Face au déferlement de passagers en provenance de Marseille, Alicante et Barcelone, les douanes algériennes ont mis en place des dispositifs de facilitation à l'image du couloir vert et de la brigade navigante chargée, durant la traversée, de procéder à toutes les formalités et procédures douanières. Pour la première fois, des dépliants comportant la liste des marchandises soumises à la taxation forfaitaire applicable aux voyageurs, ont été distribués dans le but d'informer. Néanmoins, et durant le premier semestre de cette année, les divers services des douanes ont réussi à déjouer les plans et ruses de certains voyageurs malintentionnés projetant d'introduire des denrées prohibées à titre exceptionnel ou à titre absolu. Face au déferlement de passagers en provenance de Marseille, Alicante et Barcelone, les douanes algériennes ont mis en place des dispositifs de facilitation à l'image du couloir vert et de la brigade navigante chargée, durant la traversée, de procéder à toutes les formalités et procédures douanières. Pour la première fois, des dépliants comportant la liste des marchandises soumises à la taxation forfaitaire applicable aux voyageurs, ont été distribués dans le but d'informer. Néanmoins, et durant le premier semestre de cette année, les divers services des douanes ont réussi à déjouer les plans et ruses de certains voyageurs malintentionnés projetant d'introduire des denrées prohibées à titre exceptionnel ou à titre absolu. A l'issue des opérations de contrôle, de grandes quantités d'armes et de munitions, de drogue, de métaux précieux et de véhicules introduits illégalement, ont été saisies. La tâche n'est pas de tout repos pour les douaniers durant le contrôle des 60073 voyageurs entrants et 46261 sortants des 63 car ferries appartenant à la CNAN, l'ENTMV et Aigle Azur. Il en est de même des douaniers qui ont en charge le contrôle des passagers en partance ou en provenance de la nouvelle desserte Alger-Tunis. Le port d'Alger n'a pas changé d'un iota. Les multiples entreprises occupant de très spacieux locaux et «n'ayant rien à voir avec les activités maritimes» ainsi que les «conteneurs faisant office d'habitation à des familles, sont toujours là», affirment des personnes activant au sein de ce «vivier». Bien que des projets d'extension aient été annoncés par les anciens gérants de ce port, il n'en demeure pas moins que ce port dont la surface est, en partie, occupé par ces entreprises, dans des hangars menaçant ruine servant au stockage tous azimuts, est saturé. Bien que celui-ci a été reconnu comme tel par d'innombrables experts et autres opérateurs économiques qui demandent «son extension», le port d'Alger qui, durant les années précédentes accueillait les milliers de touristes sur un seul quai (7), s'est vu adjoindre un autre quai (9). «Une bonne chose en soi» affirment les responsables des douanes qui ajoutent toutefois, que «ce nouveau quai n'est pas doté d'une gare maritime et ce, en dépit de toutes les suggestions faites par l'administration à l'endroit de l'EPAL». L'absence d'une gare est fortement préjudiciable aux douaniers, mais également pour les services de police, qui sont obligés de subir la contraignante tâche de convoiter les passagers à bord de cars du quai 7 au 9 pour être soumis au contrôle obligatoire. La mobilisation d'un grand nombre de douaniers et de policiers vient s'ajouter à cette contrainte imposée. En clair, peut-on imaginer une gare maritime pour deux quais distants de quelques centaines de mètres l'un de l'autre ? Le directeur régional des douanes d'Alger explique :«En dépit de toutes les démarches entreprises auprès de l'EPAL pour l'ouverture d'une nouvelle gare maritime, rien n'a été entrepris et par conséquent, les agents des douanes et les services de police subissent les retombées». L'eau à l'intérieur des deux quais n'est visiblement pas bleu. Elle reflète une couleur grisâtre du fait que ces derniers n'ont jamais été débarrassés de la grande couche de vase qui s'est accumulé