S'agissant des branches, l'assurance crédit caution, soutenue par le développement du crédit à la consommation accentuée par l'installation des banques privées, a enregistré un taux de progression de 153.6%, soit la moyenne la plus élevée. S'agissant des branches, l'assurance crédit caution, soutenue par le développement du crédit à la consommation accentuée par l'installation des banques privées, a enregistré un taux de progression de 153.6%, soit la moyenne la plus élevée. Le secteur des assurances a réalisé durant le premier trimestre 2007 un chiffre d'affaires direct (les acceptations internationales de la CCR non comprises) de 17.2 milliards de dinars, contre 12.5 milliards de dinars durant la même période de l'année dernière, soit une évolution de 37.6%, a indiqué hier, le secrétaire permanent du Conseil national des assurances (CNA), M. Abdelmadjid Messaoudi, lors d'une conférence de presse animée dans le but d'évaluer l'activité du secteur des assurances au premier trimestre 2007. M.Messaoudi juge que cette progression est d'une extrême importance et la relie directement, notamment celle de l'assurance IARD et transport, à la réalisation du programme d'investissement public, particulièrement les travaux du mégaprojet de l'autoroute Est-Ouest. S'agissant des branches, l'assurance crédit caution, soutenue par le développement du crédit à la consommation accentuée par l'installation des banques privées, a enregistré un taux de progression de 153.6%, soit la moyenne la plus élevée. Quant au plus faible taux d'évolution « 5.2% », il correspond à l'assurance des personnes enregistrant un chiffre d'affaires de 944 millions de dinars, ce qui a été qualifié de très faible par rapport aux prévisions et ambitions. Pour ce qui est des assurances automobile, elle a réalisé, pour le premier trimestre 2007, un chiffre d'affaires de 7.4 milliards de dinars, soit une progression 12.9% par rapport à la même période de 2006. En effet, cette branche a fait l'objet d'un traitement particulier, a expliqué M. Belaâribi, chef de division au sein de la SAA (Société algérienne des assurances) en ajoutant : «Vu que ce créneau a toujours été déficitaire, nous étions contraints de suivre les recommandations des experts du Meda dans le cadre du programme du développement secteur financier en Algérie, en augmentant les prix des couvertures des risques notamment les facultatives et tentant de les inclure systématiquement dans les contrats d'assurances, ce qui commence réellement à équilibrer les ressources du secteur». A propos des nouveautés du secteur, M. Messaoudi a annoncé que dans le but d'encadrer plus rigoureusement son secteur, améliorer la gouvernance du CNA et faciliter son fonctionnement, le nombre d'institutions adhérentes à ce conseil a été réduit. A cet effet, les représentations des deux ministères des transports et de l'agriculture au conseil ont été annulées. Le secteur a connu, également cette année, la création de l'association des experts en catatstrophes naturelles (EX.A.Cat-Nat) qui vise à apporter un soutien technique aux compagnies d'assurances, ainsi que de l'Association nationale des assurés (A.N.AS), dont le président M. Omar Amour, a indiqué que l'agrément qui permettra à son association d'être opérationnelle ne leur a pas été encore délivré. Cette question d'agrément concerne aussi l'Association des courtiers d'assurance. Cet organe, qui devait exercer ses activités au profit des clients (assurés), a été créé le 19 novembre 2005, il a introduit son dossier d'agrément le 27 février 2006, et jusqu'à aujourd'hui, l'agrément ne lui a pas été accordé. Profitant de cette rencontre, une représentante de l'Association des courtiers d'assurance a appelé, à travers une lettre rédigée par ses responsables, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales de leur fournir, au plus tôt, cette autorisation. Concernant la répartition du marché, ce sont les entreprises traditionnelles (SAA, CAAR, CAAT et CNMA) qui détiennent toujours la plus grande part avec 67% contre 37% pour les compagnies nouvelles, qui sont en effet les entreprises qui ont été créées depuis 1995. Il faut noter aussi que la part des entreprises traditionnelles a connu une régression par rapport au trimestre passé (72%). Le secteur des assurances a réalisé durant le premier trimestre 2007 un chiffre d'affaires direct (les acceptations internationales de la CCR non comprises) de 17.2 milliards de dinars, contre 12.5 milliards de dinars durant la même période de l'année dernière, soit une évolution de 37.6%, a indiqué hier, le secrétaire permanent du Conseil national des assurances (CNA), M. Abdelmadjid Messaoudi, lors d'une conférence de presse animée dans le but d'évaluer l'activité du secteur des assurances au premier trimestre 2007. M.Messaoudi juge que cette progression est d'une extrême importance et la relie directement, notamment celle de l'assurance IARD et transport, à la réalisation du programme d'investissement public, particulièrement les travaux du mégaprojet de l'autoroute Est-Ouest. S'agissant des branches, l'assurance crédit caution, soutenue par le développement du crédit à la consommation accentuée par l'installation des banques privées, a enregistré un taux de progression de 153.6%, soit la moyenne la plus élevée. Quant au plus faible taux d'évolution « 5.2% », il correspond à l'assurance des personnes enregistrant un chiffre d'affaires de 944 millions de dinars, ce qui a été qualifié de très faible par rapport aux prévisions et ambitions. Pour ce qui est des assurances automobile, elle a réalisé, pour le premier trimestre 2007, un chiffre d'affaires de 7.4 milliards de dinars, soit une progression 12.9% par rapport à la même période de 2006. En effet, cette branche a fait l'objet d'un traitement particulier, a expliqué M. Belaâribi, chef de division au sein de la SAA (Société algérienne des assurances) en ajoutant : «Vu que ce créneau a toujours été déficitaire, nous étions contraints de suivre les recommandations des experts du Meda dans le cadre du programme du développement secteur financier en Algérie, en augmentant les prix des couvertures des risques notamment les facultatives et tentant de les inclure systématiquement dans les contrats d'assurances, ce qui commence réellement à équilibrer les ressources du secteur». A propos des nouveautés du secteur, M. Messaoudi a annoncé que dans le but d'encadrer plus rigoureusement son secteur, améliorer la gouvernance du CNA et faciliter son fonctionnement, le nombre d'institutions adhérentes à ce conseil a été réduit. A cet effet, les représentations des deux ministères des transports et de l'agriculture au conseil ont été annulées. Le secteur a connu, également cette année, la création de l'association des experts en catatstrophes naturelles (EX.A.Cat-Nat) qui vise à apporter un soutien technique aux compagnies d'assurances, ainsi que de l'Association nationale des assurés (A.N.AS), dont le président M. Omar Amour, a indiqué que l'agrément qui permettra à son association d'être opérationnelle ne leur a pas été encore délivré. Cette question d'agrément concerne aussi l'Association des courtiers d'assurance. Cet organe, qui devait exercer ses activités au profit des clients (assurés), a été créé le 19 novembre 2005, il a introduit son dossier d'agrément le 27 février 2006, et jusqu'à aujourd'hui, l'agrément ne lui a pas été accordé. Profitant de cette rencontre, une représentante de l'Association des courtiers d'assurance a appelé, à travers une lettre rédigée par ses responsables, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales de leur fournir, au plus tôt, cette autorisation. Concernant la répartition du marché, ce sont les entreprises traditionnelles (SAA, CAAR, CAAT et CNMA) qui détiennent toujours la plus grande part avec 67% contre 37% pour les compagnies nouvelles, qui sont en effet les entreprises qui ont été créées depuis 1995. Il faut noter aussi que la part des entreprises traditionnelles a connu une régression par rapport au trimestre passé (72%).