Alors que le nouveau variant Omicron commence à se propager dans le monde, notamment en Europe, l'Algérie n'a pour l'heure enregistré aucun cas. Alors que le nouveau variant Omicron commence à se propager dans le monde, notamment en Europe, l'Algérie n'a pour l'heure enregistré aucun cas. C'est ce qu'a laissé entendre, hier, le professeur Lyes Rehal, directeur général des services de santé au ministère de la Santé, lors d'une conférence de presse. À une question sur une éventuelle présence du variant omicron en Algérie, le professeur Rahal brandit la carte de la transparence. "Le tout premier cas de Covid détecté chez un ressortissant italien, le 25 février 2020, le ministre de la Santé en a fait l'annonce à la télévision deux heures après", a rappelé Lyes Rehal, pour signifier que les autorités sanitaires ont toujours rendues publiques les données sanitaires liées au Covid-19. L'ancien directeur général de l'Institut national de santé publique (INSP), s'est voulu rassurant quant à la rigueur du contrôle sanitaire aux frontières face à toute menace d'importation du nouveau variant du Covid. "Le dispositif n'est pas spécifique pour un variant" "Le dispositif ne s'applique pas spécifiquement pour un variant. Ce qui nous importe plus que tout c'est que toute personne entrant en Algérie est porteuse ou non du Covid", a indiqué le professeur Rahal qui et en avant l'expertise d'un organisme de référence comme l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) dont le système de vigilance virologique et de veille sanitaire est à l'affût du moindre cas suspect. Concernant la vaccination contre le Covid, le professeur Lyes Rehal a sollicité l'appui des médias en vue de sensibiliser davantage la population à la vaccination, réitérant que l'objectif des pouvoirs publics est d'arriver à un taux de vaccination de plus de 70 % de la population. La vaccination contre le Covid connaît un ralentissement qui inquiète sérieusement les spécialistes au moment où l'Algérie fait face au début d'une 4e vague de la pandémie. Le ministère de la Santé a annoncé que sur 20 millions de la population cible, 11 millions d'Algériens ont été vaccinés dont 6 millions ont reçu les deux doses correspondant au schéma vaccinal complet. Le département du professeur Abderrahmane Benbouzid a annoncé le début de la campagne de rappel (3e dose) pour les personnes vaccinées depuis au moins 6 mois. Le point dans le monde La propagation du nouveau variant du coronavirus, omicron, s'est accélérée dans le monde ces dernières 24 heures, suscitant toujours plus d'inquiétude et poussant de plus en plus de pays à fermer leurs frontières. En France, le ministère de la Santé a annoncé dans un communiqué publié dimanche soir, que 8 cas "possibles" de porteurs du variant omicron ont été détectés sur le territoire français. L'information doit être "confirmée par un séquençage, mais ces personnes sont déj à l'isolement" précise le même communiqué. L'autorité sanitaire portugaise a quant à elle annoncé la détection, lundi 29 novembre, de 13 cas du nouveau variant du coronavirus sur son sol. Tous liés à des joueurs et des membres du personnel de l'équipe de football de Lisbonne Belenenses. Aux Pays-Bas, ce sont pas moins de 13 passagers en provenance d'Afrique du Sud qui ont été testés positifs au nouvea variant, ont annoncé dimanche 28 novembre les autorités sanitaires du pays. Il est à rappeler que plusieurs autres cas ont été détectés ailleurs en Europe ces derniers jours, notamment en Belgique, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et en République tchèque. Une propagation rapide et qui représente un risque "élevé à très élevé", juge l'Agence de santé de l'Union européenne dans un communiqué. Le Canada a par ailleurs annoncé, dimanche 28 novembre, l détection de deux cas positifs à la nouvelle souche du virus chez des voyageurs revenant du Nigeria. Il s'agit des premiers cas du variant omicron détectés en Amérique. Fermeture des frontières Pour faire face à la propagation du variant omicron, trois pays ont d'ores et déjà annoncé la fermeture totale de leurs frontières aux voyageurs étrangers. Il s'agit du Maroc, du Japon et d'Israël. Dans le monde, plusieurs pays, à l'instar de la France, de l'Italie, de l'Allemagne, des Etats-Unis et du Canada, ont décidé, par précaution, de fermer provisoirement leurs frontières aux voyageurs en provenance d'Afrique australe. Invoquant les incertitudes qui entourent la transmissibilité et la dangerosité du nouveau variant, l'Australie a pour sa part décidé de suspendre, hier, son projet de réouverture des frontières aux étudiants et aux travailleurs qualifiés. Réunion d'urgence des ministres de la Santé du G7 Alors que plusieurs cas liés à la nouvelle souche ont été détectés dans le monde, le gouvernement britannique, qui occupe actuellement la présidence tournante du G7, a annoncé ce lundi 29 novembre, "une réunion d'urgence pour discuter de l'évolution de la situation sur