Un très grand nombre de personnalités, de tous bords et horizons, ont rendu un vibrant hommage au chanteur algérien Idir, suite à l'annonce de son décès ce samedi soir à l'âge de 70 ans. Un très grand nombre de personnalités, de tous bords et horizons, ont rendu un vibrant hommage au chanteur algérien Idir, suite à l'annonce de son décès ce samedi soir à l'âge de 70 ans. "J'ai appris avec beaucoup de regret et de tristesse, la nouvelle de la disparition de feu Hamid Cheriet, connu sous le nom artistique d'Idir, l'icône de l'art algérien, à la renommée internationale", a écrit Abdelmadjid Tebboune, dans une publication sur le réseau social américain Twitter. "L'Algérie perd en lui une pyramide de l'art algérien, a souligné le président Tebboune, priant Dieu Le Tout-Puissant de prêter patience et réconfort à la famille du défunt, de l'entourer de Sa Sainte Miséricorde et l'accueillir en Son Vaste Paradis aux côtés de ceux qu'Il a comblés de Ses bienfaits et entourés de Sa grâce éternelle", précise la même source. Le ministère de la Culture a présenté ses condoléances suite au décès de l'artiste Idir,soulignant que sa disparition laisse un grand vide dans le monde de l'art algérien, a indiqué un communiqué du ministère publié sur sa page Facebook. "Nous avons appris, avec une immense tristesse et douleur, la nouvelle de la disparition du grand artiste algérien Idir, de son vrai nom Hamid Cheriet. La disparition d'un artiste de la trempe d'Idir laisse un grand vide dans le monde de l'art algérien", a précisé le communiqué. "Le défunt a su faire connaître son nom et la culture algérienne authentique, à travers son art, des décennies durant, et diffuser son propre style artistique et culturel local à travers le monde", ajoute-t-on de même source. "L'Algerie, avec la perte d'Idir, tourne une page prestigieuse de l'art engagé. Les Algériens, toutes générations confondues, continueront à écouter sa voix et à fredonner les chansons d'Idir qui restera dans les mémoires parmi les créateurs militants ...", indique le communiqué. "Idir, légende de la chanson algérienne, s'en est allé. Son oeuvre monumentale restera à jamais une source d'inspiration, en Algérie et à travers le monde. Nos sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui pleurent sa disparition. Athyarhem Rebi", a déclaré Issad Rebrab, président du groupe Cévital, sur la plateforme Twitter. "Nous sommes profondément attristés d'apprendre le décès, hier soir, de la légende de la musique algérienne #Idir. Le monde perd une voix qui chantait la tolérance et la diversité, mais son message restera vivant à jamais. Repose en paix Idir", a indiqué l'ambassade des Etats-Unis à Alger dans un communiqué diffusé sur le réseau social Twitter. "Quelle immense tristesse, mon Dieu ! Je viens d'apprendre la nouvelle de la disparition de mon ami, notre ami à tous. Idir, le grand Idir, Hamid Cheriet, nous a quitté cette nuit. Que Dieu ait son âme. Quelle perte pour notre pays, pour le monde artistique. Je suis profondément bouleversé. Rabbi yarahmou. Je présente à toute sa famille mes condoléances les plus sincères ainsi que je leur souhaite tout le courage et la force nécessaire pour supporter cette perte immense", a écrit l'artiste Safy Boutella, dans une publication sur le réseau social Facebook. "Adieu l'Artiste ! Adieu IDIR. Ce soir tu nous as quittés. Apôtre de la liberté. Le grand humaniste est parti ! Le sage. Mais les artistes à l'image de Dda Hamid, ne mourront jamais. Ils sont en voyage, comme les oiseaux mythiques", a estimé l'écrivain Amine Zaoui dans une publication sur la même plateforme. "Idir, un artiste de haute facture, apprécié par tous les Algériens, un humaniste et un patriote authentique vient de nous quitter. Il a bercé nos plus belles années de jeunesse, même pour ceux qui ne saisissaient que les mélodies et ne comprenaient les paroles que par le coeur", a affirmé Sofiane Djilali, président de Jil Jadid. « Un monumentvient de nous quitter. Repose en paix l'ARTISTE ! », a indiqué quant à lui Atmane Mazouz, député du Rassemblement pour la culture et la démocratie, dans une publication sur Facebook. Riyad Mahrez a réagi sur Twiter : « Allah Yarahmou », tout comme Ramy Bensebaini et Youcef Atal qui ont rendu hommage au célèbre artiste. « Idir artiste au grand coeur paix à son âme une forte pensée pour sa famille ses proches et ses fans kabylie », a déclaré sur Twitter le rappeur Mokobe Traoré, membre- fondateur du groupe 113. « La grande voix de la Kabylie s'en va… J'avais