Alors que les prévisions en matière de flux des investissements directs étrangers (IDE) font état d'une hausse de 4 à 6 milliards de dollars en 2007, contre 3 milliards en 2006, selon les données chiffrées fournies par l'Agence nationale de développement des investissements (ANDI), des observateurs et analystes estiment que les IDE n'affluent pas en Algérie et leur rythme est plutôt jugé lent. Et pourtant, les projets d'investissements identifiés sont nombreux et variés. Ce qui freine les investissements étrangers c'est surtout l'environnement des affaires qui n'est pas tellement attrayant. Selon le président de la Chambre de commerce et d'industrie algéro-allemande, le manque de communication serait l'un des facteurs à l'origine du peu d'engouement des industriels et investisseurs étrangers qui hésitent à venir s'installer en Algérie. En effet, en dépit du guichet unique mis en place par l'ANDI afin de faciliter les procédures d'enregistrement des projets d'investissement, il existe encore des entraves bureaucratiques qu'il faut lever pour attirer les potentiels investisseurs étrangers. Autrement dit, comment expliquer le fait que des investisseurs et hommes d'affaires allemands, français et autres ont manifesté leur intention d'investir en Algérie sans pour autant pouvoir concrétiser rapidement leurs projets ? A titre d'exemple, le forum d'affaires algéro-italien sur les opportunités d'investissement en Algérie, organisé récemment à Alger, a révélé la nécessité de communiquer davantage avec les hommes d'affaires étrangers qui ne connaissent pas assez le climat d'affaires et la législation nationale en matière d'investissement. Sur le plan réglementaire, l'Algérie offre pourtant des avantages attrayants en matière de foncier industriel aux investisseurs étrangers. Cependant, sur le plan financier et bancaire, certains promoteurs étrangers ont dénoncé les rouages et les pratiques de certaines banques qui ne facilitent pas la circulation des capitaux, notamment en ce qui concerne les transactions financières par chèque. Des diplomates étrangers installés en Algérie, notamment occidentaux, estiment également que les IDE n'affluent pas suffisamment dans notre pays. Pour l'ambassadeur d'Allemagne à Alger, Johannes Westerhoff, l'Algérie n'a pas encore eu sa part du gâteau concernant les investissements directs étrangers, alors que les opportunités ne manquent pas. Il a fallu la rencontre entre le Président Abdelaziz Bouteflika et la chancelière Angela Merckel à Berlin lors du sommet du G8 pour impulser les relations bilatérales et la coopération économique et commerciale entre les deux pays. En effet, depuis juin dernier, Deutsche Bank, Linde (accord avec l'ENGI sur les gaz industriels) et récemment le groupement algéro-allemand GAAMA, chargé de la construction du métro d'Alger, et bien d'autres projets d'investissement, ont manifesté leurs sérieuses intentions d'investir en Algérie. En clair, le rôle de l'action diplomatique et de la sensibilisation en direction des investisseurs internationaux est primordial pour convaincre ces derniers à venir réaliser des projets en Algérie. Alors que les prévisions en matière de flux des investissements directs étrangers (IDE) font état d'une hausse de 4 à 6 milliards de dollars en 2007, contre 3 milliards en 2006, selon les données chiffrées fournies par l'Agence nationale de développement des investissements (ANDI), des observateurs et analystes estiment que les IDE n'affluent pas en Algérie et leur rythme est plutôt jugé lent. Et pourtant, les projets d'investissements identifiés sont nombreux et variés. Ce qui freine les investissements étrangers c'est surtout l'environnement des affaires qui n'est pas tellement attrayant. Selon le président de la Chambre de commerce et d'industrie algéro-allemande, le manque de communication serait l'un des facteurs à l'origine du peu d'engouement des industriels et investisseurs étrangers qui hésitent à venir s'installer en Algérie. En effet, en dépit du guichet unique mis en place par l'ANDI afin de faciliter les procédures d'enregistrement des projets d'investissement, il existe encore des entraves bureaucratiques qu'il faut lever pour attirer les potentiels investisseurs étrangers. Autrement dit, comment expliquer le fait que des investisseurs et hommes d'affaires allemands, français et autres ont manifesté leur intention d'investir en Algérie sans pour autant pouvoir concrétiser rapidement leurs projets ? A titre d'exemple, le forum d'affaires algéro-italien sur les opportunités d'investissement en Algérie, organisé récemment à Alger, a révélé la nécessité de communiquer davantage avec les hommes d'affaires étrangers qui ne connaissent pas assez le climat d'affaires et la législation nationale en matière d'investissement. Sur le plan réglementaire, l'Algérie offre pourtant des avantages attrayants en matière de foncier industriel aux investisseurs étrangers. Cependant, sur le plan financier et bancaire, certains promoteurs étrangers ont dénoncé les rouages et les pratiques de certaines banques qui ne facilitent pas la circulation des capitaux, notamment en ce qui concerne les transactions financières par chèque. Des diplomates étrangers installés en Algérie, notamment occidentaux, estiment également que les IDE n'affluent pas suffisamment dans notre pays. Pour l'ambassadeur d'Allemagne à Alger, Johannes Westerhoff, l'Algérie n'a pas encore eu sa part du gâteau concernant les investissements directs étrangers, alors que les opportunités ne manquent pas. Il a fallu la rencontre entre le Président Abdelaziz Bouteflika et la chancelière Angela Merckel à Berlin lors du sommet du G8 pour impulser les relations bilatérales et la coopération économique et commerciale entre les deux pays. En effet, depuis juin dernier, Deutsche Bank, Linde (accord avec l'ENGI sur les gaz industriels) et récemment le groupement algéro-allemand GAAMA, chargé de la construction du métro d'Alger, et bien d'autres projets d'investissement, ont manifesté leurs sérieuses intentions d'investir en Algérie. En clair, le rôle de l'action diplomatique et de la sensibilisation en direction des investisseurs internationaux est primordial pour convaincre ces derniers à venir réaliser des projets en Algérie.