Symbole de paix et de longévité, l'olivier est indissociable des paysages méditerranéens. Pourquoi ne pas essayer de l'acclimater chez vous, voire sur une terrasse ou même dans un pot comme arbre ? Vous trouverez des petits oliviers un peu partout sous forme de sujets de toutes tailles. Les oliviers sont assurément très beaux du fait qu'ils ne perdent jamais leur feuilles et se rencontrent même sur les balcons. Si vous succombez aux charmes de cet arbre mythique, il supporte bien les transplantations. Contentez-vous plutôt d'un jeune sujet qui s'acclimatera sans trop de problème si vous le choyez durant les premiers jours. Ensuite, il sera capable de résister même en hiver jusqu'à -10°, voire -15° si l'hiver est sec. Soyez rassuré toutefois car, la plupart du temps, un olivier qui a gelé repart de souche au printemps. Sachez toutefois qu'avec l'âge, l'olivier peut atteindre de belles proportions, jusqu'à 18 m dans les régions méditerranéennes, plus couramment 6 à 8 m plus au nord. Mieux vaut planter, dans un petit espace. Le tronc de cet arbre se crevasse et devient noueux au fil du temps ce qui en magnifie la silhouette agrémentée de jolies feuilles oblongues, persistantes de deux tons, c'est-à-dire vert pâle à revers gris-blanchâtre. La culture Le printemps et l'été représentent la meilleure période pour installer dans son jardin un sujet proposé en container. Il aura alors tout loisir de s'adapter, de s'enraciner avant leur premier hiver. Il est avant tout essentiel de lui procurer un emplacement très ensoleillé, d'éviter les courants d'air et de lui proposer un sol très drainant, idéalement caillouteux. Incorporez du gravier pour améliorer un sol lourd et plantez éventuellement sur butte. La croissance de l'arbre est lente, mais sa résistance est grande envers la sécheresse, une fois le sujet acclimaté bien sûr. Si vous êtes tentés de prélever un drageon sur un pied adulte, sachez que ces rejets ne fructifient qu'au bout de 15 à 20 ans. D'où l'intérêt de planter des variétés éprouvées du commerce si l'on envisage une récolte. Et si vous les cultiviez en pot ? Rien de plus simple du moment que le drainage est efficace et le substrat poreux. Choisissez le de préférence de petite taille. Placée en plein soleil, sans courant d'air, vous pourrez ainsi apprécier cette essence sur une terrasse, un patio, un grand balcon. Ne le plantez pas dans un contenant trop grand et contentez-vous de l'arroser quand la motte est devenue sèche. Il déteste, en effet l'humidité. Pensez à surélever le pot en hiver pour faciliter le drainage et, au besoin, rapprochez-le d'un mur ou bien rentrez-le dans un garage, un bâtiment hors-gel mais lumineux. A défaut, vous aurez toujours le loisir de lui confectionner une protection douillette en voile de forçage sans oublier le pot car les racines sont également sensibles au froid vif. Chaque printemps, n'oubliez pas d'incorporer en surface un engrais (naturel de préférence). Symbole de paix et de longévité, l'olivier est indissociable des paysages méditerranéens. Pourquoi ne pas essayer de l'acclimater chez vous, voire sur une terrasse ou même dans un pot comme arbre ? Vous trouverez des petits oliviers un peu partout sous forme de sujets de toutes tailles. Les oliviers sont assurément très beaux du fait qu'ils ne perdent jamais leur feuilles et se rencontrent même sur les balcons. Si vous succombez aux charmes de cet arbre mythique, il supporte bien les transplantations. Contentez-vous plutôt d'un jeune sujet qui s'acclimatera sans trop de problème si vous le choyez durant les premiers jours. Ensuite, il sera capable de résister même en hiver jusqu'à -10°, voire -15° si l'hiver est sec. Soyez rassuré toutefois car, la plupart du temps, un olivier qui a gelé repart de souche au printemps. Sachez toutefois qu'avec l'âge, l'olivier peut atteindre de belles proportions, jusqu'à 18 m dans les régions méditerranéennes, plus couramment 6 à 8 m plus au nord. Mieux vaut planter, dans un petit espace. Le tronc de cet arbre se crevasse et devient noueux au fil du temps ce qui en magnifie la silhouette agrémentée de jolies feuilles oblongues, persistantes de deux tons, c'est-à-dire vert pâle à revers gris-blanchâtre. La culture Le printemps et l'été représentent la meilleure période pour installer dans son jardin un sujet proposé en container. Il aura alors tout loisir de s'adapter, de s'enraciner avant leur premier hiver. Il est avant tout essentiel de lui procurer un emplacement très ensoleillé, d'éviter les courants d'air et de lui proposer un sol très drainant, idéalement caillouteux. Incorporez du gravier pour améliorer un sol lourd et plantez éventuellement sur butte. La croissance de l'arbre est lente, mais sa résistance est grande envers la sécheresse, une fois le sujet acclimaté bien sûr. Si vous êtes tentés de prélever un drageon sur un pied adulte, sachez que ces rejets ne fructifient qu'au bout de 15 à 20 ans. D'où l'intérêt de planter des variétés éprouvées du commerce si l'on envisage une récolte. Et si vous les cultiviez en pot ? Rien de plus simple du moment que le drainage est efficace et le substrat poreux. Choisissez le de préférence de petite taille. Placée en plein soleil, sans courant d'air, vous pourrez ainsi apprécier cette essence sur une terrasse, un patio, un grand balcon. Ne le plantez pas dans un contenant trop grand et contentez-vous de l'arroser quand la motte est devenue sèche. Il déteste, en effet l'humidité. Pensez à surélever le pot en hiver pour faciliter le drainage et, au besoin, rapprochez-le d'un mur ou bien rentrez-le dans un garage, un bâtiment hors-gel mais lumineux. A défaut, vous aurez toujours le loisir de lui confectionner une protection douillette en voile de forçage sans oublier le pot car les racines sont également sensibles au froid vif. Chaque printemps, n'oubliez pas d'incorporer en surface un engrais (naturel de préférence).