cause de la pandémie de coronavirus, la réouverture des frontières de l'Algérie a été évoquée avant-hier samedi, pour la première fois, lors de la réunion du Comité scientifique en charge du suivi de l'épidémie. Cette réunion s'est tenue sous la présidenced'Abdelmadjid Tebboune, au siège de la Présidence. cause de la pandémie de coronavirus, la réouverture des frontières de l'Algérie a été évoquée avant-hier samedi, pour la première fois, lors de la réunion du Comité scientifique en charge du suivi de l'épidémie. Cette réunion s'est tenue sous la présidenced'Abdelmadjid Tebboune, au siège de la Présidence. Elle a été "consacrée à l'évaluation de la situation sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19 dans le pays, et l'examen de l'approche scientifique à adopter pour un déconfinement progressif suivant la situation dans chaque wilaya", selon un communiqué de la Président. Et aussi à "l'examen d'une éventuelle réouverture de l'espace aérien et des frontières terrestres et maritimes a été reporté à début juillet", selon la même source. Aucune date précise n'a été avancée. Vendredi soir, lors d'une rencontre avec des médias nationaux, le président de la République avait écarté un déconfinement total dans l'immédiat et donc, la réouverture des frontières du pays. "Si j'ouvre les liaisons aériennes, les avions iront dans des pays qui comptent 400.000- 500.000 cas positifs et de nombreux décès. Donc, soyons prudents", a-t-il expliqué. Elle a été "consacrée à l'évaluation de la situation sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19 dans le pays, et l'examen de l'approche scientifique à adopter pour un déconfinement progressif suivant la situation dans chaque wilaya", selon un communiqué de la Président. Et aussi à "l'examen d'une éventuelle réouverture de l'espace aérien et des frontières terrestres et maritimes a été reporté à début juillet", selon la même source. Aucune date précise n'a été avancée. Vendredi soir, lors d'une rencontre avec des médias nationaux, le président de la République avait écarté un déconfinement total dans l'immédiat et donc, la réouverture des frontières du pays. "Si j'ouvre les liaisons aériennes, les avions iront dans des pays qui comptent 400.000- 500.000 cas positifs et de nombreux décès. Donc, soyons prudents", a-t-il expliqué.