ont dressé un barrage devant la volonté du ministère de la Justice de faire juger l'ex-ministre des Ressources en eau et également ex-wali Abdelkader Ouali. Une fois de plus, les députés, issus des partis du FLN et du RND qui composent, à eux seuls, la majorité à la chambre basse du Parlement ont dressé un barrage devant la volonté du ministère de la Justice de faire juger l'ex-ministre des Ressources en eau et également ex-wali Abdelkader Ouali. En effet, à l'issue du vote à bulletins secrets, pas moins de 201 députés de l'APN ont voté contre la procédure de levée de l'immunité parlementaire à leur collègue contre seulement 43 élus ayant soutenu la procédure. En revanche, 35 députés se sont déclarés non concernés en s'abstenant tout simplement lors de l'opération du vote. Pour rappel, Abdelkader Ouali a été interrogé le 5 de ce mois par la commission des affaires juridiques de l'Assemblée populaire nationale après l'expiration du délai de dix jours pour lui permettre de se "déchoir" volontairement de son immunité parlementaire. Mais face à son refus, il a été décidé conformément à l'article 72 du règlement intérieur de l'APN d'actionner la procédure légale de levée de l'immunité via un vote. Grosse surprise cependant, les députés du FLN et du RND, qui ont approuvé à l'unanimité le plan d'action du gouvernement Djerrad, ont= rejeté massivement sa demande de "livrer" leur collègue Abdelkader Ouali à la justice pour y être interrogé, sans doute sur des affaires liées à la corruption durant son passage au gouvernement. C'est la deuxième fois que les députés volent au secours de leur collègue réclamé par la justice de Belkacem Zeghmati. Le 25 septembre dernier, le député de Bordj-Bou-Arreridj Smaïl Benhamadi, homme d'affaires influent et actionnaire du groupe familial Condor, a lui aussi échappé de justesse aux fourches caudines de la justice grâce à 156 parmi ses collègues du RND et du FLN qui s'étaient opposés à la levée de son immunité parlementaire contre 131 députés qui avaient voté pour. En revanche, le député d'Annaba, Baha-Eddine Tliba a été quant à lui massivement lâché par ses pairs dont 277 avaient voté en faveur de la levée de son immunité qui a abouti à son arrestation et sa mise sous mandat de dépôt après s'être planqué chez lui à El-Oued En effet, à l'issue du vote à bulletins secrets, pas moins de 201 députés de l'APN ont voté contre la procédure de levée de l'immunité parlementaire à leur collègue contre seulement 43 élus ayant soutenu la procédure. En revanche, 35 députés se sont déclarés non concernés en s'abstenant tout simplement lors de l'opération du vote. Pour rappel, Abdelkader Ouali a été interrogé le 5 de ce mois par la commission des affaires juridiques de l'Assemblée populaire nationale après l'expiration du délai de dix jours pour lui permettre de se "déchoir" volontairement de son immunité parlementaire. Mais face à son refus, il a été décidé conformément à l'article 72 du règlement intérieur de l'APN d'actionner la procédure légale de levée de l'immunité via un vote. Grosse surprise cependant, les députés du FLN et du RND, qui ont approuvé à l'unanimité le plan d'action du gouvernement Djerrad, ont= rejeté massivement sa demande de "livrer" leur collègue Abdelkader Ouali à la justice pour y être interrogé, sans doute sur des affaires liées à la corruption durant son passage au gouvernement. C'est la deuxième fois que les députés volent au secours de leur collègue réclamé par la justice de Belkacem Zeghmati. Le 25 septembre dernier, le député de Bordj-Bou-Arreridj Smaïl Benhamadi, homme d'affaires influent et actionnaire du groupe familial Condor, a lui aussi échappé de justesse aux fourches caudines de la justice grâce à 156 parmi ses collègues du RND et du FLN qui s'étaient opposés à la levée de son immunité parlementaire contre 131 députés qui avaient voté pour. En revanche, le député d'Annaba, Baha-Eddine Tliba a été quant à lui massivement lâché par ses pairs dont 277 avaient voté en faveur de la levée de son immunité qui a abouti à son arrestation et sa mise sous mandat de dépôt après s'être planqué chez lui à El-Oued