au fond, enveloppant des quantités de produits toxiques (fioles de mercure, poudre de plomb, et bien d'autres articles). Dans le cadre du désengorgement du port et suivant une circulaire ministérielle, 423 tonnes de pièces de rechange usagers pour véhicules, importées par des passagers et saisies par les douanes, ont été vendues à la CNRC (récupération de métal), ces derniers jours pour un montant non encore connu. Une opération qui permettra aux services de récupérer les grandes surfaces d'un hangar au sein duquel étaient stockés ces produits. Cela dit, les services des douanes, qui exercent dans des conditions qui laissent à désirer, ne ménagent aucun effort quant à la mission qui leur est assignée, à savoir la lutte contre les différentes formes de fraude et la protection de l'économie nationale. Dans ce contexte, les statistiques du premier semestre de l'année en cours élaborées par l'administration nous édifie sur cette évidence. Les douanes par les chiffres Pour le premier semestre de cette année, pas moins de 4681 déclarations ont été enregistrées. Les enregistrements de CCR (Cas de Changement de Résidence) ont occupent la deuxième place du tableau avec 1235 après les importations avec des licences d'anciens moudjahids dont le nombre avoisine les 2083 cas. Il faut savoir que pour cette catégorie, les textes énoncent que seuls les résidants de plus de 3 ans sont exonérés de taxes douanières. Concernant ce volet et durant le premier semestre, l'inspection divisionnaire du régime particulier a réalisé une recette de 48 milliards de centimes. Après les saisies opérées, une grande partie des produits non périssables est revendue aux enchères. Au terme de cette opération de saisie, les douanes ont perçu un peu plus de 4,7 milliards de centimes qui s'ajouteront à plus de 450 millions de centimes perçus au titre d'amendes et confiscations. S'agissant du mouvement de voitures, il a été procédé au port d'Alger au contrôle de 18.827 véhicules entrants à titre d'importation temporaire ou définitif. En outre, quelque 16908 véhicules ont été revisités précédemment à leur embarquement sur les ferry. Ce qui conduit à dire que ce chiffre de propriétaires sortants représente une partie des touristes ayant foulé le sol algérien pour une raison ou une autre. Cette catégorie de voyageurs est sujette à une attention particulière de la part des douaniers agissant sous l'impulsion du divisionnaire et suivant une stratégie spécifique. Au terme des divers contrôles opérés sur les 35.735 véhicules et suite au constat avéré de fraude (substitution, falsification des numéros de chassis ou de série et autres délits), les douaniers ont saisi 17 véhicules toutes marques confondues représentant une valeur marchande excédant le milliard de centimes. Durant cette période, 147 affaires qui ont fait l'objet de contentieux ont été enregistrées. Armes, drogue et métaux précieux Lors des visites, seules les véhicules suspectés sont dirigés vers le VGS (Visite Générale Spécialisée). Dans nombre de cas, les opérations de contrôle révèlent la découverte de caches spécialement aménagées par les voyageurs, dans lesquelles des produits prohibés sont mis au jour. Ainsi, d'importantes quantités de drogues, d'armes, de munitions et de métaux précieux (or et argent) ont été réquisitionnées par les douaniers. Dans le sillage de ces opérations de contrôle durant l'année 2006, 59 véhicules ont été saisis. Pour cette année, 5 véhicules et un fourgon ayant servi aux tentatives de fraude ont été saisis. Quatre personnes impliquées dans le trafic de métaux précieux et d'armes à feu ainsi que quatre autres personnes impliquées dans le trafic de stupéfiants ont été présentées devant la justice après l'établissement de PV et dépôt de plaintes. Durant ce semestre, un peu moins de 300 kg de kif destinés à être écoulés sur le marché européen et représentant une valeur avoisinant le 1,5 milliard de centimes ont été découverts par les douaniers du port d'Alger. A ce sujet, s'il est vrai que les trafiquants ne manquent d'imagination quant aux caches utilisées, il est vrai aussi que les douaniers ont eu l'avantage d'accumuler les expériences et d'en tirer des leçons. «Si la voiture ne présente aucun signe révélateur, le comportement des chauffeurs peut trahir», indique un douanier rompu dans ce type d'intervention de contrôle. 