Après la mise en oeuvre des dispositifs de lutte contre le coronavirus, de nombreuses familles algériennes font face aux difficultés, quant à leur pouvoir d'achat en cette période de confinement. En effet, depuis plusieurs semaines déjà, la pandémie Covid-19 a plongé le pays dans une crise sanitaire et sociale sans précédent. Après la mise en oeuvre des dispositifs de lutte contre le coronavirus, de nombreuses familles algériennes font face aux difficultés, quant à leur pouvoir d'achat en cette période de confinement. En effet, depuis plusieurs semaines déjà, la pandémie Covid-19 a plongé le pays dans une crise sanitaire et sociale sans précédent. Une pandémie qui cristallise les inégalités sociales et sanitairesc et qui inquiète quant au devenir des uns et des autres. Mais cela ne peut justifier les pratiques d'un autre âge, chez certaines catégories de nos concitoyens, à l'ère, où l'erreur est interdite. Malheureusement, on assiste, aux regroupements, bousculades et chaînes interminables des personnes devant les mairies en vue de s'inscrire pour la fameuse allocation de solidarité allouée par le président de la république. Des pratiques qui vont à contre-sens, lorsqu'encore elles défient toutes les mesures de prévention énoncées jusqu'ici, notamment le respect de la distanciation pour éviter la contagion. Or, en ce temps de pandémie, les citoyens doivent s'accommoder de civisme, de sagesse et de bon sens, car cela y va de leur propre vie, face à une menace sanitaire qui ne pardonne pas. L'unique remède, la solidarité Dans un esprit de solidarité, la société est déjà mobilisée pour prendre des initiatives sans précédent, pour l'endiguer. Celle-là qui se résume par une multitude d'actions d'aides aux profits des familles vulnérables, des hôpitaux et tant d'autres institutions, sans oublier les campagnes de sensibilisation pour informer les citoyens de prendre des mesures urgentes pour éviter la propagation d'un virus aux conséquences impondérables. Les pouvoirs publics, de leur coté, font de leur mieux. Ils ont voulu aussi faire un geste de solidarité pour les ménages les plus modestes avec une allocation de 10.000 dinars. Ladite allocation de solidarité sera donc versée aux familles nécessiteuses, "impactées socialement et économiquement par les mesures de prévention et de lutte contre l'épidémie du Coronavirus Covid-19", ainsi que celles qui percevaient auparavant l'enveloppe des 6.000 DA, au titre des opérations de solidarité pour le mois de Ramadhan. Les comités de quartiers et lesassociations à la rescousse Les comités de quartiers ou ceux des villages, ainsi que les associations, sont à comme à l'accoutumée à la rescousse desautorités locales. Ils sont au four et au moulin. Même les listes des familles concernées de l'allocation sont de leur ressort en faisant le porte à porte ! Ces derniers ne lésinent aucun effort pour prêter main-forte, au moment où les services concernés brillent par leur absence dans certaines localités. Pour de nombreux observateurs et internautes, l'absence ou le manque d'inspiration des responsables dans certaines communes, est une marque ostensible de dédain à l'égard de cette frange de la société, venue massivement demander seulement ce qui lui revient de droit. Une pandémie qui cristallise les inégalités sociales et sanitairesc et qui inquiète quant au devenir des uns et des autres. Mais cela ne peut justifier les pratiques d'un autre âge, chez certaines catégories de nos concitoyens, à l'ère, où l'erreur est interdite. Malheureusement, on assiste, aux regroupements, bousculades et chaînes interminables des personnes devant les mairies en vue de s'inscrire pour la fameuse allocation de solidarité allouée par le président de la république. Des pratiques qui vont à contre-sens, lorsqu'encore elles défient toutes les mesures de prévention énoncées jusqu'ici, notamment le respect de la distanciation pour éviter la contagion. Or, en ce temps de pandémie, les citoyens doivent s'accommoder de civisme, de sagesse et de bon sens, car cela y va de leur propre vie, face à une menace sanitaire qui ne pardonne pas. L'unique remède, la solidarité Dans un esprit de solidarité, la société est déjà mobilisée pour prendre des initiatives sans précédent, pour l'endiguer. Celle-là qui se résume par une multitude d'actions d'aides aux profits des familles vulnérables, des hôpitaux et tant d'autres institutions, sans oublier les campagnes de sensibilisation pour informer les citoyens de prendre des mesures urgentes pour éviter la propagation d'un virus aux conséquences impondérables. Les pouvoirs publics, de leur coté, font de leur mieux. Ils ont voulu aussi faire un geste de solidarité pour les ménages les plus modestes avec une allocation de 10.000 dinars. Ladite allocation de solidarité sera donc versée aux familles nécessiteuses, "impactées socialement et économiquement par les mesures de prévention et de lutte contre l'épidémie du Coronavirus Covid-19", ainsi que celles qui percevaient auparavant l'enveloppe des 6.000 DA, au titre des opérations de solidarité pour le mois de Ramadhan. Les comités de quartiers et lesassociations à la rescousse Les comités de quartiers ou ceux des villages, ainsi que les associations, sont à comme à l'accoutumée à la rescousse desautorités locales. Ils sont au four et au moulin. Même les listes des familles concernées de l'allocation sont de leur ressort en faisant le porte à porte ! Ces derniers ne lésinent aucun effort pour prêter main-forte, au moment où les services concernés brillent par leur absence dans certaines localités. Pour de nombreux observateurs et internautes, l'absence ou le manque d'inspiration des responsables dans certaines communes, est une marque ostensible de dédain à l'égard de cette frange de la société, venue massivement demander seulement ce qui lui revient de droit.