Stade 5-Juillet (Alger), bon éclairage, pelouse en bon état, 80.000 spectateurs, arbitrage du trio marocain Mohamed El-Kezzaz (arbitre central), assisté de MM. Mohamed Ayoub et Driss Haraki Buts : Mansaré Fodé (44') - Feyndunu (85') pour la Guinée Avertissements : Guinée : Diallo Mamadou (37') Les équipes : Algérie : Hadjaoui, Meftah, Bougherra, Yahia (Deham, 46'), Meniri, Zarabi (Bezzaz, 9'), Ziani, Mansouri, Amri (Ghilas, 66'), Belhadj, Saïfi. Entraîneur : Jean-Michel Cavalli. Guinée : Diarso Xraby, Feyndounu Pascal, Jabi Daouda (Kalabane Oumar, 77'), Zaiat Kamil, Diallo Mamadou, Sylla Kanfori, Bangoura Ismael (Bangoura Ibrahima 83), Mansari Fodé, Cissé Mohamed, Camara Ibrahima, Soubeymane Yula Entraîneur : Robert Nouzaret . Stade 5-Juillet (Alger), bon éclairage, pelouse en bon état, 80.000 spectateurs, arbitrage du trio marocain Mohamed El-Kezzaz (arbitre central), assisté de MM. Mohamed Ayoub et Driss Haraki Buts : Mansaré Fodé (44') - Feyndunu (85') pour la Guinée Avertissements : Guinée : Diallo Mamadou (37') Les équipes : Algérie : Hadjaoui, Meftah, Bougherra, Yahia (Deham, 46'), Meniri, Zarabi (Bezzaz, 9'), Ziani, Mansouri, Amri (Ghilas, 66'), Belhadj, Saïfi. Entraîneur : Jean-Michel Cavalli. Guinée : Diarso Xraby, Feyndounu Pascal, Jabi Daouda (Kalabane Oumar, 77'), Zaiat Kamil, Diallo Mamadou, Sylla Kanfori, Bangoura Ismael (Bangoura Ibrahima 83), Mansari Fodé, Cissé Mohamed, Camara Ibrahima, Soubeymane Yula Entraîneur : Robert Nouzaret . Alors qu'ils étaient archifavoris en étant classés premiers du groupe 8, les Verts ont déçu leurs fans et compromis leurs chances de qualification à la CAN 2008, prévue en janvier prochain au Ghana, après avoir été nettement battus par des Guinéens très techniques. Cavalli et son équipe ont opté pour un jeu à la défensive avec une option de contres, comme procédaient jadis les équipes évoluant en déplacement. Cavalli ne cessait, avant ce match, d'évoquer les bonnes dispositions de ses attaquants après avoir réussi deux buts face au Cap-Vert et trois face à l'Argentine. Mais il a surpris tout le public algérien en présentant une équipe plutôt axée sur la défensive. En revanche, les Guinéens de Robert Nouzaret, qui connaît bien la mentalité des Algériens pour avoir drivé le Mouloudia Chaâbia d'Alger, ont plutôt opté pour une option résolument offensive. Ce qui explique la domination de Feyndounou et de ses coéquipiers en première mi-temps. Belhadj, Ziani et Meniri, sans oublier Saïfi, ont raté des occasions de scorer. Les guinéens, quant à eux, n'ont pas raté celle qui s'est présentée à trois minutes de la mi-temps. Feyndounou lance Bangoura qui remet intelligemment sur Mancharé, seul, dans les six mètres pour que ce dernier ouvre la marque. La mi-temps est donc sifflée sur le score à l'avantage des guinéens. De retour des vestiaires, changement de tactique chez les Verts. Ils dominent mais de façon hasardeuse. Les Ziani et consorts n'ont pas vraiment trouvé de solution au pressing des guinéens sur le porteur du ballon. Les Algériens multiplient les offensives sans conrétiser. Et au plus fort de la domination stérile des Verts, voilà que Feyndounou, le capitaine du Silly national, ajuste un tir pour tromper le gardien Hadjaoui, des 18 mètres. C'est le second but qui a coupé le souffle au nombreux public qui quitte immédiatement le stade, la mort dans l'âme. Et rien que pour cette image, il faut une sacrée revanche… Les Verts perdent bêtement ce match qui ouvre grand les voies de qualification à la Guinée. Ils devront patienter jusqu'à l'utime journée des éliminatoires en septembre prochain pour se fixer sur leur sort même si le Cap-Vert et la Gambie se sont quittés sur le score vierge. nouzaret et son équipe ont donné une véritable leçon de réalisme et de football classique à Cavalli et son groupe, qui seront mieux face à leur écran lors de la CAN 2008. A moins d'un… miracle ! Alors qu'ils étaient archifavoris en étant classés premiers du groupe 8, les Verts ont déçu leurs fans et compromis leurs chances de qualification à la CAN 2008, prévue en janvier prochain au Ghana, après avoir été nettement battus par des Guinéens très techniques. Cavalli et son équipe ont opté pour un jeu à la défensive avec une option de contres, comme procédaient jadis les équipes évoluant en déplacement. Cavalli ne cessait, avant ce match, d'évoquer les bonnes dispositions de ses attaquants après avoir réussi deux buts face au Cap-Vert et trois face à l'Argentine. Mais il a surpris tout le public algérien en présentant une équipe plutôt axée sur la défensive. En revanche, les Guinéens de Robert Nouzaret, qui connaît bien la mentalité des Algériens pour avoir drivé le Mouloudia Chaâbia d'Alger, ont plutôt opté pour une option résolument offensive. Ce qui explique la domination de Feyndounou et de ses coéquipiers en première mi-temps. Belhadj, Ziani et Meniri, sans oublier Saïfi, ont raté des occasions de scorer. Les guinéens, quant à eux, n'ont pas raté celle qui s'est présentée à trois minutes de la mi-temps. Feyndounou lance Bangoura qui remet intelligemment sur Mancharé, seul, dans les six mètres pour que ce dernier ouvre la marque. La mi-temps est donc sifflée sur le score à l'avantage des guinéens. De retour des vestiaires, changement de tactique chez les Verts. Ils dominent mais de façon hasardeuse. Les Ziani et consorts n'ont pas vraiment trouvé de solution au pressing des guinéens sur le porteur du ballon. Les Algériens multiplient les offensives sans conrétiser. Et au plus fort de la domination stérile des Verts, voilà que Feyndounou, le capitaine du Silly national, ajuste un tir pour tromper le gardien Hadjaoui, des 18 mètres. C'est le second but qui a coupé le souffle au nombreux public qui quitte immédiatement le stade, la mort dans l'âme. Et rien que pour cette image, il faut une sacrée revanche… Les Verts perdent bêtement ce match qui ouvre grand les voies de qualification à la Guinée. Ils devront patienter jusqu'à l'utime journée des éliminatoires en septembre prochain pour se fixer sur leur sort même si le Cap-Vert et la Gambie se sont quittés sur le score vierge. nouzaret et son équipe ont donné une véritable leçon de réalisme et de football classique à Cavalli et son groupe, qui seront mieux face à leur écran lors de la CAN 2008. A moins d'un… miracle !