Trois nouveaux importateurs de véhicules ont reçu l'approbation des autorités publiques. C'est en effet le ministère de l'Industrie qui vient de l'annoncer avant-hier lundi en début de soirée. Trois nouveaux importateurs de véhicules ont reçu l'approbation des autorités publiques. C'est en effet le ministère de l'Industrie qui vient de l'annoncer avant-hier lundi en début de soirée. Ces trois nouveaux concessionnaires viendront ainsi s'ajouter aux quatre autres operateurs, qui ont déjà reçu leurs agréments au mois de janvier dernier. En tout donc, sept operateurs sont d'ores et déjà autorisés à importer les véhicules neufs. C'est dire, que malgré les fortes critiques que subit le ministre de l'Industrie, Ferhat Ait Ali, il poursuit sa marche en avant. Dans le communiqué rendu public lundi, le ministère de l'Industrie a souligné que les trois nouveaux agréments ont été délivrés après examen de 17 nouveaux dossiers. Selon le ministère, le Comité technique a "saisi trois concessionnaires automobiles, concernant la levée des réserves émises lors de l'examen de leurs dossiers". Le même Comité a également rejeté "11 dossiers ne remplissant pas les conditions prévues par le cahier des charges régissant cette activité", avec la possibilité pour leurs auteurs, de déposer un recours auprès de la commission de recours compétente, et ce dans les délais légaux. Le ministère de l'Industrie a rappelé, que les agréments provisoires octroyés aux opérateurs permettront à ceux-ci, "d'engager immédiatement les procédures d'obtention d'agréments définitifs et d'entamer l'importation effective, conformément au décret exécutif 20-227 fixant les conditions et modalités d'exercice de l'activité de concessionnaires automobiles".Et au ministère de rassurer, que l'opération de traitement des dossiers "se poursuit jusqu'à examen de tous les dossiers, au nombre de 96, déposés au niveau du ministère de l'Industrie, sur un total de 227 préinscriptions sur la plateforme numérique consacrée à cet effet", ajoute-ton de même source, en précisant que cette plateforme "reste ouverte pour recevoir d'autres dossiers". Les observateurs ont noté, que comme ce fut le cas au mois de janvier, lorsque le ministère de l'Industrie a annoncé l'octroi de quatre agréments provisoires, l'identité des operateurs n'a pas été révélé. On se rappelle que cela a provoqué un tollé général, et une véritable levée de boucliers contre cette attitude du ministère. Ferhat Ait Ali a été accusé de tous les maux. On lui a même reproché de rouler pour certains operateurs, et d'aucuns ont alors ouvertement demandé son départ du gouvernement. Il est vrai que pour l'opinion publique, ne pas dévoiler l'identité des operateurs prête grandement a équivoque. Pourquoi en effet garder secrète cette liste ? Le ministère s'en est alors défendu, et le ministre est monté au créneau, pour donner une explication qui n'a pas, il est vrai, été convaincante. Le ministère a estimé que les "notifications de décisions sont destinées uniquement aux intéressés, et ne sont pas portées à la connaissance du public" ajoutant que la "loi prohibant la publication d'informations d‘ordre professionnel privé, à toute autre partie que celles intéressées par la procédure". Cette explication na fait que rajouter un surcroit de mystère, sur un dossier qui n'a cessé d'alimenter la chronique et qui continueraaussi à alimenter controverse, polémique,et débats passionnants. Il faut dire que l'enjeu financier est très grand, puisque deux milliards de dollars sont consacrés à l'importation des véhicules. Ces trois nouveaux concessionnaires viendront ainsi s'ajouter aux quatre autres operateurs, qui ont déjà reçu leurs agréments au mois de janvier dernier. En tout donc, sept operateurs sont d'ores et déjà autorisés à importer les véhicules neufs. C'est dire, que malgré les fortes critiques que subit le ministre de l'Industrie, Ferhat Ait Ali, il poursuit sa marche en avant. Dans le communiqué rendu public lundi, le ministère de l'Industrie a souligné que les trois nouveaux agréments ont été délivrés après examen de 17 nouveaux dossiers. Selon le ministère, le Comité technique a "saisi trois concessionnaires automobiles, concernant la levée des réserves émises lors de l'examen de leurs dossiers". Le même Comité a également rejeté "11 dossiers ne remplissant pas les conditions prévues par le cahier des charges régissant cette activité", avec la possibilité pour leurs auteurs, de déposer un recours auprès de la commission de recours compétente, et ce dans les délais légaux. Le ministère de l'Industrie a rappelé, que les agréments provisoires octroyés aux opérateurs permettront à ceux-ci, "d'engager immédiatement les procédures d'obtention d'agréments définitifs et d'entamer l'importation effective, conformément au décret exécutif 20-227 fixant les conditions et modalités d'exercice de l'activité de concessionnaires automobiles".Et au ministère de rassurer, que l'opération de traitement des dossiers "se poursuit jusqu'à examen de tous les dossiers, au nombre de 96, déposés au niveau du ministère de l'Industrie, sur un total de 227 préinscriptions sur la plateforme numérique consacrée à cet effet", ajoute-ton de même source, en précisant que cette plateforme "reste ouverte pour recevoir d'autres dossiers". Les observateurs ont noté, que comme ce fut le cas au mois de janvier, lorsque le ministère de l'Industrie a annoncé l'octroi de quatre agréments provisoires, l'identité des operateurs n'a pas été révélé. On se rappelle que cela a provoqué un tollé général, et une véritable levée de boucliers contre cette attitude du ministère. Ferhat Ait Ali a été accusé de tous les maux. On lui a même reproché de rouler pour certains operateurs, et d'aucuns ont alors ouvertement demandé son départ du gouvernement. Il est vrai que pour l'opinion publique, ne pas dévoiler l'identité des operateurs prête grandement a équivoque. Pourquoi en effet garder secrète cette liste ? Le ministère s'en est alors défendu, et le ministre est monté au créneau, pour donner une explication qui n'a pas, il est vrai, été convaincante. Le ministère a estimé que les "notifications de décisions sont destinées uniquement aux intéressés, et ne sont pas portées à la connaissance du public" ajoutant que la "loi prohibant la publication d'informations d‘ordre professionnel privé, à toute autre partie que celles intéressées par la procédure". Cette explication na fait que rajouter un surcroit de mystère, sur un dossier qui n'a cessé d'alimenter la chronique et qui continueraaussi à alimenter controverse, polémique,et débats passionnants. Il faut dire que l'enjeu financier est très grand, puisque deux milliards de dollars sont consacrés à l'importation des véhicules.