Le procureur de la République près le tribunal de Tipasa a demandé, dans son réquisitoire, 10 ans de prison ferme contre Kamel Chikhi, alias Kamel El-Bouchi, dans l'affaire d'indus avantages et de réduction d'impôts, ont rapporté hier plusieurs médias nationaux. Le procureur de la République près le tribunal de Tipasa a demandé, dans son réquisitoire, 10 ans de prison ferme contre Kamel Chikhi, alias Kamel El-Bouchi, dans l'affaire d'indus avantages et de réduction d'impôts, ont rapporté hier plusieurs médias nationaux. Le parquet a également requis une peine de 7ans de prison ferme, assortie d'une amande de 1 million de dinars, à l'encontre du 2e mis en cause dans cette affaire. Quant au 3e et 4e prévenus, le procureur a requis, respectivement à leur encontre, une peine de 5 ans de prison ferme, assortie d'une amende de 500.000 dinars et une peine de 2 ans de prison ferme, assortie d'une amende de 200.000 dinars, précise la même source. L'affaire remonte à 2016, lorsque "Kamel El-Bouchi" avait transféré une propriété immobilière àAlger, à la SARL "Leks Promotion", dont il était associé et gérant. Kamel Chikhi, accusé également dans l'affaire de 7 quintaux de cocaïne saisis à Oran en 2018, a bénéficié d'une réduction d'impôts, estimée à 1 % au lieu de 5 %, ce qui est considéré comme contraire à la réglementation en vigueur et qui a causé des dommages au Trésor public estimés à 15 millions de dinars. Le parquet a également requis une peine de 7ans de prison ferme, assortie d'une amande de 1 million de dinars, à l'encontre du 2e mis en cause dans cette affaire. Quant au 3e et 4e prévenus, le procureur a requis, respectivement à leur encontre, une peine de 5 ans de prison ferme, assortie d'une amende de 500.000 dinars et une peine de 2 ans de prison ferme, assortie d'une amende de 200.000 dinars, précise la même source. L'affaire remonte à 2016, lorsque "Kamel El-Bouchi" avait transféré une propriété immobilière àAlger, à la SARL "Leks Promotion", dont il était associé et gérant. Kamel Chikhi, accusé également dans l'affaire de 7 quintaux de cocaïne saisis à Oran en 2018, a bénéficié d'une réduction d'impôts, estimée à 1 % au lieu de 5 %, ce qui est considéré comme contraire à la réglementation en vigueur et qui a causé des dommages au Trésor public estimés à 15 millions de dinars.