La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaoutar Krikou, a affirmé que son département a entamé la "révision de la loi 02/09 du 8 mai 2009 relative à la protection et à la promotion des personnes handicapées". La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaoutar Krikou, a affirmé que son département a entamé la "révision de la loi 02/09 du 8 mai 2009 relative à la protection et à la promotion des personnes handicapées". S'exprimant à l'école nationale des sports olympiques d'El-Bez, à la veille de la Journée nationale des personnes aux besoins spécifiques célébrée le 14 mars, dans le cadre d'une visite dans la wilaya de Sétif en compagnie de la secrétaire d'Etat chargée du sport d'élite, Salima Souakri, la ministre a indiqué que son département planche sur la "révision de la loi relative à la protection et à la promotion des personnes handicapées", assurant qu'une commission a été "installée à cet effet". La ministre a expliqué que cette révision vise à "mieux répondre aux aspirations de cette catégorie et des représentants de la société civile en conformité avec les engagements internationaux et les conventions paraphées concernant cette catégorie". Mme Krikou a également souligné que son département, investi de la mission du travail social, solidaire et humanitaire qui reflète la propension profonde à la solidarité du peuple algérien, n'"oeuvre pas seulement à exécuter la politique d'aide aux catégories précaires en zones reculées, mais aussi à favoriser l'insertion de cette catégorie dans la vie économique et sociale et la valorisation de ses potentialités dans les divers domaines pour concrétiser son autonomie" Mme Krikou a rappelé les dispositions préventives prises pour protéger cette catégorie durant l'épidémie de la Covid-19, dont le protocole sanitaire mis en place dans les établissements de prise en charge de l'enfance durant la rentrée 2020/2021. La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme a présidé en compagnie de la secrétaire d'Etat chargée du sport d'élite plusieurs activités sportives, culturelles et économiques des personnes à besoins spécifiques. Mme Krikou a clôturé sa visite dans la wilaya en assistant à la signature de conventions entre des opérateurs économiques et la directrice de wilaya de l'action sociale et de la solidarité portant respect de l'obligation de réserver 1 % des postes d'emploi aux personnes handicapées. La ministre n'a pas manqué d'évoquer le "soutien et l'encouragement apporté au mouvement associatif activant dans le domaine du handicap pour l'ouverture de centres spécialisés en la prise en charge les enfants handicapés mentaux". Son secteur accompagne également ces associations pour la "mise en conformité avec la réglementation en vigueur", a-t-elle ajouté. Mme Krikou a fait état, dans ce sens, de 147 établissements gérés par plus de 100 associations, où 9.800 enfants handicapés mentaux sont pris en charge durant cette année scolaire. Elle a rappelé, à ce propos, l'ouverture de l'investissement au privé en matière de prise en charge du handicap mental, et ce après la promulgation du décret exécutif 18-221 du 6 septembre 2018 fixant les conditions de création, d'organisation, de fonctionnement et de contrôle des établissements privés d'éducation et d'enseignement spécialisés pour enfants handicapés mentaux. Difficile intégration des personnes en situation de handicap L'Algérie a célébré ce dimanche 14 mars, la Journée nationale des personnes en situation de handicap. Cette frange vulnérable de la société ne cesse de réclamer la nécessité d'augmenter le nombre de structures et d'organes de prise en charge, estimant, dans ce sens que la mise en place de structures adéquates reste insuffisante. Souvent marginalisées, malgré les efforts consentis par l'Etat pour une prise en charge effective sur le plan socio-professionnel, les personnes à besoin spécifiques souffrent de problèmes d'accessibilité, d'insertion éducative et professionnelle. Ces citoyens algériens réclament uniquement une prise en charge leur garantissant le droit de vivre dans la dignité et d'exercer pleinement leur citoyenneté. S'exprimant à l'école nationale des sports olympiques d'El-Bez, à la veille de la Journée nationale des personnes aux besoins spécifiques célébrée le 14 mars, dans le cadre d'une visite dans la wilaya de Sétif en compagnie de la secrétaire d'Etat chargée du sport d'élite, Salima Souakri, la ministre a indiqué que son département planche sur la "révision de la loi relative à la protection et à la promotion des personnes handicapées", assurant qu'une commission a été "installée à cet effet". La ministre a expliqué que cette révision vise à "mieux répondre aux aspirations de cette catégorie et des représentants de la société civile en conformité avec les engagements internationaux et les conventions paraphées concernant cette catégorie". Mme Krikou a également souligné que son département, investi de la mission du travail social, solidaire et humanitaire qui reflète la propension profonde à la solidarité du peuple algérien, n'"oeuvre pas seulement à exécuter la politique d'aide aux catégories précaires en zones reculées, mais aussi à favoriser l'insertion de cette catégorie dans la vie économique et sociale et la valorisation de ses potentialités dans les divers domaines pour concrétiser son autonomie" Mme Krikou a rappelé les dispositions préventives prises pour protéger cette catégorie durant l'épidémie de la Covid-19, dont le protocole sanitaire mis en place dans les établissements de prise en charge de l'enfance durant la rentrée 2020/2021. La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme a présidé en compagnie de la secrétaire d'Etat chargée du sport d'élite plusieurs activités sportives, culturelles et économiques des personnes à besoins spécifiques. Mme Krikou a clôturé sa visite dans la wilaya en assistant à la signature de conventions entre des opérateurs économiques et la directrice de wilaya de l'action sociale et de la solidarité portant respect de l'obligation de réserver 1 % des postes d'emploi aux personnes handicapées. La ministre n'a pas manqué d'évoquer le "soutien et l'encouragement apporté au mouvement associatif activant dans le domaine du handicap pour l'ouverture de centres spécialisés en la prise en charge les enfants handicapés mentaux". Son secteur accompagne également ces associations pour la "mise en conformité avec la réglementation en vigueur", a-t-elle ajouté. Mme Krikou a fait état, dans ce sens, de 147 établissements gérés par plus de 100 associations, où 9.800 enfants handicapés mentaux sont pris en charge durant cette année scolaire. Elle a rappelé, à ce propos, l'ouverture de l'investissement au privé en matière de prise en charge du handicap mental, et ce après la promulgation du décret exécutif 18-221 du 6 septembre 2018 fixant les conditions de création, d'organisation, de fonctionnement et de contrôle des établissements privés d'éducation et d'enseignement spécialisés pour enfants handicapés mentaux. Difficile intégration des personnes en situation de handicap L'Algérie a célébré ce dimanche 14 mars, la Journée nationale des personnes en situation de handicap. Cette frange vulnérable de la société ne cesse de réclamer la nécessité d'augmenter le nombre de structures et d'organes de prise en charge, estimant, dans ce sens que la mise en place de structures adéquates reste insuffisante. Souvent marginalisées, malgré les efforts consentis par l'Etat pour une prise en charge effective sur le plan socio-professionnel, les personnes à besoin spécifiques souffrent de problèmes d'accessibilité, d'insertion éducative et professionnelle. Ces citoyens algériens réclament uniquement une prise en charge leur garantissant le droit de vivre dans la dignité et d'exercer pleinement leur citoyenneté.