La Cour d'Alger a décidé, hier, le report au 27 septembre en cours, du procès en appel de l'homme d'affaires Ali Haddad, condamné en première instance, à une peine de 18 ans de prison ferme assortie d'une amende de 8 millions DA. La Cour d'Alger a décidé, hier, le report au 27 septembre en cours, du procès en appel de l'homme d'affaires Ali Haddad, condamné en première instance, à une peine de 18 ans de prison ferme assortie d'une amende de 8 millions DA. La Cour a décidé le report de ce procès en appel, à la demande du collectif de défense pour la consultation des documents de l'affaire et la réunion des conditions requises pour le procès, dont la comparution de l'ancien Premier ministre, AhmedOuyahia, incarcéré à la prison d'Abadla (Béchar) et de Ali Haddad détenu à la prison de Tazoult (Batna), devant la Cour. L'ancien chef du FCE (Ali Haddad) a été condamné à plusieurs peines, dont la confiscation de tous ses biens, pour des chefs d'accusation liés à la corruption notamment l'obtention de privilèges immobiliers et bancaires, et conclusion de marchés, en violation de la législation. Outre les frères d'Ali Haddad, plusieurs ministres et cadres, dont les anciens Premiers ministres Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, ont été égalementcondamnés dans cette affaire par le Tribunal de première instance, à des peines de 12 ans de prison assorties d'une amende d'un million Da, pour les chefs d'inculpation de "dilapidation de deniers publics, octroi d'indus avantages et abus de fonction". La Cour a décidé le report de ce procès en appel, à la demande du collectif de défense pour la consultation des documents de l'affaire et la réunion des conditions requises pour le procès, dont la comparution de l'ancien Premier ministre, AhmedOuyahia, incarcéré à la prison d'Abadla (Béchar) et de Ali Haddad détenu à la prison de Tazoult (Batna), devant la Cour. L'ancien chef du FCE (Ali Haddad) a été condamné à plusieurs peines, dont la confiscation de tous ses biens, pour des chefs d'accusation liés à la corruption notamment l'obtention de privilèges immobiliers et bancaires, et conclusion de marchés, en violation de la législation. Outre les frères d'Ali Haddad, plusieurs ministres et cadres, dont les anciens Premiers ministres Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, ont été égalementcondamnés dans cette affaire par le Tribunal de première instance, à des peines de 12 ans de prison assorties d'une amende d'un million Da, pour les chefs d'inculpation de "dilapidation de deniers publics, octroi d'indus avantages et abus de fonction".