eu l'honneur de partager avec cet homme de paix « les larmes de leurs pères » Ce duo et cette rencontre resteront gravés. Au revoir Monsieur », a rendu hommage le chanteur français Patrick Bruel. « Du grand chanteur Idir nous garderons sa délicatesse, sa « France en couleurs », une oeuvre musicale sublime, l'amour de la Kabylie, des dizaines de duos depuis « Identités » à « Ici & ailleurs » et bien sûr… son hommage aux femmes », a écrit Marlène Schiappa, Secrétaire d'Etat française pour l'égalité femmes hommes & contre les discriminations dans une publication sur Twitter. Le ministre français de la Culture Franck Riester a également rendu hommage à Idir : "Dans la voix du poète résonnait l'âme de la Kabylie. Souvenons-nous de son talent, de ses engagements, de son humanité. Un héritage pour des générations d'artistes. Je pense à sa famille et à ses proches". "Idir, son engagement humaniste, son engagement pour la culture Kabyle resteront dans nos coeurs. Sa voix magnifique résonnera longtemps à l'hôtel de ville où si souvent nous avons ensemble célébré le Nouvel An berbère", a indiqué Anne Hidalgo, maire de Paris, dans un message sur Twitter. "J'ai une peine immense en apprenant la disparition d'Idir. Chanteurpoète, sa voix douce résonnait puissamment en nous comme le chant d'un berger rêveur et généreux. Citoyen du monde et ménestrel au coeur tendre, il était unique. A vava Inouva cher Idir", s'est ému Jack Lang, ancien ministre français de la Culture. "Très triste d'apprendre la disparition d'Idir : tout était sagesse, poésie et douceur dans ses chansons et sa musique, même pour mener des combats durs! Il a inspiré la musique dans le monde. L'Algérie, la Kabylie, ses racines sont devenues universelles", a écrit Rachida Dati, ex-ministre française, dans un message sur Twitter. "Triste à l'annonce du décès d'Idir, à 70 ans chanteur, compositeur kabyle, une grande voix de la Kabylie. Son titre ‘A Vava Inouva' a été le premier grand tube d'Afrique du Nord. On se souvient aussi de son interprétation de ‘La bohème', avec AZNAVOUR. Hommage", a indiqué la députée française Valérie Boyer. "L'immense Idir est mort et, repensant à la Kabylie de nos jeunesses, me reviennent ces mots de Taos Amrouche : ‘Tout meurt, tout se dissout pour que naisse la vie. Toute image de nous est image de mort. Mais aussi toute mort est gage de vie' 1976", a rendu hommage Edwy Plenel, journaliste français fondateur de Mediapart "J'ai appris avec beaucoup de regret et de tristesse, la nouvelle de la disparition de feu Hamid Cheriet, connu sous le nom artistique d'Idir, l'icône de l'art algérien, à la renommée internationale", a écrit Abdelmadjid Tebboune, dans une publication sur le réseau social américain Twitter. "L'Algérie perd en lui une pyramide de l'art algérien, a souligné le président Tebboune, priant Dieu Le Tout-Puissant de prêter patience et réconfort à la famille du défunt, de l'entourer de Sa Sainte Miséricorde et l'accueillir en Son Vaste Paradis aux côtés de ceux qu'Il a comblés de Ses bienfaits et entourés de Sa grâce éternelle", précise la même source. Le ministère de la Culture a présenté ses condoléances suite au décès de l'artiste Idir,soulignant que sa disparition laisse un grand vide dans le monde de l'art algérien, a indiqué un communiqué du ministère publié sur sa page Facebook. "Nous avons appris, avec une immense tristesse et douleur, la nouvelle de la disparition du grand artiste algérien Idir, de son vrai nom Hamid Cheriet. La disparition d'un artiste de la trempe d'Idir laisse un grand vide dans le monde de l'art algérien", a précisé le communiqué. "Le défunt a su faire connaître son nom et la culture algérienne authentique, à travers son art, des décennies durant, et diffuser son propre style artistique et culturel local à travers le monde", ajoute-t-on de même source. "L'Algerie, avec la perte d'Idir, tourne une page prestigieuse de l'art engagé. Les Algériens, toutes générations confondues, continueront à écouter sa voix et à fredonner les chansons d'Idir qui restera dans les mémoires parmi les créateurs militants ...", indique le communiqué. "Idir, légende de la chanson algérienne, s'en est allé. Son oeuvre monumentale restera à jamais une source d'inspiration, en Algérie et à travers le monde. Nos sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui pleurent sa disparition. Athyarhem Rebi", a déclaré Issad Rebrab, président du groupe Cévital, sur la plateforme Twitter. "Nous sommes profondément attristés d'apprendre le