128 kg de cannabis et une Toyota 4x4 pour une valeur marchande de plus de 900 millions de centimes, 37,57 kg de résine de cannabis et une voiture Chrysler (275 millions de centimes), 126 kg de cannabis ainsi qu'une Toyota Rafka (plus de 235 millions de centimes) sont entre autres opérations de saisie réalisées durant ce semestre 2007. Quant à la quantité de saisies de métaux précieux (or et argent), celle-ci se compte par plusieurs dizaines de kilogrammes. En effet, plus de 30 kg d'or (bijoux et autres) dissimulés dans des caches aménagées par les propriétaires pour une valeur marchande excédant 5,6 milliards de centimes. Une recette à laquelle, les valeurs des véhicules saisis, sont adjointes. Durant les visites, les douaniers ont également traité des affaires ayant trait au trafic d'armes à feu. Autrement dit, au total 11 personnes ont été appréhendées et présentées devant la justice par les services de sécurité, prenant le relais dans cette catégorie d'infraction. 2 pistolets automatiques et 44 balles, 120 cartouches de calibre 12 et 2 boites de poudre noire (500 g chacune), 108 kg de capsules (mise à feu), 15.412 cartouches de calibre 12 et 16, 6 fusils de chasse, 2 carabines, 1 revolver sans numéro de série et un silencieux dissimulé dans une couette, 35 talkies-walkies, 7 écouteurs adaptés, 2 canons de fusil, une crosse pour fusil (importé séparément des canons) et 50 boites de poudre noire sont entre autres affaires de trafic d'armes traitées par les éléments exerçant sous les ordres du divisionnaire Difallah Mohamed Nadir. En dépit des efforts consentis par les douaniers pour contrer les fraudeurs et dont les énormes dividendes « renflouent » les caisses du Trésor public, il demeure que l'institution des douanes est considérée comme le parent pauvre du système. En d'autres termes, bien que ce corps soit un tantinet, entaché par les pratiques douteuses de certains douaniers véreux, il est une certitude que les conditions sociaux professionnelles et salariales des agents et cadres composant ce corps, également constitué d'hommes doté d'une intégrité irréprochable, devraient faire l'objet d'une attention particulière de la part des autorités publiques, eu égard aux risques de diverses natures qu'ils encourent. «Ce serait une façon de rendre hommage aux douaniers décédés dans l'exercice de leurs missions», soutiennent la plupart des agents. A l'issue des opérations de contrôle, de grandes quantités d'armes et de munitions, de drogue, de métaux précieux et de véhicules introduits illégalement, ont été saisies. La tâche n'est pas de tout repos pour les douaniers durant le contrôle des 60073 voyageurs entrants et 46261 sortants des 63 car ferries appartenant à la CNAN, l'ENTMV et Aigle Azur. Il en est de même des douaniers qui ont en charge le contrôle des passagers en partance ou en provenance de la nouvelle desserte Alger-Tunis. Le port d'Alger n'a pas changé d'un iota. Les multiples entreprises occupant de très spacieux locaux et «n'ayant rien à voir avec les activités maritimes» ainsi que les «conteneurs faisant office d'habitation à des familles, sont toujours là», affirment des personnes activant au sein de ce «vivier». Bien que des projets d'extension aient été annoncés par les anciens gérants de ce port, il n'en demeure pas moins que ce port dont la surface est, en partie, occupé par ces entreprises, dans des hangars menaçant ruine servant au stockage tous azimuts, est saturé. Bien que celui-ci a été reconnu comme tel par d'innombrables experts et autres opérateurs économiques qui demandent «son extension», le port d'Alger qui, durant les années précédentes accueillait les milliers