Porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a procédé hier à Alger, à l'installation des membres du jury du Prix du président de la République du journaliste professionnel, organisée dans sa sixième édition sous le thème "La numérisation, passerelle vers l'Algérie nouvelle". Porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a procédé hier à Alger, à l'installation des membres du jury du Prix du président de la République du journaliste professionnel, organisée dans sa sixième édition sous le thème "La numérisation, passerelle vers l'Algérie nouvelle". Présidé par le doyen de la faculté des sciences politiques, Slimane Arradj, le jury est composé d'un représentant des ministères de la Communication, des Finances, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de la Culture, de la Télévision nationale, de la Radio nationale, de la presse publique, de la presse privée et de la faculté des sciences de l'information et de la communication. Le ministre de la Communication a affirmé, à l'occasion, que ce prix a été institué "en signe de reconnaissance au valeureux parcours des journalistes algériens, durant la guerre de Libération nationale, et pour appuyer les efforts des professionnels de lapresse nationale qui contribuent au renforcement des droits des citoyens de bénéficier d'une information objective et crédible. L'autre objectif visé à travers l'institution de ce prix "est d'encourager et de promouvoir la production journalistique nationale sous toutes ses formes, et de stimuler l'excellence, la création et la professionnalisation au sein de la presse nationale, en instaurant la culture du mérite", a-t-il ajouté. Il s'agit aussi, a-t-il poursuivi, de "récompenser les meilleures oeuvres individuelles ou collectives, ayant trait à la thématique retenue". M. Belhimer a mis l'accent également sur l'importance de "sacraliser la déontologie et d'en faire la base de l'exercice du métier en vue de parvenir à un équilibre entre la liberté d'expression et la responsabilité professionnelle dans le cadre de l'Etat de droit". Le ministre a rappelé, en outre, le contexte particulier dans lequel est organisée la 6e édition de ce prix, citant, à ce titre, la "situation sanitaire particulière en raison de la pandémie du coronavirus et le contexte politique marqué par le référendum sur la révision de la Constitution". Le président du jury a salué, quant à lui, le "choix de la thématique de cette nouvelle édition du Prix du président de la République", estimant que l'avenir des sociétés est "intimement lié à la communication et à la numérisation, et qu'elles sont primordiales pour encourager la création dans la nouvelle Algérie". Exhortant les journalistes à "participer n force" à cette nouvelle édition du Prix du président de la République, M. Arradj a soutenu que ce prix parrainé par le président de la République "témoigne de l'importance accordée par les pouvoirs publics à l'information objective etaux médias professionnels qui peuvent être de véritables partenaires de l'Etat". Présidé par le doyen de la faculté des sciences politiques, Slimane Arradj, le jury est composé d'un représentant des ministères de la Communication, des Finances, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de la Culture, de la Télévision nationale, de la Radio nationale, de la presse publique, de la presse privée et de la faculté des sciences de l'information et de la communication. Le ministre de la Communication a affirmé, à l'occasion, que ce prix a été institué "en signe de reconnaissance au valeureux parcours des journalistes algériens, durant la guerre de Libération nationale, et pour appuyer les efforts des professionnels de lapresse nationale qui contribuent au renforcement des droits des citoyens de bénéficier d'une information objective et crédible. L'autre objectif visé à travers l'institution de ce prix "est d'encourager et de promouvoir la production journalistique nationale sous toutes ses formes, et de stimuler l'excellence, la création et la professionnalisation au sein de la presse nationale, en instaurant la culture du mérite", a-t-il ajouté. Il s'agit aussi, a-t-il poursuivi, de "récompenser les meilleures oeuvres individuelles ou collectives, ayant trait à la thématique retenue". M. Belhimer a mis l'accent également sur l'importance de "sacraliser la déontologie et d'en faire la base de l'exercice du métier en vue de parvenir à un équilibre entre la liberté d'expression et la responsabilité professionnelle dans le cadre de l'Etat de droit". Le ministre a rappelé, en outre, le contexte particulier dans lequel est organisée la 6e édition de ce prix, citant, à ce titre, la "situation sanitaire particulière en raison de la pandémie du coronavirus et le contexte politique marqué par le référendum sur la révision de la Constitution". Le président du jury a salué, quant à lui, le "choix de la thématique de cette nouvelle édition du Prix du président de la République", estimant que l'avenir des sociétés est "intimement lié à la communication et à la numérisation, et qu'elles sont primordiales pour encourager la création dans la nouvelle Algérie". Exhortant les journalistes à "participer n force" à cette nouvelle édition du Prix du président de la République, M. Arradj a soutenu que ce prix parrainé par le président de la République "témoigne de l'importance accordée par les pouvoirs publics à l'information objective etaux médias professionnels qui peuvent être de véritables partenaires de l'Etat".