Dans la perspective de la promotion en Algérie des exportations hors hydrocarbures, la Chambre algérienne du commerce et d'industrie, Caci, organise en coordination avec l'ambassade d'Algérie à Stockholm une mission commerciale algérienne en Suède pour les entreprises qui souhaitent exporter vers ce pays, en particulier, et vers ceux de la Scandinavie, en général. Plusieurs hommes d'affaires algériens travaillant dans le secteur hors hydrocarbures ont manifesté leur intérêt pour participer à cette manifestation. La programmation de cette visite intervient suite à la tenue à Alger d'un séminaire sur les facilitations des exportations algériennes en Suède, animé par les experts de l'organisme gouvernemental suédois «Open Trade Gate», un pont de contact suédois, mis en place, afin de faciliter le travail des exportateurs de pays en voie de développement ayant déjà des relations commerciales avec la Suède ou envisageant d'en instaurer. La tenue de ce séminaire avait permis aux participants exportateurs de prendre connaissance des services offerts par cet organisme dont la mission, essentielle, est de faciliter l'accès des entreprises des pays en développement au marché suédois. Les participants ont, également, pris conscience des opportunités offertes par le marché suédois. En outre, la mission commerciale algérienne à Stockholm se déroulera pendant la deuxième quinzaine du mois d'octobre 2007 et concernera, spécialement, les entreprises possédant un potentiel d'exportation de leurs produits, notamment les produits agricoles, et ceux transformés et les produits de l'artisanat. Les exportations aujourd'hui en Algérie se caractérisent par un secteur des hydrocarbures et dérivés très dominant et un secteur hors hydrocarbures qui connaît de nombreuses difficultés pour s'imposer sur les marchés extérieurs en raison d'une multitude de facteurs défavorables, notamment une mauvaise connaissance des marchés, une formation insuffisante des hommes au sein des PME mais aussi dans leur environnement, une absence de relais sur les marchés cibles. Actuellement, le gouvernement s'est fixé l'objectif de la création et du développement d'entreprises capables d'exporter sur les marchés régionaux, africains et européens. Ce défi à l'exportation rejoint celui de la mise à niveau des entreprises existant déjà sur le marché algérien. Aujourd'hui, plusieurs secteurs hors hydrocarbures, notamment le secteur agricole, enregistrent des résultats positifs mais toujours insuffisants. En effet, ce secteur occupe en Algérie une place à part. Il présente, néanmoins, un fort potentiel, compte tenu des efforts entamés par le gouvernement pour relancer la production agricole (PNDA), de la place tenue par les industries agroalimentaires dans le secteur privé et de l'existence de produits dont l'origine algérienne peut être valorisée, notamment les dattes, le vin et les lièges. Cependant, en dépit de quelques résultats encourageants, ces différents secteurs sont confrontés à une vive concurrence des autres pays de la région et souffrent d'une connaissance insuffisante en normes et procédures internationales. Dans la perspective de la promotion en Algérie des exportations hors hydrocarbures, la Chambre algérienne du commerce et d'industrie, Caci, organise en coordination avec l'ambassade d'Algérie à Stockholm une mission commerciale algérienne en Suède pour les entreprises qui souhaitent exporter vers ce pays, en particulier, et vers ceux de la Scandinavie, en général. Plusieurs hommes d'affaires algériens travaillant dans le secteur hors hydrocarbures ont manifesté leur intérêt pour participer à cette manifestation. La programmation de cette visite intervient suite à la tenue à Alger d'un séminaire sur les facilitations des exportations algériennes en Suède, animé par les experts de l'organisme gouvernemental suédois «Open Trade Gate», un pont de contact suédois, mis en place, afin de faciliter le travail des exportateurs de pays en voie de développement ayant déjà des relations commerciales avec la Suède ou envisageant d'en instaurer. La tenue de ce séminaire avait permis aux participants exportateurs de prendre connaissance des services offerts par cet organisme dont la mission, essentielle, est de faciliter l'accès des entreprises des pays en développement au marché suédois. Les participants ont, également, pris conscience des opportunités offertes par le marché suédois. En outre, la mission commerciale algérienne à Stockholm se déroulera pendant la deuxième quinzaine du mois d'octobre 2007 et concernera, spécialement, les entreprises possédant un potentiel d'exportation de leurs produits, notamment les produits agricoles, et ceux transformés et les produits de l'artisanat. Les exportations aujourd'hui en Algérie se caractérisent par un secteur des hydrocarbures et dérivés très dominant et un secteur hors hydrocarbures qui connaît de nombreuses difficultés pour s'imposer sur les marchés extérieurs en raison d'une multitude de facteurs défavorables, notamment une mauvaise connaissance des marchés, une formation insuffisante des hommes au sein des PME mais aussi dans leur environnement, une absence de relais sur les marchés cibles. Actuellement, le gouvernement s'est fixé l'objectif de la création et du développement d'entreprises capables d'exporter sur les marchés régionaux, africains et européens. Ce défi à l'exportation rejoint celui de la mise à niveau des entreprises existant déjà sur le marché algérien. Aujourd'hui, plusieurs secteurs hors hydrocarbures, notamment le secteur agricole, enregistrent des résultats positifs mais toujours insuffisants. En effet, ce secteur occupe en Algérie une place à part. Il présente, néanmoins, un fort potentiel, compte tenu des efforts entamés par le gouvernement pour relancer la production agricole (PNDA), de la place tenue par les industries agroalimentaires dans le secteur privé et de l'existence de produits dont l'origine algérienne peut être valorisée, notamment les dattes, le vin et les lièges. Cependant, en dépit de quelques résultats encourageants, ces différents secteurs sont confrontés à une vive concurrence des autres pays de la région et souffrent d'une connaissance insuffisante en normes et procédures internationales.