La Cour d'Alger a décidé, hier, de reporter au 11 octobre prochain, le procès en appel de l'homme d'affaires Ali Haddad, en raison de la grève des avocats entamée hier pour une période d'une semaine.En effet, le report a été décidé sur demande du collectif de défense, La Cour d'Alger a décidé, hier, de reporter au 11 octobre prochain, le procès en appel de l'homme d'affaires Ali Haddad, en raison de la grève des avocats entamée hier pour une période d'une semaine.En effet, le report a été décidé sur demande du collectif de défense, qui a boycotté l'audience, en exécution de la décision du Barreau d'Alger, portant boycott des audiences et du travail judiciaire pour réclamer le règlement de leurs problèmes professionnels. L'accusé principal, Ali Haddad, a refusé d'être jugé à distance depuis l'établissement pénitentiaire de Tazoult (Batna) où il est incarcéré, tandis que l'ancien Premier ministre, Ahmed Ouyahia, condamné dans cette affaire et détenu dans la prison d'Abadla (Bechar), a donné son accord. Pour rappel, Ali Haddad avait été condamné en première instance, à une peine de 18 ans de prison ferme assortie d'une amende de 8 millions DA. L'ancien Premier ministre,Abdelmalek Sellal, ainsi que d'anciens ministres, condamnés dans cette affaire, ont eux comparu à l'audience. L'ancien chef du FCE (Ali Haddad), a été condamné à plusieurs peines, dont la confiscation de tous ses biens pour des chefs d'accusation liés à la corruption, notamment l'obtention de privilèges immobiliers et bancaires et conclusion de marchés en violation de la législation. Outre les frères d'Ali Haddad, plusieurs ministres et cadres dont les anciens Premiersministres, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, ont été également condamnés dans cette affaire par le Tribunal de première instance, à des peines de 12 ans de prison assorties d'une amende d'un million Da pour les chefs d'inculpation de "dilapidation de deniers publics, octroi d'indus avantages et abus de fonction". qui a boycotté l'audience, en exécution de la décision du Barreau d'Alger, portant boycott des audiences et du travail judiciaire pour réclamer le règlement de leurs problèmes professionnels. L'accusé principal, Ali Haddad, a refusé d'être jugé à distance depuis l'établissement pénitentiaire de Tazoult (Batna) où il est incarcéré, tandis que l'ancien Premier ministre, Ahmed Ouyahia, condamné dans cette affaire et détenu dans la prison d'Abadla (Bechar), a donné son accord. Pour rappel, Ali Haddad avait été condamné en première instance, à une peine de 18 ans de prison ferme assortie d'une amende de 8 millions DA. L'ancien Premier ministre,Abdelmalek Sellal, ainsi que d'anciens ministres, condamnés dans cette affaire, ont eux comparu à l'audience. L'ancien chef du FCE (Ali Haddad), a été condamné à plusieurs peines, dont la confiscation de tous ses biens pour des chefs d'accusation liés à la corruption, notamment l'obtention de privilèges immobiliers et bancaires et conclusion de marchés en violation de la législation. Outre les frères d'Ali Haddad, plusieurs ministres et cadres dont les anciens Premiersministres, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, ont été également condamnés dans cette affaire par le Tribunal de première instance, à des peines de 12 ans de prison assorties d'une amende d'un million Da pour les chefs d'inculpation de "dilapidation de deniers publics, octroi d'indus avantages et abus de fonction".