Omicron". Les ministres de la Santé de la France, des Etats-Unis, du Canada, de l'Allemagne, de l'Italie, du Japon et du Royaume-Uni y prendront part. C'est ce qu'a laissé entendre, hier, le professeur Lyes Rehal, directeur général des services de santé au ministère de la Santé, lors d'une conférence de presse. À une question sur une éventuelle présence du variant omicron en Algérie, le professeur Rahal brandit la carte de la transparence. "Le tout premier cas de Covid détecté chez un ressortissant italien, le 25 février 2020, le ministre de la Santé en a fait l'annonce à la télévision deux heures après", a rappelé Lyes Rehal, pour signifier que les autorités sanitaires ont toujours rendues publiques les données sanitaires liées au Covid-19. L'ancien directeur général de l'Institut national de santé publique (INSP), s'est voulu rassurant quant à la rigueur du contrôle sanitaire aux frontières face à toute menace d'importation du nouveau variant du Covid. "Le dispositif n'est pas spécifique pour un variant" "Le dispositif ne s'applique pas spécifiquement pour un variant. Ce qui nous importe plus que tout c'est que toute personne entrant en Algérie est porteuse ou non du Covid", a indiqué le professeur Rahal qui et en avant l'expertise d'un organisme de référence comme l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) dont le système de vigilance virologique et de veille sanitaire est à l'affût du moindre cas suspect. Concernant la vaccination contre le Covid, le professeur Lyes Rehal a sollicité l'appui des médias en vue de sensibiliser davantage la population à la vaccination, réitérant que l'objectif des pouvoirs publics est d'arriver à un taux de vaccination de plus de 70 % de la population. La vaccination contre le Covid connaît un ralentissement qui inquiète sérieusement les spécialistes au moment où l'Algérie fait face au début d'une 4e vague de la pandémie. Le ministère de la Santé a annoncé que sur 20 millions de la population cible, 11 millions d'Algériens ont été vaccinés dont 6 millions ont reçu les deux doses correspondant au schéma vaccinal complet. Le département du professeur Abderrahmane Benbouzid a annoncé le début de la campagne de rappel (3e dose) pour les personnes vaccinées depuis au moins 6 mois. Le point dans le monde La propagation du nouveau variant du coronavirus, omicron, s'est accélérée dans le monde ces dernières 24 heures, suscitant toujours plus d'inquiétude et poussant de plus en plus de pays à fermer leurs frontières. En France, le ministère de la Santé a annoncé dans un communiqué publié dimanche soir, que 8 cas "possibles" de porteurs du variant omicron ont été détectés sur le territoire français. L'information doit être "confirmée par un séquençage, mais ces personnes sont déj à l'isolement" précise le même communiqué. L'autorité sanitaire portugaise a quant à elle annoncé la détection, lundi 29 novembre, de 13 cas du nouveau variant du coronavirus sur son sol. Tous liés à des joueurs et des membres du personnel de l'équipe de football de Lisbonne Belenenses. Aux Pays-Bas, ce sont pas moins de 13 passagers en provenance d'Afrique du Sud qui ont été testés positifs au nouvea variant, ont annoncé dimanche 28 novembre les autorités sanitaires du pays. Il est à rappeler que plusieurs autres cas ont été détectés ailleurs en Europe ces derniers jours, notamment en Belgique, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et en République tchèque. Une propagation rapide et qui représente un risque "élevé à très élevé", juge l'Agence de santé de l'Union européenne dans un communiqué. Le Canada a par ailleurs annoncé, dimanche 28 novembre, l détection de deux cas positifs à la nouvelle souche du virus chez des voyageurs revenant du Nigeria. Il s'agit des premiers cas du variant omicron détectés en Amérique. Fermeture des frontières Pour faire face à la propagation du variant omicron, trois pays ont d'ores et déjà annoncé la fermeture totale de leurs frontières aux voyageurs étrangers. Il s'agit du Maroc, du Japon et d'Israël. Dans le monde, plusieurs pays, à l'instar de la France, de l'Italie, de l'Allemagne, des Etats-Unis et du Canada, ont décidé, par précaution, de fermer provisoirement leurs frontières aux voyageurs en provenance d'Afrique australe. Invoquant les incertitudes qui entourent la transmissibilité et la dangerosité du nouveau variant, l'Australie a pour sa part décidé de suspendre, hier, son projet de réouverture des frontières aux étudiants et aux travailleurs qualifiés. Réunion d'urgence des ministres de la Santé du G7 Alors que plusieurs cas liés à la nouvelle souche ont été détectés dans le monde, le gouvernement britannique, qui occupe actuellement la présidence tournante du G7, a annoncé ce lundi 29 novembre, "une réunion d'urgence pour discuter de l'évolution de la situation sur Omicron". Les ministres de la Santé de la France, des Etats-Unis, du Canada, de l'Allemagne, de l'Italie, du Japon et du Royaume-Uni y prendront part.