Il semble bien que du côté de l'USM Alger, une fois de plus, le président Saïd Allik est en réalité peu ou pas du tout disposé à laisser partir plusieurs de ses joueurs cadres et non des moindres, pourtant bel et bien arrivés en fin de contrat, au terme de la saison écoulée. Il semble bien que du côté de l'USM Alger, une fois de plus, le président Saïd Allik est en réalité peu ou pas du tout disposé à laisser partir plusieurs de ses joueurs cadres et non des moindres, pourtant bel et bien arrivés en fin de contrat, au terme de la saison écoulée. Ainsi, toujours aussi tenace depuis qu'il est à la tête du Club algérois en question, Allik vient en effet de prendre à revers les Aribi, Besseghir, Ammour, Metref et notamment Zidane, aujourd'hui seul joueur à avoir quitté officiellement les Usmistes, au profit des Tuniques Rouges de l'USM Annaba. Enfin, c'est ce que croyait à ce jour le désormais ex-défenseur des Rouge et Noir, puisque depuis quelques jours déjà, l'actuel boss de l'USM Alger n'a pas cessé de déclarer un peu partout que Med Amine Zidane ne pouvait en aucun cas être prochainement qualifié au profit du club annabi, pour cause d'une clause habilement mentionnée dans le contrat qu'avait signé à l'époque l'ancien joueur du MC Oran. Une clause qui stipulerait que trois mois avant la date d'expiration dudit contrat, le joueur doit obligatoirement saisir officiellement par écrit la direction de son club employeur. Allik, connu pour son sens aigu des affaires à mener en la matière, après quatorze années passées à la tête de l'USM Alger, semblait être sûr de son affaire lorsqu'il avait mis au défi, dernièrement, l'actuel président de l'USM Annaba, Menadi, de faire enrôler chez lui le défenseur en question. Une affaire qui a finalement atterri chez la Ligue nationale de football, et qui sera certainement transmise prochainement du côté de la FAF, pour voir de quoi il en retourne exactement au sujet de ce nouveau contentieux qui va sans aucun doute, dans les jours à venir, faire la Une de la presse sportive. Et pour ne pas en rester là, Saïd Allik qui n'avait jusqu'ici rien déclaré de précis au sujet des Aribi, Ammour, Metref et Besseghir, vient de brandir à ces quatre joueurs, cette même clause qui concerne aujourd'hui le joueur Zidane, et qui de ce fait, ne leur permet plus maintenant de rempiler ailleurs qu'à l'USM Alger. C'est en réalité une parade des plus inattendues, une de plus, de la part d'un président qui n'a plutôt jamais accepté de voir certains joueurs clés de son équipe actuelle vouloir changer d'air. Une façon de faire aussi pour rester à la tête d'une armada usmiste sans laquelle Allik sait parfaitement que la formation chère à Soustara risque de tomber bas, au sein de l'actuelle hiérarchie footballistique nationale, comme jamais auparavant. Et cette éventualité n'est pas du tout envisageable pour le moment par l'actuel boss usmiste. Un président de club plutôt toujours enclin à tout mettre en œuvre aujourd'hui pour tenter coûte que coûte de rester l'homme fort d'une formation usmiste plus que jamais en quête de nouvelles sensations, mais qui ne semble plus être aujourd'hui capable de dominer le football national, contrairement à ce que croit Saïd Allik. Ainsi, toujours aussi tenace depuis qu'il est à la tête du Club algérois en question, Allik vient en effet de prendre à revers les Aribi, Besseghir, Ammour, Metref et notamment Zidane, aujourd'hui seul joueur à avoir quitté officiellement les Usmistes, au profit des Tuniques Rouges de l'USM Annaba. Enfin, c'est ce que croyait à ce jour le désormais ex-défenseur des Rouge et Noir, puisque depuis quelques jours déjà, l'actuel boss de l'USM Alger n'a pas cessé de déclarer un peu partout que Med Amine Zidane ne pouvait en aucun cas être prochainement qualifié au profit du club annabi, pour cause d'une clause habilement mentionnée dans le contrat qu'avait signé à l'époque l'ancien joueur du MC Oran. Une clause qui stipulerait que trois mois avant la date d'expiration dudit contrat, le joueur doit obligatoirement saisir officiellement par écrit la direction de son club employeur. Allik, connu pour son sens aigu des affaires à mener en la matière, après quatorze années passées à la tête de l'USM Alger, semblait être sûr de son affaire lorsqu'il avait mis au défi, dernièrement, l'actuel président de l'USM Annaba, Menadi, de faire enrôler chez lui le défenseur en question. Une affaire qui a finalement atterri chez la Ligue nationale de football, et qui sera certainement transmise prochainement du côté de la FAF, pour voir de quoi il en retourne exactement au sujet de ce nouveau contentieux qui va sans aucun doute, dans les jours à venir, faire la Une de la presse sportive. Et pour ne pas en rester là, Saïd Allik qui n'avait jusqu'ici rien déclaré de précis au sujet des Aribi, Ammour, Metref et Besseghir, vient de brandir à ces quatre joueurs, cette même clause qui concerne aujourd'hui le joueur Zidane, et qui de ce fait, ne leur permet plus maintenant de rempiler ailleurs qu'à l'USM Alger. C'est en réalité une parade des plus inattendues, une de plus, de la part d'un président qui n'a plutôt jamais accepté de voir certains joueurs clés de son équipe actuelle vouloir changer d'air. Une façon de faire aussi pour rester à la tête d'une armada usmiste sans laquelle Allik sait parfaitement que la formation chère à Soustara risque de tomber bas, au sein de l'actuelle hiérarchie footballistique nationale, comme jamais auparavant. Et cette éventualité n'est pas du tout envisageable pour le moment par l'actuel boss usmiste. Un président de club plutôt toujours enclin à tout mettre en œuvre aujourd'hui pour tenter coûte que coûte de rester l'homme fort d'une formation usmiste plus que jamais en quête de nouvelles sensations, mais qui ne semble plus être aujourd'hui capable de dominer le football national, contrairement à ce que croit Saïd Allik.