L'Algérie compte actuellement un peu plus de 376 mille PME. Le ministre juge que le problème du financement de ces entreprises se pose toujours et que la dotation du gouvernement à ce secteur estimée à 10 milliards de dinars pour la réalisation du programme de mise à niveau de la PME est insuffisante. L'Algérie compte actuellement un peu plus de 376 mille PME. Le ministre juge que le problème du financement de ces entreprises se pose toujours et que la dotation du gouvernement à ce secteur estimée à 10 milliards de dinars pour la réalisation du programme de mise à niveau de la PME est insuffisante. «Je tiens toujours à la création d'une banque spécialisée dans le financement de la PME en Algérie, parce que le statut actuel des banques algériennes privées ou publiques ne leur permet pas de prendre en charge les dossiers des PME», a déclaré hier le ministre de la PME et de l'Artisanat, Mustapha Benbada, lors de la séance d'ouverture de la rencontre périodique avec les directeurs des 48 wilayas consacrée durant deux jours à l'évaluation des actions des entreprises au niveau local. En effet, le ministère de la PME avait proposé au gouvernement de créer une banque spécialisée dans le financement de la PME et il avait même suggéré que le Crédit populaire d'Algérie (CPA) serait capable de prendre en charge cette mission, notamment avec sa privatisation. Cependant, cette idée a été écartée par le gouvernement pour des raisons de coût. La création de cette banque nécessite en effet des fonds et un nouveau réseau d'agences bancaires. L'Algérie compte actuellement un peu plus de 376 mille PME. Le ministre juge que le problème du financement de ces entreprises se pose toujours et que la dotation du gouvernement à ce secteur estimée à 10 milliards de dinars pour la réalisation du programme de mise à niveau de la PME est insuffisante. A l'occasion de cette rencontre, M. Benbada a noté que les exportations hors hydrocarbures ont enregistré durant l'année passée une hausse de 17,53% par rapport à l'année 2005. Certes, regrette-t-il, elles demeurent marginales avec 2,02% du volume global des exportations, soit l'équivalent de 1,07 milliard de dollars en 2006. Le ministre a lié cette faiblesse aux déficiences en matière de gestion de ces entreprises, ajoutant que les exportations dépendront encore pour une période minimale de 5 ans des hydrocarbures. Lors de la séance d'ouverture de cette réunion, l'inspecteur général du ministère, M. Mohammed Zeghidi, a indiqué que les objectifs tracés par le ministère pour le premier trimestre de l'année en cours sont de poursuivre les études sur les mécanismes de soutien du secteur, mettre en place une banque des données économiques et statistiques, accélérer les opérations de mise à niveau des PME et renforcer le soutien des activités artisanales. S'agissant des projets réalisés durant ce semestre, l'inspecteur s'est montré insatisfait, notamment à propos des 140 projets prévus, dont 50 seulement sont en phase finale et le reste en cours de réalisation. A propos de la coopération, M. Benbada a révélé que son ministère travaille en collaboration avec plusieurs pays. Il a indiqué dans ce sens que 24 conseillers ont été formés pour l'application du programme de mise à niveau de la PME dans le cadre de la coopération avec le Bureau international du travail (BIT). Le ministre a rappelé aussi que l'Algérie coopère depuis 1990 avec le bureau allemand GTZ qui a accordé à l'Algérie une enveloppe de 8 millions d'euros pour piloter le programme de mise à niveau des PME, ainsi que la collaboration de l'Italie qui jouit d'une très large expérience en la matière. Dans le même contexte, M. Benbada a indiqué que pour éviter la lenteur dans le traitement administratif des dossiers et le rendre plus souple, le ministère de la PME a fait appel au bureau d'études national «Cetic» pour un audit des entreprises à mettre à niveau, a-t-il encore indiqué. Dans ce sens, le ministre a annoncé que 32 entreprises ont été impliquées dans le processus de mise à niveau des PME qui a commencé le 25 février dernier. «Je tiens toujours à la création d'une banque spécialisée dans le financement de la PME en Algérie, parce que le statut actuel des banques algériennes privées ou publiques ne leur permet pas de prendre en charge les dossiers des PME», a déclaré hier le ministre de la PME et de l'Artisanat, Mustapha Benbada, lors de la séance d'ouverture de la rencontre périodique avec les directeurs des 48 wilayas consacrée durant deux jours à l'évaluation des actions des entreprises au niveau local. En effet, le ministère de la PME avait proposé au gouvernement de créer une banque spécialisée dans le financement de la PME et il avait même suggéré que le Crédit populaire d'Algérie (CPA) serait capable de prendre en charge cette mission, notamment avec sa privatisation. Cependant, cette idée a été écartée par le gouvernement pour des raisons de coût. La création de cette banque nécessite en effet des fonds et un nouveau réseau d'agences bancaires. L'Algérie compte actuellement un peu plus de 376 mille PME. Le ministre juge que le problème du financement de ces entreprises se pose toujours et que la dotation du gouvernement à ce secteur estimée à 10 milliards de dinars pour la réalisation du programme de mise à niveau de la PME est insuffisante. A l'occasion de cette rencontre, M. Benbada a noté que les exportations hors hydrocarbures ont enregistré durant l'année passée une hausse de 17,53% par rapport à l'année 2005. Certes, regrette-t-il, elles demeurent marginales avec 2,02% du volume global des exportations, soit l'équivalent de 1,07 milliard de dollars en 2006. Le ministre a lié cette faiblesse aux déficiences en matière de gestion de ces entreprises, ajoutant que les exportations dépendront encore pour une période minimale de 5 ans des hydrocarbures. Lors de la séance d'ouverture de cette réunion, l'inspecteur général du ministère, M. Mohammed Zeghidi, a indiqué que les objectifs tracés par le ministère pour le premier trimestre de l'année en cours sont de poursuivre les études sur les mécanismes de soutien du secteur, mettre en place une banque des données économiques et statistiques, accélérer les opérations de mise à niveau des PME et renforcer le soutien des activités artisanales. S'agissant des projets réalisés durant ce semestre, l'inspecteur s'est montré insatisfait, notamment à propos des 140 projets prévus, dont 50 seulement sont en phase finale et le reste en cours de réalisation. A propos de la coopération, M. Benbada a révélé que son ministère travaille en collaboration avec plusieurs pays. Il a indiqué dans ce sens que 24 conseillers ont été formés pour l'application du programme de mise à niveau de la PME dans le cadre de la coopération avec le Bureau international du travail (BIT). Le ministre a rappelé aussi que l'Algérie coopère depuis 1990 avec le bureau allemand GTZ qui a accordé à l'Algérie une enveloppe de 8 millions d'euros pour piloter le programme de mise à niveau des PME, ainsi que la collaboration de l'Italie qui jouit d'une très large expérience en la matière. Dans le même contexte, M. Benbada a indiqué que pour éviter la lenteur dans le traitement administratif des dossiers et le rendre plus souple, le ministère de la PME a fait appel au bureau d'études national «Cetic» pour un audit des entreprises à mettre à niveau, a-t-il encore indiqué. Dans ce sens, le ministre a annoncé que 32 entreprises ont été impliquées dans le processus de mise à niveau des PME qui a commencé le 25 février dernier.