de touristes sur un seul quai (7), s'est vu adjoindre un autre quai (9). «Une bonne chose en soi» affirment les responsables des douanes qui ajoutent toutefois, que «ce nouveau quai n'est pas doté d'une gare maritime et ce, en dépit de toutes les suggestions faites par l'administration à l'endroit de l'EPAL». L'absence d'une gare est fortement préjudiciable aux douaniers, mais également pour les services de police, qui sont obligés de subir la contraignante tâche de convoiter les passagers à bord de cars du quai 7 au 9 pour être soumis au contrôle obligatoire. La mobilisation d'un grand nombre de douaniers et de policiers vient s'ajouter à cette contrainte imposée. En clair, peut-on imaginer une gare maritime pour deux quais distants de quelques centaines de mètres l'un de l'autre ? Le directeur régional des douanes d'Alger explique :«En dépit de toutes les démarches entreprises auprès de l'EPAL pour l'ouverture d'une nouvelle gare maritime, rien n'a été entrepris et par conséquent, les agents des douanes et les services de police subissent les retombées». L'eau à l'intérieur des deux quais n'est visiblement pas bleu. Elle reflète une couleur grisâtre du fait que ces derniers n'ont jamais été débarrassés de la grande couche de vase qui s'est accumulé au fond, enveloppant des quantités de produits toxiques (fioles de mercure, poudre de plomb, et bien d'autres articles). Dans le cadre du désengorgement du port et suivant une circulaire ministérielle, 423 tonnes de pièces de rechange usagers pour véhicules, importées par des passagers et saisies par les douanes, ont été vendues à la CNRC (récupération de métal), ces derniers jours pour un montant non encore connu. Une opération qui permettra aux services de récupérer les grandes surfaces d'un hangar au sein duquel étaient stockés ces produits. Cela dit, les services des douanes, qui exercent dans des conditions qui laissent à désirer, ne ménagent aucun effort quant à la mission qui leur est assignée, à savoir la lutte contre les différentes formes de fraude et la protection de l'économie nationale. Dans ce contexte, les statistiques du premier semestre de l'année en cours élaborées par l'administration nous édifie sur cette évidence. Les douanes par les chiffres Pour le premier semestre de cette année, pas moins de 4681 déclarations ont été enregistrées. Les enregistrements de CCR (Cas de Changement de Résidence) ont occupent la deuxième place du tableau avec 1235 après les importations avec des licences d'anciens moudjahids dont le nombre avoisine les 2083 cas. Il faut savoir que pour cette catégorie, les textes énoncent que seuls les résidants de plus de 3 ans sont exonérés de taxes douanières. Concernant ce volet et durant le premier semestre, l'inspection divisionnaire du régime particulier a réalisé une recette de 48 milliards de centimes. Après les saisies opérées, une grande partie des produits non périssables est revendue aux enchères. Au terme de cette opération de saisie, les douanes ont perçu un peu plus de 4,7 milliards de centimes qui s'ajouteront à plus de 450 millions de centimes perçus au titre d'amendes et confiscations. S'agissant du mouvement de voitures, il a été procédé au port d'Alger au contrôle de 18.827 véhicules entrants à titre d'importation temporaire ou définitif. En outre, quelque 16908 véhicules ont été revisités précédemment à leur embarquement sur les ferry. Ce qui conduit à dire que ce chiffre de propriétaires sortants représente une partie des touristes ayant foulé le sol algérien pour une raison ou une autre. Cette catégorie de voyageurs est sujette à une attention particulière de la part des douaniers agissant sous l'impulsion du divisionnaire et suivant une stratégie spécifique. Au terme des divers contrôles opérés sur les 35.735 véhicules et suite au constat avéré de fraude (substitution, falsification des numéros de chassis ou de série et autres délits), les douaniers ont saisi 17 véhicules toutes marques confondues représentant une valeur