Tebboune a déclaré de pas être satisfait de la gestion de certains walis concernant les - zones d'ombres - (zones défavorisées) et appelé à faire la distinction entre les programmes de développement local. Tebboune a déclaré de pas être satisfait de la gestion de certains walis concernant les - zones d'ombres - (zones défavorisées) et appelé à faire la distinction entre les programmes de développement local. Le Président Abdelmadjid Tebboune a dirigé, avant-hier dimanche 3 janvier 2021, le premier Conseil des ministres depuis son retour d'Allemagne, mardi 29 décembre 2020, après deux mois de soins. Le dernier Conseil des ministres remonte au 4 octobre 2020. La réunion de ce début janvier a été consacrée à l'évaluation du bilan annuel de tous les secteurs ministériels. "L'évaluation de l'action ministérielle durant 2020 oscille entre positive et négative", a déclaré le chef de l'Etat, selon un communiqué rendu public par la présidence de la République. Il a ordonné aux secteurs ayant un effet direct sur la vie quotidienne des citoyens de passer à la vitesse supérieure dès le début de cette année, saluant l'effort fourni par certains ministères comme ceux de l'Industrie pharmaceutique et des Startups. Tebboune a déclaré qu'il n'était pas satisfait de la gestion de certains walis à propos des "zones d'ombres" (zones défavorisées) et appelé à faire la distinction entre les programmes de développement local. Il a salué certaines initiatives qualifiées de "positives" relatives à l'approvisionnement en eau et en gaz dans des régions frontalières. Le chef de l'Etat a prévenu contre les méthodes traditionnelles d'approvisionnement en eau ayant provoqué la mort d'enfants. Réviser le système bancaire Pour le Président Tebboune, le "point noir" dans le secteur financier reste le système bancaire. Il a appelé à une révision de système "ce qui implique un travail d'inspection dans toutes les banques, surtout concernant la transparence dans l'octroi des crédits". Il a, selon la même source, donné des ordres pour accélérer la numérisation du secteur des Douanes pour "lutter contre la surfacturation" (dans les opérations d'import-export) et pour résorber les fonds existants dans le marché parallèle. Tebboune a insisté sur le projet d'autonomie de toutes les universités et sur l'idée de s'orienter vers "des partenariats fructueux" et des jumelages avec des universités étrangères. "Il faut augmenter la cadence de la coopération entreles universités nationales et leurs homologues étrangères avec l'adoption d'une approche ouverte permettant de transformer l'université en une véritable locomotive de l'économie nationale à travers l'innovation et la recherche scientifique appliquée", a-t-il plaidé. Concernant le secteur de la culture, le président de la République a insisté sur la nécessité de dépasser rapidement la faiblesse constatée dans le domaine de l'industrie cinématographique algérienne. Une industrie qui, selon lui, ne "parvient pas à devenir une ressource économique pouvant créer des milliers de postes d'emplois et contribuer à la relance économique nationale". Le Président Abdelmadjid Tebboune a dirigé, avant-hier dimanche 3 janvier 2021, le premier Conseil des ministres depuis son retour d'Allemagne, mardi 29 décembre 2020, après deux mois de soins. Le dernier Conseil des ministres remonte au 4 octobre 2020. La réunion de ce début janvier a été consacrée à l'évaluation du bilan annuel de tous les secteurs ministériels. "L'évaluation de l'action ministérielle durant 2020 oscille entre positive et négative", a déclaré le chef de l'Etat, selon un communiqué rendu public par la présidence de la République. Il a ordonné aux secteurs ayant un effet direct sur la vie quotidienne des citoyens de passer à la vitesse supérieure dès le début de cette année, saluant l'effort fourni par certains ministères comme ceux de l'Industrie pharmaceutique et des Startups. Tebboune a déclaré qu'il n'était pas satisfait de la gestion de certains walis à propos des "zones d'ombres" (zones défavorisées) et appelé à faire la distinction entre les programmes de développement local. Il a salué certaines initiatives qualifiées de "positives" relatives à l'approvisionnement en eau et en gaz dans des régions frontalières. Le chef de l'Etat a prévenu contre les méthodes traditionnelles d'approvisionnement en eau ayant provoqué la mort d'enfants. Réviser le système bancaire Pour le Président Tebboune, le "point noir" dans le secteur financier reste le système bancaire. Il a appelé à une révision de système "ce qui implique un travail d'inspection dans toutes les banques, surtout concernant la transparence dans l'octroi des crédits". Il a, selon la même source, donné des ordres pour accélérer la numérisation du secteur des Douanes pour "lutter contre la surfacturation" (dans les opérations d'import-export) et pour résorber les fonds existants dans le marché parallèle. Tebboune a insisté sur le projet d'autonomie de toutes les universités et sur l'idée de s'orienter vers "des partenariats fructueux" et des jumelages avec des universités étrangères. "Il faut augmenter la cadence de la coopération entreles universités nationales et leurs homologues étrangères avec l'adoption d'une approche ouverte permettant de transformer l'université en une véritable locomotive de l'économie nationale à travers l'innovation et la recherche scientifique appliquée", a-t-il plaidé. Concernant le secteur de la culture, le président de la République a insisté sur la nécessité de dépasser rapidement la faiblesse constatée dans le domaine de l'industrie cinématographique algérienne. Une industrie qui, selon lui, ne "parvient pas à devenir une ressource économique pouvant créer des milliers de postes d'emplois et contribuer à la relance économique nationale".