Les élections locales auront lieu comme prévu. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, vient en effet de convoquer le corps électoral. Ce scrutin est donc prévu pour le 27 novembre prochain. Tebboune a signé un décret présidentiel portant convocation du corps électoral en vue des élections anticipées des assemblées populaires communales (APC) Les élections locales auront lieu comme prévu. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, vient en effet de convoquer le corps électoral. Ce scrutin est donc prévu pour le 27 novembre prochain. Tebboune a signé un décret présidentiel portant convocation du corps électoral en vue des élections anticipées des assemblées populaires communales (APC) et de wilaya (APW), prévues le 27 novembre prochain, a ainsi indiqué dimanche un communiqué de la présidence de la République. "Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a signé samedi 28 août 2021, un décret présidentiel portant convocation du corps électoral en vue des élections anticipées des assemblées populaires communales (APC) et de wilaya (APW), prévues pour le samedi 27 novembre 2021", précise le communiqué. Le décret prévoit également la révision exceptionnelle des listes électorales durant la période allant du 5 au 15 septembre 2021. C'est au mois de juillet que les choses on commencées à se préciser s'agissant de cette joute électorale lorsque le Président Tebboune a reçu en audience d'une audience le président de l'autorité nationale indépendante des élections (Anie), Mohamed Charfi. Les observateurs ont dés lors conclu que Tebboune est sur le point d'annoncer la date de cette élection et, bien sur, la convocation du corps électoral. Cela aurait certainement était le cas sans cette pandémie du Covid-19. En effet entre temps la crise sanitaire s'est amplement détériorée et la Covid-19 a fait des ravages. L'Algérie faisait ainsi face, comme l'ont estimé les spécialistes de l santé, à une troisième vague autrement plus dangereuse que les deux précédentes. En atteste le bilan des contaminés qui a atte nt les cimes. Avec l'apparition du variant Delta, plus connu sous le nom de variant indien puisqu'il vient d'Inde, la donne a beaucoup changé et la préoccupation première pour le moment était exclusivement dédiée à la lutte contre cette pandémie. Mais il était évident que l'amélioration de la situation sanitaire aura un impact direct sur le choix de la date de ces élections Ces derniers jours le bilan des contaminés est sur une courbe décroissante. Cette tendance baissière, couplée à l'accentuation de la campagne de vaccination, a sans doute été pour beaucoup dan la décision de la tenue de ces élections locales anticipées avant la fin de l'année. Ce d'autant que la tenue des élections locales est un engagement du Président Tebboune et fait partie intégrante de sa feuille de route politique. Le renouvellement des assemblées élues fait en effet partie de ses priorités et il n'a eu de cesse de le répéter depuis son accession à la plus haute marche du pouvoir. Depuis son élection à la présidence de la République, le 12 décembre 2019, Abdelmadjid Tebboune, a indiqué, à maintes reprises, que sa priorité sera de doter le pays de nouvelles institutions élues. Il a ainsi commencé par réviser la Constitution par voie référendaire le 1er novembre 2020. Les élections législatives du 12 juin dernier ont constitué le deuxième jalon et il ne reste plus que les élections locales pour achever l'opération de renouvellement des institutions élues. et de wilaya (APW), prévues le 27 novembre prochain, a ainsi indiqué dimanche un communiqué de la présidence de la République. "Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a signé samedi 28 août 2021, un décret présidentiel portant convocation du corps électoral en vue des élections anticipées des assemblées populaires communales (APC) et de wilaya (APW), prévues pour le samedi 27 novembre 2021", précise le communiqué. Le décret prévoit également la révision exceptionnelle des listes électorales durant la période allant du 5 au 15 septembre 2021. C'est au mois de juillet que les choses on commencées à se préciser s'agissant de cette joute électorale lorsque le Président Tebboune a reçu en audience d'une audience le président de l'autorité nationale indépendante des élections (Anie), Mohamed Charfi. Les observateurs ont dés lors conclu que Tebboune est sur le point d'annoncer la date de cette élection et, bien sur, la convocation du corps électoral. Cela aurait certainement était le cas sans cette pandémie du Covid-19. En effet entre temps la crise sanitaire s'est amplement détériorée et la Covid-19 a fait des ravages. L'Algérie faisait ainsi face, comme l'ont estimé les spécialistes de l santé, à une troisième vague autrement plus dangereuse que les deux précédentes. En atteste le bilan des contaminés qui a atte nt les cimes. Avec l'apparition du variant Delta, plus connu sous le nom de variant indien puisqu'il vient d'Inde, la donne a beaucoup changé et la préoccupation première pour le moment était exclusivement dédiée à la lutte contre cette pandémie. Mais il était évident que l'amélioration de la situation sanitaire aura un impact direct sur le choix de la date de ces élections Ces derniers jours le bilan des contaminés est sur une courbe décroissante. Cette tendance baissière, couplée à l'accentuation de la campagne de vaccination, a sans doute été pour beaucoup dan la décision de la tenue de ces élections locales anticipées avant la fin de l'année. Ce d'autant que la tenue des élections locales est un engagement du Président Tebboune et fait partie intégrante de sa feuille de route politique. Le renouvellement des assemblées élues fait en effet partie de ses priorités et il n'a eu de cesse de le répéter depuis son accession à la plus haute marche du pouvoir. Depuis son élection à la présidence de la République, le 12 décembre 2019, Abdelmadjid Tebboune, a indiqué, à maintes reprises, que sa priorité sera de doter le pays de nouvelles institutions élues. Il a ainsi commencé par réviser la Constitution par voie référendaire le 1er novembre 2020. Les élections législatives du 12 juin dernier ont constitué le deuxième jalon et il ne reste plus que les élections locales pour achever l'opération de renouvellement des institutions élues.