Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a déclaré que le problème concernant le passage de l'autoroute Est-Ouest sur un tracé du Parc national d'El-Kala est actuellement résolu, sans toutefois donner plus de précisions sur la manière dont le ministère compte le résoudre. La polémique qui s'est installée, il y a quelques jours, autour du passage de l'autoroute Est-Ouest sur 15,5 kilomètres par le Parc national d'El-Kala et qui, selon certains écologistes, risque de nuire à l'environnemental de cette zone protégée s'est atténuée. Le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul, a déclaré, lors d'un point de presse organisé, hier, à l'hôtel Mouflon d'Or, à l'issue d'une réunion qu'il a tenue avec l'ensemble des directeurs des travaux publics des 48 wilayas du pays, que « le dossier du parc national d'El-Kala est un dossier bouclé et clos» en ajoutant qu'actuellement sont département est «en train de travailler avec tous les partenaires pour avoir les solutions les plus adéquates» et d'ajouter que «l'étude d'impact sur l'environnement a été effectuée et a étudié les différentes variantes proposées ». Cependant, interrogé à propos de la variante qui a été choisie, le ministre s'est montré discret et n'a pas voulu communiquer plus de détails sur le sujet. M. Ghoul s'est contenté de dire que son département ainsi que les parties prenantes dans le dossier ont pris en considération «une série de variantes qui sont étudiées par des bureaux d'études et des experts internationaux avec des partenaires algériens», laissant ainsi la question, «l'autoroute passera-t-elle ou pas par le fameux parc ?» sans réponse. En outre, il y a lieu de noter que le tracé de l'autoroute proposé et désapprouvé par certains écologistes ne touche que 0,02 % de la surface globale du parc, en plus, l'étude d'impact sur l'environnement a été élaborée en consultation avec toutes les parties concernées et approuvée localement avant d'être soumise à l'autorité centrale. Malgré ces résultats, un grand mouvement de protestation initié par les associations de protection de l'environnement a pris forme pour la protection du parc contre tout élément destructif. D'autre part, au programme de la rencontre d'hier plusieurs objectifs ont été tracés, en l'occurrence l'évaluation des schémas directeurs routiers, autoroutiers, maritimes et aéroportuaires. Cette évaluation permettra aux cadres du ministère de tracer un bilan général des projets réalisés depuis 2005, date du lancement du programme du président de la République et qui s'étalera jusqu'à 2009. Cette rencontre permettra, également, de faire une évaluation des réalisations durant le premier trimestre 2007, signale le ministre. Concernant le Congrès mondiale de la route prévu pour le mois de septembre à Paris, le ministre a affirmé que les thèmes proposés au débat doivent être pertinents et d'actualité. Il a, également, appelé à ce que ces interventions touche àdes questions liées aux problèmes des pays africains, notamment en ce qui concerne le financement des projets et l'accompagnement technique. Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a déclaré que le problème concernant le passage de l'autoroute Est-Ouest sur un tracé du Parc national d'El-Kala est actuellement résolu, sans toutefois donner plus de précisions sur la manière dont le ministère compte le résoudre. La polémique qui s'est installée, il y a quelques jours, autour du passage de l'autoroute Est-Ouest sur 15,5 kilomètres par le Parc national d'El-Kala et qui, selon certains écologistes, risque de nuire à l'environnemental de cette zone protégée s'est atténuée. Le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul, a déclaré, lors d'un point de presse organisé, hier, à l'hôtel Mouflon d'Or, à l'issue d'une réunion qu'il a tenue avec l'ensemble des directeurs des travaux publics des 48 wilayas du pays, que « le dossier du parc national d'El-Kala est un dossier bouclé et clos» en ajoutant qu'actuellement sont département est «en train de travailler avec tous les partenaires pour avoir les solutions les plus adéquates» et d'ajouter que «l'étude d'impact sur l'environnement a été effectuée et a étudié les différentes variantes proposées ». Cependant, interrogé à propos de la variante qui a été choisie, le ministre s'est montré discret et n'a pas voulu communiquer plus de détails sur le sujet. M. Ghoul s'est contenté de dire que son département ainsi que les parties prenantes dans le dossier ont pris en considération «une série de variantes qui sont étudiées par des bureaux d'études et des experts internationaux avec des partenaires algériens», laissant ainsi la question, «l'autoroute passera-t-elle ou pas par le fameux parc ?» sans réponse. En outre, il y a lieu de noter que le tracé de l'autoroute proposé et désapprouvé par certains écologistes ne touche que 0,02 % de la surface globale du parc, en plus, l'étude d'impact sur l'environnement a été élaborée en consultation avec toutes les parties concernées et approuvée localement avant d'être soumise à l'autorité centrale. Malgré ces résultats, un grand mouvement de protestation initié par les associations de protection de l'environnement a pris forme pour la protection du parc contre tout élément destructif. D'autre part, au programme de la rencontre d'hier plusieurs objectifs ont été tracés, en l'occurrence l'évaluation des schémas directeurs routiers, autoroutiers, maritimes et aéroportuaires. Cette évaluation permettra aux cadres du ministère de tracer un bilan général des projets réalisés depuis 2005, date du lancement du programme du président de la République et qui s'étalera jusqu'à 2009. Cette rencontre permettra, également, de faire une évaluation des réalisations durant le premier trimestre 2007, signale le ministre. Concernant le Congrès mondiale de la route prévu pour le mois de septembre à Paris, le ministre a affirmé que les thèmes proposés au débat doivent être pertinents et d'actualité. Il a, également, appelé à ce que ces interventions touche àdes questions liées aux problèmes des pays africains, notamment en ce qui concerne le financement des projets et l'accompagnement technique.