marchande excédant le milliard de centimes. Durant cette période, 147 affaires qui ont fait l'objet de contentieux ont été enregistrées. Armes, drogue et métaux précieux Lors des visites, seules les véhicules suspectés sont dirigés vers le VGS (Visite Générale Spécialisée). Dans nombre de cas, les opérations de contrôle révèlent la découverte de caches spécialement aménagées par les voyageurs, dans lesquelles des produits prohibés sont mis au jour. Ainsi, d'importantes quantités de drogues, d'armes, de munitions et de métaux précieux (or et argent) ont été réquisitionnées par les douaniers. Dans le sillage de ces opérations de contrôle durant l'année 2006, 59 véhicules ont été saisis. Pour cette année, 5 véhicules et un fourgon ayant servi aux tentatives de fraude ont été saisis. Quatre personnes impliquées dans le trafic de métaux précieux et d'armes à feu ainsi que quatre autres personnes impliquées dans le trafic de stupéfiants ont été présentées devant la justice après l'établissement de PV et dépôt de plaintes. Durant ce semestre, un peu moins de 300 kg de kif destinés à être écoulés sur le marché européen et représentant une valeur avoisinant le 1,5 milliard de centimes ont été découverts par les douaniers du port d'Alger. A ce sujet, s'il est vrai que les trafiquants ne manquent d'imagination quant aux caches utilisées, il est vrai aussi que les douaniers ont eu l'avantage d'accumuler les expériences et d'en tirer des leçons. «Si la voiture ne présente aucun signe révélateur, le comportement des chauffeurs peut trahir», indique un douanier rompu dans ce type d'intervention de contrôle. 128 kg de cannabis et une Toyota 4x4 pour une valeur marchande de plus de 900 millions de centimes, 37,57 kg de résine de cannabis et une voiture Chrysler (275 millions de centimes), 126 kg de cannabis ainsi qu'une Toyota Rafka (plus de 235 millions de centimes) sont entre autres opérations de saisie réalisées durant ce semestre 2007. Quant à la quantité de saisies de métaux précieux (or et argent), celle-ci se compte par plusieurs dizaines de kilogrammes. En effet, plus de 30 kg d'or (bijoux et autres) dissimulés dans des caches aménagées par les propriétaires pour une valeur marchande excédant 5,6 milliards de centimes. Une recette à laquelle, les valeurs des véhicules saisis, sont adjointes. Durant les visites, les douaniers ont également traité des affaires ayant trait au trafic d'armes à feu. Autrement dit, au total 11 personnes ont été appréhendées et présentées devant la justice par les services de sécurité, prenant le relais dans cette catégorie d'infraction. 2 pistolets automatiques et 44 balles, 120 cartouches de calibre 12 et 2 boites de poudre noire (500 g chacune), 108 kg de capsules (mise à feu), 15.412 cartouches de calibre 12 et 16, 6 fusils de chasse, 2 carabines, 1 revolver sans numéro de série et un silencieux dissimulé dans une couette, 35 talkies-walkies, 7 écouteurs adaptés, 2 canons de fusil, une crosse pour fusil (importé séparément des canons) et 50 boites de poudre noire sont entre autres affaires de trafic d'armes traitées par les éléments exerçant sous les ordres du divisionnaire Difallah Mohamed Nadir. En dépit des efforts consentis par les douaniers pour contrer les fraudeurs et dont les énormes dividendes « renflouent » les caisses du Trésor public, il demeure que l'institution des douanes est considérée comme le parent pauvre du système. En d'autres termes, bien que ce corps soit un tantinet, entaché par les pratiques douteuses de certains douaniers véreux, il est une certitude que les conditions sociaux professionnelles et salariales des agents et cadres composant ce corps, également constitué d'hommes doté d'une intégrité irréprochable, devraient faire l'objet d'une attention particulière de la part des autorités publiques, eu égard aux risques de diverses natures qu'ils encourent. «Ce serait une façon de rendre hommage aux douaniers décédés dans l'exercice de leurs missions», soutiennent la plupart des agents.