Au regard de leur richesse en calcium, en protéines, en vitamines et minéraux, il faudrait en consommer au moins trois par jour, c'est-à-dire un à chaque repas. Comment sont-ils élaborés ? Que contiennent-ils précisément ? Sont-ils vraiment bons pour la santé ? Leurs apports nutritionnels Le lait et les produits qui en sont issus (yaourts, fromages, petits suisses…) constituent des aliments quasi complets. Ils sont indissociables d'une alimentation variée et équilibrée, notamment grâce à leurs apports en calcium. Indispensable à l'organisme, ce minéral contribue au développement et à l'entretien des os, mais aussi à la reproduction cellulaire, à la contraction musculaire, à l'activité cardiaque… Les produits laitiers en constituent la seconde source de notre alimentation, derrière la viande. Leur qualité est excellente, puisqu'on y trouve tous les acides aminés indispensables dans des proportions optimales. Minéraux et oligo-éléments. Environ 700 mg pour 100 g : c'est la quantité de phosphore, potassium, sodium et autres minéraux que contient le lait. Sans oublier des oligo-éléments comme le zinc et le sélénium, deux antioxydants. Consommation journalière Selon les recommandations, il faudrait consommer trois produits laitiers par jour, notamment pour leurs apports en calcium. Les apports conseillés varient cependant selon les populations : - Les enfants et adolescents. La quantité de calcium osseux passe de 30 g à la naissance à 400 g à 10 ans, puis à 1 kg à l'âge adulte. D'où l'importance d'apports suffisants lors de la croissance pour se faire des os de densité optimale : 800 mg/jour entre 4 et 9 ans, et 1.200 mg/jour entre 10 et 18 ans. - La femme enceinte ou allaitante. Les besoins en calcium de la future maman sont majorés (1.000 mg/jour), surtout au cours des trois derniers mois, quand le bébé grandit le plus et fabrique son squelette. - L'adulte. Les apports nutritionnels conseillés sont de 900 mg. - La femme ménopausée. A partir de la cinquantaine, les femmes ne sont plus protégées par leurs oestrogènes. La déminéralisation osseuse s'accélère, fragilisant le squelette (ostéoporose). Elles doivent donc majorer leurs apports (1.200 mg). Au regard de leur richesse en calcium, en protéines, en vitamines et minéraux, il faudrait en consommer au moins trois par jour, c'est-à-dire un à chaque repas. Comment sont-ils élaborés ? Que contiennent-ils précisément ? Sont-ils vraiment bons pour la santé ? Leurs apports nutritionnels Le lait et les produits qui en sont issus (yaourts, fromages, petits suisses…) constituent des aliments quasi complets. Ils sont indissociables d'une alimentation variée et équilibrée, notamment grâce à leurs apports en calcium. Indispensable à l'organisme, ce minéral contribue au développement et à l'entretien des os, mais aussi à la reproduction cellulaire, à la contraction musculaire, à l'activité cardiaque… Les produits laitiers en constituent la seconde source de notre alimentation, derrière la viande. Leur qualité est excellente, puisqu'on y trouve tous les acides aminés indispensables dans des proportions optimales. Minéraux et oligo-éléments. Environ 700 mg pour 100 g : c'est la quantité de phosphore, potassium, sodium et autres minéraux que contient le lait. Sans oublier des oligo-éléments comme le zinc et le sélénium, deux antioxydants. Consommation journalière Selon les recommandations, il faudrait consommer trois produits laitiers par jour, notamment pour leurs apports en calcium. Les apports conseillés varient cependant selon les populations : - Les enfants et adolescents. La quantité de calcium osseux passe de 30 g à la naissance à 400 g à 10 ans, puis à 1 kg à l'âge adulte. D'où l'importance d'apports suffisants lors de la croissance pour se faire des os de densité optimale : 800 mg/jour entre 4 et 9 ans, et 1.200 mg/jour entre 10 et 18 ans. - La femme enceinte ou allaitante. Les besoins en calcium de la future maman sont majorés (1.000 mg/jour), surtout au cours des trois derniers mois, quand le bébé grandit le plus et fabrique son squelette. - L'adulte. Les apports nutritionnels conseillés sont de 900 mg. - La femme ménopausée. A partir de la cinquantaine, les femmes ne sont plus protégées par leurs oestrogènes. La déminéralisation osseuse s'accélère, fragilisant le squelette (ostéoporose). Elles doivent donc majorer leurs apports (1.200 mg).