décès, hier soir, de la légende de la musique algérienne #Idir. Le monde perd une voix qui chantait la tolérance et la diversité, mais son message restera vivant à jamais. Repose en paix Idir", a indiqué l'ambassade des Etats-Unis à Alger dans un communiqué diffusé sur le réseau social Twitter. "Quelle immense tristesse, mon Dieu ! Je viens d'apprendre la nouvelle de la disparition de mon ami, notre ami à tous. Idir, le grand Idir, Hamid Cheriet, nous a quitté cette nuit. Que Dieu ait son âme. Quelle perte pour notre pays, pour le monde artistique. Je suis profondément bouleversé. Rabbi yarahmou. Je présente à toute sa famille mes condoléances les plus sincères ainsi que je leur souhaite tout le courage et la force nécessaire pour supporter cette perte immense", a écrit l'artiste Safy Boutella, dans une publication sur le réseau social Facebook. "Adieu l'Artiste ! Adieu IDIR. Ce soir tu nous as quittés. Apôtre de la liberté. Le grand humaniste est parti ! Le sage. Mais les artistes à l'image de Dda Hamid, ne mourront jamais. Ils sont en voyage, comme les oiseaux mythiques", a estimé l'écrivain Amine Zaoui dans une publication sur la même plateforme. "Idir, un artiste de haute facture, apprécié par tous les Algériens, un humaniste et un patriote authentique vient de nous quitter. Il a bercé nos plus belles années de jeunesse, même pour ceux qui ne saisissaient que les mélodies et ne comprenaient les paroles que par le coeur", a affirmé Sofiane Djilali, président de Jil Jadid. « Un monumentvient de nous quitter. Repose en paix l'ARTISTE ! », a indiqué quant à lui Atmane Mazouz, député du Rassemblement pour la culture et la démocratie, dans une publication sur Facebook. Riyad Mahrez a réagi sur Twiter : « Allah Yarahmou », tout comme Ramy Bensebaini et Youcef Atal qui ont rendu hommage au célèbre artiste. « Idir artiste au grand coeur paix à son âme une forte pensée pour sa famille ses proches et ses fans kabylie », a déclaré sur Twitter le rappeur Mokobe Traoré, membre- fondateur du groupe 113. « La grande voix de la Kabylie s'en va… J'avais eu l'honneur de partager avec cet homme de paix « les larmes de leurs pères » Ce duo et cette rencontre resteront gravés. Au revoir Monsieur », a rendu hommage le chanteur français Patrick Bruel. « Du grand chanteur Idir nous garderons sa délicatesse, sa « France en couleurs », une oeuvre musicale sublime, l'amour de la Kabylie, des dizaines de duos depuis « Identités » à « Ici & ailleurs » et bien sûr… son hommage aux femmes », a écrit Marlène Schiappa, Secrétaire d'Etat française pour l'égalité femmes hommes & contre les discriminations dans une publication sur Twitter. Le ministre français de la Culture Franck Riester a également rendu hommage à Idir : "Dans la voix du poète résonnait l'âme de la Kabylie. Souvenons-nous de son talent, de ses engagements, de son humanité. Un héritage pour des générations d'artistes. Je pense à sa famille et à ses proches". "Idir, son engagement humaniste, son engagement pour la culture Kabyle resteront dans nos coeurs. Sa voix magnifique résonnera longtemps à l'hôtel de ville où si souvent nous avons ensemble célébré le Nouvel An berbère", a indiqué Anne Hidalgo, maire de Paris, dans un message sur Twitter. "J'ai une peine immense en apprenant la disparition d'Idir. Chanteurpoète, sa voix douce résonnait puissamment en nous comme le chant d'un berger rêveur et généreux. Citoyen du monde et ménestrel au coeur tendre, il était unique. A vava Inouva cher Idir", s'est ému Jack Lang, ancien ministre français de la Culture. "Très triste d'apprendre la disparition d'Idir : tout était sagesse, poésie et douceur dans ses chansons et sa musique, même pour mener des combats durs! Il a inspiré la musique dans le monde. L'Algérie, la Kabylie, ses racines sont devenues universelles", a écrit Rachida Dati, ex-ministre française, dans un message sur Twitter. "Triste à l'annonce du décès d'Idir, à 70 ans chanteur, compositeur kabyle, une grande voix de la Kabylie. Son titre ‘A Vava Inouva' a été le premier grand tube d'Afrique du Nord. On se souvient aussi de son interprétation de ‘La bohème', avec AZNAVOUR. Hommage", a indiqué la députée française Valérie Boyer. "L'immense Idir est mort et, repensant à la Kabylie de nos jeunesses, me reviennent ces mots de Taos Amrouche : ‘Tout meurt, tout se dissout pour que naisse la vie. Toute image de nous est image de mort. Mais aussi toute mort est gage de vie' 1976", a rendu hommage Edwy Plenel, journaliste français fondateur de Mediapart