Les travaux d'un séminaire régional sur les modalités de transfert, d'appropriation et de prise en charge durable des infrastructures socioéconomiques réalisées à l'initiative de l'Agence de développement social (ADS) ont débuté hier à Annaba. Le principal objectif affiché par les participants de ce séminaire est l'instauration d'un débat sur les dispositions pratiques de transfert du patrimoine, d'usage et d'entretien des projets de développement socioéconomique réalisés en faveur des populations défavorisées. Selon le directeur de l'ADS, M. Bensenane Djamel Eddine, l'intérêt de cette rencontre à laquelle ont pris part des représentants des collectivités locales de six wilayas de l'est du pays ainsi que des cadres de l'ADS et des experts de l'Union européenne, réside dans l'importance des objectifs fixés. Il faut dire que sur les 420 projets de développement social financés conjointement par l'Etat et l'Union européenne en faveur de 50 communes relevant des wilayas de Souk-Ahras, Batna, Jijel, Khenchela, Biskra et Batna, 70 ont été, a-t-on indiqué, réalisés alors que le reste est toujours en cours. Force est également de constater que ces projets ont essentiellement porté, a-t-on précisé, sur le renforcement de l'alimentation en eau potable (AEP) et des opérations d'irrigation des terres agricoles au niveau des zones défavorisées ainsi que l'ouverture de nouvelles pistes et le désenclavement des zones éparses. Dans ce contexte, l'accent a été mis, a-t-on également affirmé, sur l'importance de la participation des habitants dans les zones ciblées par ces projets, sur l'identification de leurs besoins et le développement de leur environnement direct à travers la préservation de ces acquis. Enfin, il est à signaler que des communications traitant du rôle des cellules de proximité dans la dynamisation du développement communautaire, selon le mode participatif, ainsi que de la problématique liée au transfert et à la prise en charge de ce patrimoine ont, par ailleurs, marqué la première journée de cette rencontre de deux jours. A cet effet, deux ateliers de travail chargés de l'étude et de l'élaboration de recommandations concernant ce thème ont été créés. Les travaux d'un séminaire régional sur les modalités de transfert, d'appropriation et de prise en charge durable des infrastructures socioéconomiques réalisées à l'initiative de l'Agence de développement social (ADS) ont débuté hier à Annaba. Le principal objectif affiché par les participants de ce séminaire est l'instauration d'un débat sur les dispositions pratiques de transfert du patrimoine, d'usage et d'entretien des projets de développement socioéconomique réalisés en faveur des populations défavorisées. Selon le directeur de l'ADS, M. Bensenane Djamel Eddine, l'intérêt de cette rencontre à laquelle ont pris part des représentants des collectivités locales de six wilayas de l'est du pays ainsi que des cadres de l'ADS et des experts de l'Union européenne, réside dans l'importance des objectifs fixés. Il faut dire que sur les 420 projets de développement social financés conjointement par l'Etat et l'Union européenne en faveur de 50 communes relevant des wilayas de Souk-Ahras, Batna, Jijel, Khenchela, Biskra et Batna, 70 ont été, a-t-on indiqué, réalisés alors que le reste est toujours en cours. Force est également de constater que ces projets ont essentiellement porté, a-t-on précisé, sur le renforcement de l'alimentation en eau potable (AEP) et des opérations d'irrigation des terres agricoles au niveau des zones défavorisées ainsi que l'ouverture de nouvelles pistes et le désenclavement des zones éparses. Dans ce contexte, l'accent a été mis, a-t-on également affirmé, sur l'importance de la participation des habitants dans les zones ciblées par ces projets, sur l'identification de leurs besoins et le développement de leur environnement direct à travers la préservation de ces acquis. Enfin, il est à signaler que des communications traitant du rôle des cellules de proximité dans la dynamisation du développement communautaire, selon le mode participatif, ainsi que de la problématique liée au transfert et à la prise en charge de ce patrimoine ont, par ailleurs, marqué la première journée de cette rencontre de deux jours. A cet effet, deux ateliers de travail chargés de l'étude et de l'élaboration de recommandations concernant ce thème ont été créés.